Mon compte
    17, rue Bleue
    Note moyenne
    3,5
    13 titres de presse
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Aden
    • Ciné Live
    • L'Express
    • Le Figaro
    • Studio Magazine
    • Télérama
    • Zurban

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    13 critiques presse

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    C'est là la force de ce film (autobiographique) : glisser insensiblement, irrémédiablement, sans effet de manche stylistique, dans la noirceur la plus noire. L'invasion fantasmatique de l'appartement par les cafards donne le ton de cette partie cauchemardesque. Un cinéaste à suivre.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    L'Obs

    par François Forestier

    L'émotion que suscite ce premier long métrage ouvertement autobiographique dépasse le cadre de la simple chronique familiale. Elle tient à la justesse du regard que le réalisateur porte sur les joies et les déchirements de son enfance.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    En inscrivant délibérément son film sous le signe du faux (...), Chad Chenouga est parvenu à nouer les fils de son histoire intime (la quête douloureuse des origines) avec ceux de la grande Histoire (le désastreux bilan franco-algérien), pour mieux atteindre à la vérité de l'une et de l'autre.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Parisien

    par Alain Grasset et Philippe Vavasseur

    Histoire d'un bonheur abattu en plein vol, le film passe du bleu au noir sans faux effets, sans fioritures. Le cinéaste avait quelque chose à expulser, il s'y attache du mieux possible.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Inrockuptibles

    par Amélie Dubois

    On regrette juste que Chad Chenouga, dans ce beau et fort récit autobiographique, ne nous invite pas plutôt à croire en la charge affective de cet espace spatial devenu mental, où l'impossible réintégration de ce qui n'est plus (un frère, un amant, une certaine reconnaissance) apparaît par petites touches.

    Libération

    par Philippe Azoury

    Le regard de Chad Chenouga, (...) encourait le risque de l'empathie gênante : il est, tout au contraire, parcouru de frissons, chaque scène se constituant en autel des passions où l'ex-enfant rassemble les éléments de sa vie pour décrire celle qui fut sa mère sans pour autant céder à l'hystérie, sans non plus que cet amour pour elle jamais ne se décourage.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Aden

    par Philippe Piazzo

    Il y a (...), dans cette évocation d'une enfance qui va progressivement à la dérive, comme l'offrande au spectateur d'une douleur longtemps tue. Elle est évidente, évidemment touchante, et passe outre la maladresse de la mise en scène ou du jeu des acteurs.

    La critique complète est disponible sur le site Aden

    Ciné Live

    par Grégory Alexandre

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    L'Express

    par Eric Libiot

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    La critique complète est disponible sur le site L'Express

    Le Figaro

    par La rédaction

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Studio Magazine

    par Thierry Cheze

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    Télérama

    par Jean-Claude Loiseau

    Pas de pathos, pas de complaisance non plus. Plutôt un heureux parti pris de mise en scène : le délabrement physique et mental de la mère est décrit de manière quasi fantastique. En quelques scènes où l'étrange contamine discrètement le récit, le film sort alors des rails du souvenir filial et nous embarque dans une virée cinématographique pas banale.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Zurban

    par Claire Vassé

    Sans pathos ni fausse pudeur, 17, rue Bleue et ses trois remarquables interprètes font surgir, avec douceur, les émouvants fantômes d'un passé douloureux.

    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top