Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
C'est là la force de ce film (autobiographique) : glisser insensiblement, irrémédiablement, sans effet de manche stylistique, dans la noirceur la plus noire. L'invasion fantasmatique de l'appartement par les cafards donne le ton de cette partie cauchemardesque. Un cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
L'émotion que suscite ce premier long métrage ouvertement autobiographique dépasse le cadre de la simple chronique familiale. Elle tient à la justesse du regard que le réalisateur porte sur les joies et les déchirements de son enfance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
En inscrivant délibérément son film sous le signe du faux (...), Chad Chenouga est parvenu à nouer les fils de son histoire intime (la quête douloureuse des origines) avec ceux de la grande Histoire (le désastreux bilan franco-algérien), pour mieux atteindre à la vérité de l'une et de l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset et Philippe Vavasseur
Histoire d'un bonheur abattu en plein vol, le film passe du bleu au noir sans faux effets, sans fioritures. Le cinéaste avait quelque chose à expulser, il s'y attache du mieux possible.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
On regrette juste que Chad Chenouga, dans ce beau et fort récit autobiographique, ne nous invite pas plutôt à croire en la charge affective de cet espace spatial devenu mental, où l'impossible réintégration de ce qui n'est plus (un frère, un amant, une certaine reconnaissance) apparaît par petites touches.
Libération
par Philippe Azoury
Le regard de Chad Chenouga, (...) encourait le risque de l'empathie gênante : il est, tout au contraire, parcouru de frissons, chaque scène se constituant en autel des passions où l'ex-enfant rassemble les éléments de sa vie pour décrire celle qui fut sa mère sans pour autant céder à l'hystérie, sans non plus que cet amour pour elle jamais ne se décourage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Aden
par Philippe Piazzo
Il y a (...), dans cette évocation d'une enfance qui va progressivement à la dérive, comme l'offrande au spectateur d'une douleur longtemps tue. Elle est évidente, évidemment touchante, et passe outre la maladresse de la mise en scène ou du jeu des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Pas de pathos, pas de complaisance non plus. Plutôt un heureux parti pris de mise en scène : le délabrement physique et mental de la mère est décrit de manière quasi fantastique. En quelques scènes où l'étrange contamine discrètement le récit, le film sort alors des rails du souvenir filial et nous embarque dans une virée cinématographique pas banale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Sans pathos ni fausse pudeur, 17, rue Bleue et ses trois remarquables interprètes font surgir, avec douceur, les émouvants fantômes d'un passé douloureux.
L'Humanité
C'est là la force de ce film (autobiographique) : glisser insensiblement, irrémédiablement, sans effet de manche stylistique, dans la noirceur la plus noire. L'invasion fantasmatique de l'appartement par les cafards donne le ton de cette partie cauchemardesque. Un cinéaste à suivre.
L'Obs
L'émotion que suscite ce premier long métrage ouvertement autobiographique dépasse le cadre de la simple chronique familiale. Elle tient à la justesse du regard que le réalisateur porte sur les joies et les déchirements de son enfance.
Le Monde
En inscrivant délibérément son film sous le signe du faux (...), Chad Chenouga est parvenu à nouer les fils de son histoire intime (la quête douloureuse des origines) avec ceux de la grande Histoire (le désastreux bilan franco-algérien), pour mieux atteindre à la vérité de l'une et de l'autre.
Le Parisien
Histoire d'un bonheur abattu en plein vol, le film passe du bleu au noir sans faux effets, sans fioritures. Le cinéaste avait quelque chose à expulser, il s'y attache du mieux possible.
Les Inrockuptibles
On regrette juste que Chad Chenouga, dans ce beau et fort récit autobiographique, ne nous invite pas plutôt à croire en la charge affective de cet espace spatial devenu mental, où l'impossible réintégration de ce qui n'est plus (un frère, un amant, une certaine reconnaissance) apparaît par petites touches.
Libération
Le regard de Chad Chenouga, (...) encourait le risque de l'empathie gênante : il est, tout au contraire, parcouru de frissons, chaque scène se constituant en autel des passions où l'ex-enfant rassemble les éléments de sa vie pour décrire celle qui fut sa mère sans pour autant céder à l'hystérie, sans non plus que cet amour pour elle jamais ne se décourage.
Aden
Il y a (...), dans cette évocation d'une enfance qui va progressivement à la dérive, comme l'offrande au spectateur d'une douleur longtemps tue. Elle est évidente, évidemment touchante, et passe outre la maladresse de la mise en scène ou du jeu des acteurs.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Pas de pathos, pas de complaisance non plus. Plutôt un heureux parti pris de mise en scène : le délabrement physique et mental de la mère est décrit de manière quasi fantastique. En quelques scènes où l'étrange contamine discrètement le récit, le film sort alors des rails du souvenir filial et nous embarque dans une virée cinématographique pas banale.
Zurban
Sans pathos ni fausse pudeur, 17, rue Bleue et ses trois remarquables interprètes font surgir, avec douceur, les émouvants fantômes d'un passé douloureux.