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MC4815162342
402 abonnés
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3,0
Publiée le 24 mars 2014
la catégorie Best Film of the world présente: La Sanction Clint y joue Un ancien agent de la CIA, qui doit reprendre du service pour tuer 2 homme qui on assassiner un membre de l'organisation. au programme: des cascade hyper réaliste, des retournement de situation, de superbe acteur et surtout de la neige ! Un super film policier du grand, très grand EASTWOOD !
Je rejoins l'avis de Davidhem (voir plus haut). C'est un film qui tient en haleine tout le long. Il a certes un peu vieillit, mais on a un film qui mérite d'etre vu, et pas uniquement parce que c'est du clint eastwood.
Clint Eastwood réalise là un film quelque peu vertigineux et pas dans le bon sens. Alors que le début paraissait alléchant, une sorte d'anti James Bond, voilà que la seconde partie prend une autre tournure pas des moins intéressante car Clint se la joue Cliffhanger avant l'heure, souvenez-vous le grand retour de Sylvester Stallone en 93. Seulement l'ensemble est une sanction et loin d'être une ascension de voir Clint dans le domaine de l'escalade, le film dure deux heures et à part une réalisation soigné des sommets et une musique pour donner plus d'ampleur à tout ça, rien ne bouge. Tout ça pour arriver dans un final des plus simplistes qui soit. Une histoire qui est aussi bien mysogine qu'insultant, c'est pas que cela me dérange mais ici la sauce prend pas. Deux ou trois moments sympathique et Clint tombe bien à la renverse du de la haut montagne. Ratage...
Un thriller eastwoodien honnête mais sans plus. L'histoire tient la route, et permet de ménager le suspense jusqu'à la fin. Le "Manhunter" de Michael Mann reprendra d'ailleurs le même canevas scénaristique une dizaine d'années plus tard. Les dialogues constituent la grande force du film, bien que leur intérêt s'étiole peu à peu. Ceux qui espèrent par exemple retrouver les répliques-chocs du "Maître de guerre" seront déçus. L'humour est en revanche très appréciable et reste au même niveau du début à la fin. C'est même plutôt osé, en particulier quand George Kennedy observe l'ascension avec sa longue vue. Il envoie bouler les gnognasses avec une force mémorable. La musique est, quant à elle, passe-partout, et fidèle aux canons de l'époque. Loué soit Dieu, on est encore avant la grande époque du synthé (à ne pas confondre avec une équipe de foot française du même nom et court après son passé glorieux). On retiendra enfin le rôle ridicule joué par l'alpiniste français. Déjà le nom, "Montaigne", qui transpire le cliché. Le personnage en lui même ensuite, un petit barbu qui porte de mégas cornes sur la tête, et qui fait office de gros boulet dans l'équipe. Merci Clint, c'est trop sympa pour nous, peut-être avais-tu des comptes à régler ?
La sanction, un film d’alpinisme, de services secrets et de jolies femmes. Un grand film américain avec le grand Clint Eastwood. L'histoire se situe dans l'Arizona, à Zurich et sur l'Eiger. Le réalisateur s'appelle Clint Eastwood, le plus grand acteur et réalisateur de tout les temps. Les prises de vue durant l'ascension sont formidables, Clint Eastwood a usé de sa personne pour s'encorder et a participé aux cascades. La face nord de l'Eiger. Un grand film.
J'ai trouvé le film assez moyen. Le scénario est pas mal sans plus. Cependant, on ne peut pas oculter la beauté des scènes d'escalades et d'alpinisme, ainsi que la prestation de Clint Eastwood toujours très convainquant. Cependant, je n'est jamais vraiment réussi à me plonger dans le film.
Quatrième film de Clint Eastwood en tant que réalisateur, "La sanction" est un de ses films sous-estimés et qui pourtant possède d'énormes qualités. On se demande bien ce qui est reproché à ce long-métrage qui tient le spectateur en haleine du début à la fin. Mélange de film d'espionnage, d'action, d'humour, de suspense et d'aventure, le cocktail ici rassemblé fonctionne à merveille. Le film relate une mission pour un ancien agent de la CIA qui doit éliminer un espion ennemi dont la seule particularité est qu'il boite. Le scénario est complexe, riche et dense et Clint Eastwood ajoute son humour qui esquisse nos sourires et qui provoque nos rires. Le réalisateur qui est également l'acteur principal de ce film montre que son protagoniste est un dur, un homme violent et impitoyable à l'image de l'inspecteur Harry, une image qui lui était difficile à retirer puisque le film date de 1975 donc peu de temps après les deux premiers opus de la célèbre saga qui rendit Eastwood célèbre aux Etats-Unis d'Amérique. Le film est riche en rebondissements et en évènements et ce n'est pas pour déplaire au spectateur, Eastwood tenant à donner du grand spectacle à celui qui visionne son long-métrage. Et quel spectacle en effet! L'ascension du col d'Eiger dans les Alpes Suisses est impressionnante de réalisme et le suspense dans cette partie du film est haletant puisque le protagoniste se méfie de tout le monde d'une part mais doit s'employer pour sauver les innocents de cette histoire qui dérapent le long de la falaise. Le final est totalement inattendu, c'est une véritable chute dans tous les sens du terme mais cette fin explique bien certains éléments violents de ce film contre le personnage principal, le scénario peut donc se vanter de distiller une intrigue parfaitement logique et intelligente. Au final, Clint Eastwood nous livre un excellent film qui comme à son habitude n'a pas vieilli d'une année malgré ses vingt-cinq ans d'âge. Rien de plus à dire que Clint Eastwood est un très grand réalisateur et que ses futurs films le confirmeront.
Certainement pas le plus grand chef d'oeuvre d'Eastwood. "La santion " mélange les genres ( humour, action ,espionnage) assez maladroitement, choses rare pour notre bon vieux Clint. D'un manque de rythme certain, "la santion" ne vaut d'être vu que pour la révélation final. Ainsi debuta la carriere d'un réalisateur prometteur...
Beaucoup de bonnes choses dans ce film, de belles images, un peu d'humour et un certain suspense mais des baisses de régimes et un manque de profondeur font chuter sa dynamique.
Ah ça! Nul doute que cette "Sanction" ne restera pas comme l'une des plus grandes réussites d'Eastwood, loin s'en faut! Intrigue banale, référence homophobe évidente, dialogues qui dépassent parfois le ridicule... Il est peu dire que l'on est loin de "Sur la route de Madison" ou autres "Impitoyable!" Cela dit, il nous faut pourtant reconnaître qu'au final l'ensemble se fait presque plaisant, l'action étant menée sans temps mort, les scènes de montagne sachant quant à elles faire leur petit effet. Bref, un Eastwood très, très loin d'être indispensable, mais pas forcément désagréable pour autant, à condition de ne pas en attendre trop... Vous voila prévenus.
CLIFFHANGER. Clint à la recherche de Keyser Sose. De l'échauffement dans l'ouest des Etats Unis au sommet enneigé des Alpes suisse. Malheureusement, on s'ennuit dans la cordée de l'Eiger malgré quelques touches d'humour.
Eastwood mineur, "Eiger Sanction" offre néanmoins quelques dialogues savoureux faisant lorgner le film vers la comédie, et surtout des scènes d'escalade vertigineuses tournées en milieux naturel. En revanche, le film a pris un coup de vieux avec son ambiance macho et misogyne ou ses personnages assez peu crédibles (un héros professuer d'art/ tueur à gages / alpiniste, un agent complètement efféminé...). Bon divertissement quand même.
Quatrième réalisation pour Clint Eastwood, qui se lance dans l’adaptation du roman homonyme de Trevanian et nous restitue un film d’espionnage montagnard ! La première partie du film manque cruellement de tension, on espérait alors que la seconde et dernière partie nous livrerait la dose de sensations et d’adrénaline lorsque l’ascension de la montagne aurait lieu, finalement, on sera aussi déçu de la tournure que prend le film. Peu entraînant, on patiente jusqu’à la fin sans le moindre intérêt pour le film. Seul point fort, les cascades réalisées dans des conditions extrêmes et sans trucages.
Premier essai de Clint Eastwood dans le monde de l'espionnage, La Sanction se démarque pourtant des films excentriques de James Bond ou ceux, plus flegmatiques, de Harry Palmer grâce à la touche particulière de l'acteur-réalisateur qui saisit ici l'occasion d'adapter le premier des nombreux tomes des aventures de Jonathan Hemlock écrite par Rodney William Whitaker (sous le pseudonyme Trevanian). Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'Eastwood s'immisce avec brio dans le genre... Avec son habituel anticonformisme et ses idéaux intelligents (il place ni vu ni connu un joli questionnement sur l'art qui fera travailler les méninges des plus attentifs), le réalisateur brise les codes du genre avec une certaine réussite. En effet, tout comme Sean Connery ou plus récemment Roger Moore (le film sort entre deux 007 à l'époque), Clint tombe les filles avec son sourire mais celles-ci tombent aussi la chemise, nous dévoilant des plans-nichons alors interdits dans les aventures tout public du héros créé par Ian Fleming. Pour le reste, le méchant est ici ouvertement gay et les motivations de notre agent secret ne sont ni la sûreté de son pays et encore moins la défense du bien mais uniquement l'argent et, plus tard, la vengeance... L'histoire est en soi classique et les décors sont peu exotiques mais l'ensemble reste bien dosé, jonglant habilement entre le côté réaliste de l'intrigue et le côté dérisoire des films du genre : méchant improbable, patron albinos proche d'un personnage de bande dessinée et j'en passe. Niveau action, les séquences d'adrénaline ont assez mal vieilli et la fameuse scène d'escalade de l'Eiger n'est plus aussi impressionnante qu'à l'époque. Toutefois, le rythme du film est soutenu à la perfection, qualité qu'Eastwood ne réitèrera hélas pas avec son autre film d'espionnage sept ans plus tard : Firefox. Ainsi, La Sanction est un très bon film d'espionnage, peu conventionnel et finalement malin, à voir absolument en particulier pour les fans du genre.