Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Bleuzen Breiz
4 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 19 novembre 2023
Film complètement obsolète et inepte insultes régulières tout le long aux femmes qui sont bien évidement toutes des salopes juste bonnes a être « baissées « bien sûr…. remarques homophobes racistes on a droit à la totale ! 😁 avec le regard d’aujourd’hui ca fait peur quand même …. très très limite .Ça devait être cool les années 70! Enfin surtout pour les machos et les beaufs! Et la y’en a….
Pouuuh la la 🙄 Très nul. Très Gros-muscles, très macho, un brin raciste et homophobe, bref ! Du Eastwood de bas étage. Il a fait beaucoup mieux. On peut faire autre chose que regarder ce film, on y gagne forcément quelque chose ☝️😄
Le plus mauvais film réalisé par clint Eastwood au dela de la faiblesse du scénario, ce sont les dialogues qui sont très misogyne,homophobe et franchement raciste qui choquent aujourd'hui mais durant les années 70 c etait de rigueur. De plus le twist de fin est totalement rate non finalement il n est pas nécessaire de voir ce film.
Une oeuvre mineure dans la filmographie imposante de Clint Eastwood. Un thriller d'espionnage assez mou dans sa première partie d'exposition qui prend enfin un rythme plus plaisant et intense dans son dernier segment. Une intrigue brouillonne mais qui prend tout son sens dans la révélation finale, de bons passages d'alpinisme dans des décors naturels superbes. Un ensemble plutôt agréable mais vieillot. Pas mal mais sans plus.
Bon, il faut avouer que je ne suis absolument pas fan de ce type de sport extrême qu'est ascension. Donc, vous comprendrez que comme ce film est basé à presque 50% sur ce sport, que je n'ai pas accroché. Je n'ai même pas réussi à prendre parti pour le héros, c'est dire. Pourtant, je conçois que les scènes d'alpinisme sont exceptionnellement bien filmées, et que Clint est toujours très bien. A réserver aux amateurs d'alpinisme et de film d'action/espionnage pas trop difficile. Ceux qui ont en horreur les propos homophobes et sexistes feraient bien de passer leur chemin.
Un film qui ne m'avait pas laissé un souvenir intarissable, et à cette nouvelle vision, avec les quelques rajouts de scènes du blu-ray, le fil de l'histoire est plus compréhensible. Voir Eastwood en tueur de sang froid, qui sanctionne ces cibles avec un détachement so british, est assez amusant. On assiste à un sous James Bond, on se plonge dans un univers façon guerre froide, avec le maitre du jeu qui est joué par un albinos assez retord, on voit là quelques similitude avec les méchants du héros cité précédemment. La comparaison s'arrête là, puisque la seconde partie du film, est plus à l'image de Eastwood, on quitte le côté espionnage pour se retrouver dans un film d'aventure et d'exploit. De ce point de vue, le film est assez déroutant, et assez inégal; il souffre de longueurs et ensuite de moments forts, puis de longueurs. Un film assez mineur dans la carrière d'Eastwood.
Après le thriller psychotique “Un frisson dans la nuit”, le western “L’homme des hautes plaines” et l’histoire d’amour “Breezy”, Clint Eastwood se lance dans le film d’action avec “La sanction”. Le cinéaste-comédien prend le rôle d’un professeur d’art précédemment agent du gouvernement. Amateur et collectionneur, il finance ses tableaux en répondant à des contrats de tueur à gages pour un étrange cabinet. Pour sa nouvelle mission, sa cible est un tueur au service des Soviétiques. S’il accepte, il recevra un tableau de Pablo Picasso, s’il refuse, il sera dénoncé au fisc. Dos au mur, l’agent doit alors escalader le massif de l’Eiger en Suisse. Moins maîtrisée que ses précédents longs métrages, l’intrigue s’embrouille dans des explications ennuyeuses. Aussi, les décors montagneux ont extrêmement mal vieilli. Le seul argument de “La sanction” réside dans les scènes d’alpinisme, dangereuses à souhait et réalisées sans trucage. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Une vraie nullité, autant dans l'intrigue que dans le jeu des acteurs ou dans les dialogues. Misogyne, sexiste et raciste, ce film entache la carrière de Clint Eastwood qui ne nous a pas habitué à une telle médiocrité.
Après le très surprenant de sa part Breezy, Clint Eastwood décide pour son quatrième film en tant que réalisateur de revenir à un style d’œuvre plus conforme à l’image qu’il possédait dans les années 70 avec La Sanction. En effet, cette histoire d’espionnage et d’alpinisme est un pur film commercial des années 70. Ainsi, on y retrouve certaines caricatures qui ne passeraient plus de nos jours notamment en ce qui concerne les femmes (qui couchent toutes facilement et qui ne sont jamais dignes de confiance, tout comme les autres personnages il faut le reconnaître) et les homosexuels (le traître Miles Mellough). Toutefois, malgré cet aspect machiste, Eastwood n’oublie pas pour autant d’y inclure un peu de l’ambiguïtéspoiler: (Hemlock estime que son camp ne vaut pas mieux que ses adversaires) et de l’humanismespoiler: (notre héros se décide à frapper Pope quand ce dernier tient des propos racistes) qui le caractérisent. Il faut d’ailleurs noter que l’ambiguïté suscitée est hélas amoindrie dans la version courte qui fût exploitée dans certains pays (dont la France) qui supprima certaines scènes importantes pour cet aspectspoiler: (notamment sur la réalité des infos volées en début de film) . Cependant, même s’il y introduit certaines touches personnellesspoiler: (on peut penser qu’Hemlock abandonnant Miles en plein désert est un clin d’œil à la scène où Tuco faisait de même avec Blondin dans Le Bon, la brute et le truand de Sergio Leone) , le résultat fait partie de ses œuvres mineures (ce qui est regrettable quand on sait qu’un alpiniste participant au tournage y trouva la mort) et possède une révélation peu surprenante sur l’identité du tueur mais se suit tout de même avec plaisir (notamment pour ses magnifiques décors naturels) et reste divertissant.
j'adore clint eastwood mais là j'ai été déçu, certe il y a de belles scènes de montagne mais le scénario aurait pû être plus travaillé, on n'y croit pas une seconde à cette intrigue sur fond de mafia...s'il n'y avait pas eu ces scènes dans les montagne, ce film aurait été d'un ennui...
L’aventure alpiniste de Clint Eastwood s’avère passionnante à suivre parce qu’elle témoigne non d’un savoir-faire en matière de cinéma – le film ne vaut pas grand-chose exception faite de deux ou trois scènes dans la montagne – mais d’une représentation de la virilité aujourd’hui surannée voire outrancière : à peine sorti de L’Inspecteur Harry, le beau Clint passe derrière la caméra pour décliner James Bond au pays de l’Oncle Sam à grand renfort de remarques racistes, de blagues sexistes, de considérations homophobes qui contribuent à construire ou à renforcer le mythe de l’homme viril auquel il avait prêté ses traits quelques décennies auparavant. D’une part l’exercice physique, le mental d’acier, la rigueur à toute épreuve ; d’autre part la velléité d’imposer son opinion quant à des modes d’existence qui ne sont pas les siens : tout ce qui ne rentre pas dans le moule Eastwood est ridiculisé, tourné en dérision : la femme se réduit à un objet sexuel source de danger qu’il faut donc éviter, l’homosexuel est fourbe, adepte des intrigues menées sous le manteau, « par derrière »... La Sanction sanctionne autrui et impose sa loi. Objet curieux, le film tente des ruptures de ton qui jamais ne fonctionnent, choit souvent dans le burlesque (malvenu) comme ultime preuve que l’homme aux traits tirés sait aussi rire. La Sanction mérite le détour parce qu’il se donne tout entier en fenêtre ouverte sur les années 70 américaines et ses mentalités ; du reste, rien de très intéressant.
Un film qui sent bon les années 70 avec ses personnages sérieusement burnés, gouailleurs et qui ont la main leste pour enfiler les bourres-pif aux malandrins de passages et claquer les fesses soyeuses de donzelles peu farouches... (à moins que ce ne soit l'inverse). Si le scénario aurait gagné à se départir de quelques longueurs, il n'en reste pas plaisant avec ce mélange de film d'aventure "bondien" et de thriller. La "Eastwood touch" se reconnait parfaitement et permet à cet honnête divertissement de faire passer deux heures agréables, d'autant plus si l'on se laisse aller à rêver à un cinéma moderne bien plus décomplexé que celui d'aujourd'hui (entre le chien qui s'appele "paidai" et les remarques bien viriles qui volent, je me demande même pourquoi ce film n'a pas subit d'autodafé de la part de militant zélés et, bien sûr, tolérants...)
Je rêve ou CE flirte du côté de James Bond!!!! En plus grossier côté personnage. Sacrément mufle et pas d’une grande finesse. Je reconnais que je n’ai pas aimé toute la première partie. Énorme introduction pateaude. Passons donc la première heure et retrouvons-nous à la montagne pendant l’ascension où le récit se densifie heureusement grâce au facteur paysage et au danger permanent suscité par le sport extrême et le mystère de l’homme à éliminer. Cette partie est vraiment palpitante par son sujet, les images formidables et le suspens qui relèvent l’ensemble.