Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Positif
par Yannick Lemarié
En recourant à des coupes narratives ou temporelles, [Widerberg] se libère d'un pur temps chronologique et analytique pour aller à la recherche d'une vérité affective. Sans cri intempestif. Sans hurlement inutile. Il fait la démonstration de son art.
Critikat.com
par La Rédaction
Après "Le Péché suédois" et "Le Quartier du corbeau", drames consciencieux qui prenaient racine dans le monde ouvrier, "Amour 65" se recroqueville et fait entrer pour de bon le cinéma de Widerberg sous le giron de la Nouvelle Vague française.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
"Amour 65" n'a rien d'un pensum branché (sixties) et témoigne d'une constante liberté de ton et de narration (...). La mise en scène, toute aussi inventive et disparate, joue des échelles de plan, des ellipses...
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une vision buissonnière et désinvolte du métier de cinéaste. Un reflet presque candide de l'ère pop.
Positif
En recourant à des coupes narratives ou temporelles, [Widerberg] se libère d'un pur temps chronologique et analytique pour aller à la recherche d'une vérité affective. Sans cri intempestif. Sans hurlement inutile. Il fait la démonstration de son art.
Critikat.com
Après "Le Péché suédois" et "Le Quartier du corbeau", drames consciencieux qui prenaient racine dans le monde ouvrier, "Amour 65" se recroqueville et fait entrer pour de bon le cinéma de Widerberg sous le giron de la Nouvelle Vague française.
Les Inrockuptibles
"Amour 65" n'a rien d'un pensum branché (sixties) et témoigne d'une constante liberté de ton et de narration (...). La mise en scène, toute aussi inventive et disparate, joue des échelles de plan, des ellipses...
L'Humanité
Une vision buissonnière et désinvolte du métier de cinéaste. Un reflet presque candide de l'ère pop.