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C'est une belle petite comédie sentimentale, de celles que l'on est heureux de découvrir et dont on aimera se rappeler lorsque le cinéaste aura réussi à se faire connaître vraiment.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le style clinique adopté par la réalisatrice, Carine Adler, sa volonté de démonter un processus d'autodestruction, évitant ainsi de sombrer dans le sentimentalisme (...) , aboutissent à un film très convaincant à peine terni par un onirisme malvenu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Filmer son héroïne (Samantha Morton, tout sauf pathétique) dans une chambre en train de faire l'amour en alternance avec une scène d'incinération n'est pas forcément très subtil. Mais la description des rapports mère-fille et soeur-soeur(...), ça oui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ces dernières semaines, jouir s'est conjugué sur deux modes, le sublime et le misérable. Alors que Romance monte au ciel, Under the skin reste en dessous de tout.
L'Obs
C'est une belle petite comédie sentimentale, de celles que l'on est heureux de découvrir et dont on aimera se rappeler lorsque le cinéaste aura réussi à se faire connaître vraiment.
L'Obs
Under the Skin est un premier long métrage très maîtrisé, original et inventif, qui pâtit seulement du caractère répétitif de son scénario.
Le Figaroscope
Une peinture violente de deux femmes au caractère diamétralement opposé face au deuil et à l'absence. Un film sensible et réaliste.
Le Monde
Le style clinique adopté par la réalisatrice, Carine Adler, sa volonté de démonter un processus d'autodestruction, évitant ainsi de sombrer dans le sentimentalisme (...) , aboutissent à un film très convaincant à peine terni par un onirisme malvenu.
Première
Filmer son héroïne (Samantha Morton, tout sauf pathétique) dans une chambre en train de faire l'amour en alternance avec une scène d'incinération n'est pas forcément très subtil. Mais la description des rapports mère-fille et soeur-soeur(...), ça oui.
Télérama
C'est un premier film. Très anglais. Un rien trop. Du Mike Leigh miniature.
Les Inrockuptibles
Ces dernières semaines, jouir s'est conjugué sur deux modes, le sublime et le misérable. Alors que Romance monte au ciel, Under the skin reste en dessous de tout.