Derniers Avis : Les Guerriers de la nuit - Page 5

Un film culte parait-il. Ah. Moi j'ai vu que des mecs courir pour échapper à des bandes rivales. D'ailleurs il ne se passe que ça. C'est juste saoulant et ennuyeux.

Le premier film qui vient à l’esprit quand on voit "Les guerriers de la nuit" c’est "Orange mécanique", de presque dix ans son ainé, et là il ne supporte absolument pas la comparaison. On comprend aisément ce qui fait la différence entre un chef-d’œuvre et un film ordinaire. Pourtant "Les guerriers de la nuit" est plutôt intéressant sur quelques points : son contexte urbain nocturne et les transitions façon bandes dessinées plutôt bien faites. Si le scénario très simple dans sa structure peut réellement servir de bonne base à un film, la retenue visuelle dont il fait preuve (toujours comparé au film de Kubrick) est très surprenante vu le sujet, comme son manque flagrant de virtuosité dans la réalisation. C’est une impression de mollesse qui domine, sentiment peu flatteur renforcé par le jeu d’acteurs totalement inexpressifs.

Quelques images et dialogues ont peut-être un peu vieillies, l'intrigue principale assez légère, mais l'essentiel, l'action est là, assez bien faite, rappelant un autre grand film du genre, un certain " Orange Mécanique" :)

Film culte par excellence, ce récit d'une nuit mouvementée au cœur d'un New York laissé à la merci des gangs est un film d'action simple mais pas simpliste, dont le coté subversif fût très largement gommé à sa sortie. Derrière la caméra, l'excellent W. Hill maîtrise sa mise en scène et signe une épopée sauvage dans laquelle 8 types vont tenter de survivre alors même qu'ils sont pourchassé par tous les gangs de la ville. Leur course effrénée pour sauver leur peau ne se fera pas sans mal ni pertes et il leur faudra user de nombreux stratagèmes et jouer des poings pour retrouver leur territoire. Violent et brutal, le film se regarde vite mais ne s'oublie pas, les bastons sont imprégnées du style du maître de Hill, le grand S. Peckinpah (moult ralentis donc) et les acteurs sont assez convaincant. Un survival urbain crépusculaire, d'une beauté visuelle assez sidérante et qui peint la ville comme un immense terrain de chasse, rythmée par la musique d'époque (plutôt funk) et qui montre bien le retour à l'état animal de l'homme, loup parmi les loups, qui n'est jamais plus dangereux que lorsqu'il évolue en meute. D'autres critiques sur

L'idée générale de The Warriors "les guerriers de la nuit" est simple et originale tout comme l'effet bande-dessinée. De plus, le film est rythmé part les différentes étapes de plus en plus difficiles que doivent franchir les Warriors pour retourner à leur base. Ces étapes sont marquées par le son de la voix suave et mystérieuse de l'animatrice radio qui reste dans l'anonymat tout au long du film et qui nous fait découvrir, ou redécouvrir, avec grand bonheur la bonne vieille musique des 70's qui colle parfaitement à l'atmosphère sombre des banlieues newyorkaises de cette époque qui, ne l'oublions pas, est touchée par la nouvelle Hollywood.

Un film culte dont l’atmosphère singulière justifie à elle seule le statut. Il faut dire que celle-ci est brillamment distillée et on se laisse aisément imprégner par son esthétique urbaine et sombre. Le soin apportés à l’ambiance se voit par la qualité de la mise en scène qui du coût délaisse un peu l'action ce qui n'est pas vraiment un défaut en soit. Pourtant "The warriors" n’en est pas dénués; de défauts. Le film pèche notamment par son scénario plutôt simpliste ( voir carrément pathétique) et aussi par ces personnages très caricaturales. Aussi on se demande pourquoi le réalisateur a incrusté des planches de bandes dessinées pour appuyer la narration car outre leur qualité graphique, on ne peut s'empêcher de les trouver un peu "gadgets" (mais bon certes, on chipote là...).

Culte ? Ouais bon, c'est pas ma génération alors je vais être tolérant. En comparaison tout de même il y a Orange Mécanique qui est d'un autre niveau. Je retiendrais cependant une atmosphère typiquement 70's à New York avec son métro-graffitis et ses bandes rivales qui font un peu sourire tant c'est kitsch aujourd'hui.
Je m'attendais à plus de violence et de scènes choc donc un peu déçu.

Film culte des années 70's, encore bien connu des jeunes grâce au jeu vidéo édité chez Rockstar, The Warriors mérite vraiment qu'on y jette un œil. J'y ai même posé les 2 pour voir un peu ce phénomène de l'époque.

Court mais intense, The Warriors est le genre de film qu'on découvre chef d'œuvre vingt, trente ans après sa sortie. Le casting composé d'acteurs qui n'ont plus vraiment rien fait plus tard comme Michael Beck ou Terry Michos, voire même Brian Tyler et David Harris et de solides seconds rôles néanmoins un peu oubliés comme James Remar (excellent), David Patrick Kelly et même Dorsey Wright... Par ailleurs, David Patrick Kelly cabotine à fond les manettes à cause sans doute de son rôle, mais bizarrement ça colle parfaitement avec le film. Le parti pris esthétique de Walter Hill permet aussi au film de se détacher du reste de la production sur les films de gangs. Lynne Thigpen y tient un rôle égal à celui du grand Samuel L. Jackson dans Do The Right Thing.

Alors, ça a vieilli mais ça reste toujours aussi intense, sans néanmoins être aussi violent qu'à l'époque. Ma préférence va aux Baseball Furies avec leurs habits de joueurs de baseball et leur maquillage à la Kiss... La musique de Barry De Vorzon est géniale, voici un excellent chef d'œuvre. A voir absolument.

A part le final que je trouve un peu vite expédié, je trouve ce film génial en tous points ! Ambiance, musique, narration et la mise en scène de Walter hill sont un modèle du genre !

J'y croie pas... on passe vraiment 1h30 à voir toujours le même chose !
Les mecs courent, tapent, disent 10 grossièretés par phrase, courent, tapent, disent 10 grossièretés par phrase, courent, tapent, disent 10 grossièretés par phrase, courent, tapent, disent 10 grossièretés par phrase. Osez dire après que ce film n'est pas saoulant.

New York est un coin malfamé après une certaine heure , le gang des Warriors l'apprendra à ses dépens . Le film se regarde pour suivre les péripéties du gang , cependant on regrette le manque de réponses à certains passages du film .

Fort de ses petits succès du Bagarreur avec Charles Bronson et de Driver avec Ryan O'Neal, l'excellent scénariste Walter Hill tourne à la toute fin des années 70 ce qui deviendra l'un de ses films les plus connus, objet de culte parmi les cinéphiles : Les Guerriers de la nuit. Adaptation fidèle du roman-phare de Sol Yurick, le long-métrage narre la nuit mouvementée d'un gang des rues, les Warriors, accusés à tort d'avoir assassiné le pacifiste leader des différents clans de New-York. Fuyant la ville entière, prête à en découdre avec ces faux-coupables, les huit gaillards vont devoir faire des pieds et des mains pour survivre à la plus dangereuse des cités nocturnes. On découvre donc de manière très réaliste les bas-fonds de New York, ses métros dégueulasses, ses parcs désertés, ses rues sans vie et ses jeunes insouciants, en proie à une violence sans pareille. L'histoire se déroule donc en une nuit, le metteur en scène multipliant les moments forts et les rebondissements afin de garder son spectateur bien éveillé, que ce soit des affrontements verbaux ou d'autres, plus virulents, dans le métro, dans un parc ou dans des toilettes publics, ces dernières étant l'un des passages les plus mouvementés du film. Ceci dit, encensé de toutes parts et au statut culte encore aujourd'hui adopté, Les Guerriers de la nuit souffre tout de même un manque de punch avec du recul. En effet, menés par de jeunes très bons acteurs (dont Michael Beck et James Remar), les Warriors ne font finalement pas si peur que ça. S'ils combattent bien avec leurs petits bras tous frêles, la plupart sont peureux et facilement intimidés quand il s'agit d'affronter un gang plutôt avenant ou de draguer de jolies minettes. On notera également l'exagération qu'opte Walter Hill quant à la ville elle-même, New York n'étant ici uniquement constitué QUE de clans rivaux, la plupart des citoyens lambdas se cachant surement dans leurs tanières. Ainsi, conservant son statut de film culte ultra-violent pour l'époque, Les Guerriers de la nuit prend aujourd'hui un sacré coup de vieux tout en restant naturellement un excellent spectacle certes tiré par les cheveux mais bigrement efficace.

Sur fond de guerre des gangs, ce film montre l'attachement du territoire. Très bien tourné, vous n'hésiterez plus à rentrer tôt chez vous.

Un film d'action qui a quelque peu vieillit mais qui reste haletant et se laise regarder. L'ambiance musicale du film tres 70's/80's accompagne bien le tout

Le film a vieilli, mais il est toujours prenant. Un des rares films d'action que j'adore. Un gros reproche : l'acteur principal n'a vraiment ni la tête ni le jeu de l'emploi, mais c'est de bandes qu'il s'agit... ça rattrape. J'aime surtout les costumes et les ambiances. A voir. Il ne fait pas trop mal au cerveau, ça va.