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Un visiteur
0,5
Publiée le 3 novembre 2021
Le pire James Bond de la série , d’un ennui intersidéral, un Roger Moore ringard, une histoire sans intérêt, le seul bonheur du film, les yeux de Carole Bouquet
Il faut être indulgent pour revoir les vieux JB mais quand ils rentrent dans le 2CV jaune, je me suis demandé s’ils n’allaient pas nous refaire le coup de la bonne soeur dans le gendarme de St-Tropez!!! Cela dit les courses de voiture à l’ancienne ont du cachet!! Honnêtement c’est plutôt ennuyeux et très moyen. Le plus bluffant étant quand même la poursuite à ski et l’arrivée dans la piste de bobsleigh et la musique assez réussie.
Un couple d’archéologues marins se fait assassiner sous les yeux de leur fille Melina (Carole Bouquet). Les services secrets britanniques s’intéressent à l’organisation criminelle à l’origine de ce crime, celui-ci étant lié à une opération d’espionnage. James Bond croise donc la route de Melina. Le film est très rythmé, il y a des retournements de situation. De plus, les scènes d’action sont nombreuses et surtout très réussies comme celle sur les pistes (James Bond est à ski, les “ennemis” sont en moto), ou encore la course poursuite en voiture. Il y a d’ailleurs beaucoup d’humour (cette même course poursuite opposant les “méchants” à James Bond et Melina qui conduisent une toute petite voiture jaune). Melina est une James Bond girl avec du fond et une histoire personnelle intéressante. Seul regret : j’ai trouvé le méchant peu charismatique et pas très effrayant.
For Your Eyes Only, premier film tourné sous la houlette de John Glenn a le mérite de dynamiter la vieille guimbarde, son générique n'étants pour autant pas gage de sureté. Sérieusement, Moonracker ayans laissé des traces dans le genre grand guignolesque il est bon de voir de nouvelles intentions et recadrage considérable sur de l'action en bonne et due forme. Rien de trop gourmand dans cette demande, non ?
Alors voilà, il y'a bien des excès, des manqués, une certaine longueur et un sous texte plus qu'au ras des pâquerettes, jusqu'ici rien de nouveau mais il faut néanmoins reconnaitre que la caméra cette fois fais un certain effet. La course poursuite en 2 CV, celle à ski, voir ce combat sur la patinoire ont un peu de gueule quand même. Un net regain en la matière qui me va parfaitement.
Quand à Roger Moore, il est comme toujours sur un fil. Il tire la langue et n'a pas le magnétisme de son prédécesseur mais il compose avec son sens de la dérision. Il réussit un truc et se vautre dans la seconde qui suit mais cela fait son charme. Il reviens de tellement loin que pour le coup je ne tiens pas à être trop exigeant avec lui. Carole Bouquet est elle aussi un peu moins esquinté que d'autres " Girl " de la série. Elle est dans un premier temps assez intéressante. Ca ne tiens pas, mais il y'a un moindre effort sur le sujet ... Oui, je bois le verre à moitié plein. Chaim Topol lui se rend sympathique tout de suite.
Les pantoufles n'ont beau ne pas être très loin, ce film un peu plus nerveux que les autres gagne de l'estime et repart sur des bases moins beaufs. Pourvu que la suite s'en inspire.
Les James Bond se suivent et se ressemblent et continuent de surfer sur la mode, ici les Jeux Olympiques d'hiver américain avec ses séquences de biathlon, de bobsleigh, de patinage ou encore de saut à ski. James Bond en rendu à être une marionnette aux mains des publicitaires. Quand on adapte les scénarios aux envies des créanciers, on perd en intérêt pour le spectateur. On ne retiendra pas grand chose de cette histoire à nouveau confuse où le méchant est banal à souhait et la James Bond girl, la française Carole Bouquet très mauvaise actrice... Heureusement, le film regorge de nombreuses scènes d'actions spectaculaires qui ont peu vieilli, l'hélicoptère, les courses poursuite, l'escalade de la falaise.
Après avoir envoyé 007 dans l’espace dans Moonraker, il semblait difficile de pousser la saga James Bond plus loin. Eon Productions comprit cela et décida de revenir aux origines du personnage. Rien que pour vos yeux est effectivement beaucoup plus terre à terre et sérieux en cherchant le plus possible (dans les limites de l’incarnation du personnage par Roger Moore) à rester crédible. L’ensemble laisse peu de place à l’humour et Bond redevient le personnage capable de tuer de sang froid qui était présent dans les romans de Ian Fleming. Même si le personnage de Q. n’a pas disparu (à l’inverse de celui de M. dont on dit qu’il est en vacances pour éviter de remplacer trop rapidement un Bernard Lee extrêmement souffrant et qui décédera en cours de tournage), les gadgets sont quasiment absents de cette histoire qui privilégie une action plus réaliste. Ce désir de revenir à un personnage plus dur se voit aussi dans le choix de ne plus jouer sur le côté tombeur de ces damesspoiler: : si on excepte la dernière séquence où, pour répondre aux codes habituels de la saga, Melina finit dans ses bras (alors qu’aucun rapport de séduction ne s’était véritablement instauré entre les deux jusqu’ici), Bond ne couchera qu’avec une seule femme (au bout d’une heure de film) qui mourra d’ailleurs peu après et refuse même les avances de Bibi qu’il juge trop jeune. Cela peut également être à rapprocher de la séquence d’ouverture où notre héros se recueille sur la tombe de Teresa (son éphémère femme d’Au service secret de sa Majesté) avant d’affronter une dernière fois (dans la saga officielle et avant le reboot de l’ère Daniel Craig) Blofeld même si celui-ci n’est jamais clairement nommé (pour des problèmes juridiques suite au procès de Kevin McClory) . Ainsi, pour son premier film, John Glen (qui n’était pourtant pas un nouveau venu dans la saga puisqu’il avait été réalisateur de seconde équipe et monteur sur plusieurs volets) apporte une certaine patte moins fantaisiste (même si on peut être surpris à la fin de découvrir une Margaret Thatcher aux fourneaux !) et jouant moins sur l’exotisme mais qui reste assez efficace. On pourra même apprécier son traitement des séquences sous-marines nettement plus palpitantes que celles d’Opération tonnerre. Ce changement de traitement passe également par la musique. L’exil fiscal de John Barry l’empêchant de tourner en Grande-Bretagne, l’occasion est donnée à Bill Conti d’offrir un ton musical différent et plus sombre à la saga. On peut se demander également si ce n’est pas cette volonté de renouveau qui a poussé Maurice Binder à faire apparaître physiquement dans son générique l’interprète de la chanson-titre, à savoir Sheena Easton, rapprochant ce passage obligé d’un clip. Les amateurs du Roger Moore fantaisiste pourront peut-être un peu regretter ce virage stylistique mais cela dépendra des attentes de chacun. D’un point de vue plus objectif, on pourra surtout regretter un méchant peu charismatique (peut-être le moins mémorable de la saga), ce qui affaiblit un peu l’ensemble. Malgré ce petit défaut, Rien que pour vos yeux est une forme de retour aux sources (qui sera cependant rapidement oubliée dès le film suivant, Octopussy) qui pourra plaire aux amateurs d’une version plus sérieuse du personnage et qui pourront apprécier également le fait d’adjoindre au héros comme James Bond girl une femme forte (nous sommes loin des personnages de potiches de certains épisodes précédents) qui, de plus, est interprétée par une actrice française qui commençait à faire parler d’elle : Carole Bouquet.
Pour son premier long-métrage en tant que réalisateur, John Glen signe le douzième opus de la saga « James Bond ». Sorti en 1981, on retrouve Roger Moore qui assume désormais pleinement son rôle avec charme, élégance et humour. A la recherche d’un système de lancement de missile coulé au fond l’océan, le célèbre agent secret est accompagné d’une James Bond girl (Carole Bouquet) plus consistante que d’habitude. L’action pleine de rebondissements s’appuie sur un scénario solide dans lequel les nombreux « méchants » rivalisent d’ingéniosité. Les fameux gadgets sont également moins présents dans cet épisode, offrant même la part belle à une mémorable course-poursuite en Citroën 2CV. Bref, un divertissement convenable.
Après un épisode un peu décevant qui envoyait 007 dans l'espace, ce nouvel opus ramène notre agent secret sur la terre ferme et nous offre un très bon film. Basé sur un scénario solide, l'intrigue nous offre de nombreux morceaux de bravoure et de très bonnes scènes d'action. Se déroulant pour une grande part dans les îles grecques, le scénario nous offre notre lot de magnifiques paysages. On notera la belle performance de la toute jeune Carole Bouquet en James Bond girl. Ce film est pour moi le meilleur de l'ère Roger Moore.
Sans doute la mission la plus ennuyeuse de James Bond ! Voilà pourquoi, a mon humble avis, l'accent est mis sur les courses poursuites (parfois interminables) et les cascades (parfois impressionnantes), a l'image de cette séquence pré-générique saisissante ou 007, trimbaler dans un hélicoptère piloter a distance, affronte pour la dernière fois Ernst Stavro Blofeld (non créditer). Au final je ne retiens de ce film que cette scène qui met un terme a vingt ans d'intimité entre les deux personnages.
Après le succès vertigineux d’un « Moonraker » tout bonnement indigent, on pouvait s’attendre à ce qu’Albert Broccoli exige que la même soupe indigeste soit servie aux spectateurs, misant sur la lenteur de leur réaction à flairer la supercherie. Il sera alors toujours temps de remplacer un Roger Moore périmé par un acteur plus jeune qui réactivera la saga. Plus question de cascades pour l’acteur filant désormais sur ses 55 ans, un âge où tous les espions de littérature ou de cinéma sont déjà morts ou en retraite. La réalisation est confiée à John Glen, assistant de Lewis Gilbert sur « L’espion qui m’aimait » et « Moonraker ». Autant dire un « yes man » qui sera aux ordres. L’agent 007 revient sur Terre après les élucubrations interstellaires de « Moonraker » ou plutôt dans les eaux turquoises grecques pour tenter de retrouver les saboteurs d’un système anti-détection (ATAC) mis au point par un couple d’ingénieurs dont la fille (Carole Bouquet plutôt terne) ayant assisté à leur assassinat, décide de les venger. Elle fera équipe avec un Bond devenu romantique qui passera les deux heures interminables du film à justifier qu’il a pris tous ces risques insensés à ski, en bobsleigh ou en escalade « Rien que pour les yeux » de la jolie Carole. « For your eyes only », la chanson du générique interprétée par Sheena Easton est d’ailleurs la seule chose à sauver de ce deuxième naufrage consécutif. Signe de la désinvolture de l’entreprise, un méchant clairement identifié ne sera même pas donné aux spectateurs qui pourtant en raffolent. Le challenge désormais pour le spectateur averti sera de savoir si Albert Broccoli et son équipe arriveront à faire pire. Faisons leur confiance. Heureusement Roger Moore a pu assurer ses vieux jours. C’est toujours ça !
Rien que pour vos yeux est un des pires James Bond que j’ai vu. Une borne sous marine très importante pour l’armée anglais est volée. James Bond est donc chargé de la récupérer. Nous allons d’abord abordez les points positifs. Le film respecte sa promesse, la première partie est très impressionnante avec sa poursuite en voiture en Italie et sa poursuite en ski dans la neige et sur une piste de Bobsleigh. Ces scènes sont à couper le souffle et assez originale. Roger Moore est comme à son habitude flegmatique et remplit parfaitement son rôle. L’escalade des dolomites est elle aussi assez fantastique. La musique de Bill Conti est très inspirée. La musique thème est pas mal. Maintenant les point négatif. Le scénario est parfaitement inintéressant et ennuyeux. Toute la 2ème partie est longue et plate. La scène d’introduction est ridicule et inutile. Le méchant n’est ni intéressant ni effrayant. La James Bond Girl jouée par Carole Bouquet est inexpressive et joue assez mal. Bibi Dahl, même si elle est charmante est inutile et stéréotypée. Les batailles sont aussi peu impressionnantes. Les dialogues sont faibles. Le rythme est lent. La relation entre James Bond et Carole Bouquet est peu développée. La conclusion est peu inspirée. Bref, on s’ennuie.
Pas terrible mais pas mauvais non plus, cet opus contient beaucoup de longueurs. Roger Moore incarne un James Bond kitsch mais c'est évidemment l'époque qui veut ça. Les méchants sont ridicules et loin d'être crédibles. Carole Bouquet est sublime mais ne parvient pas à sauver le film.
La partie pré-générique use de deux grosses ficelles ineptes qui marquent finalement un vrai manque de créativité. Heureusement, la suite s'avère être une bonne surprise avec un Roger Moore un soupçon moins ancré dans une sorte de parodie dans laquelle il avait fini par tomber ; en même temps, rappelons que l'acteur suit avant tout les directives du metteur en scène ! Niveau Bond Girl on reste par contre très frustré, avec pourtant la frenchy Carole Bouquet, bien que très classe, n'a un rôle que très peu exploité voir décoratif. Par là même, le grand méchant manque de charisme et reste trop en retrait. Le point fort reste pourtant l'intrigue mêlant une organisation criminelle et un belliciste soviétique à l'aube d'un apaisement pré-Perestroika. Bond voyage et offre un exotisme nouveau notamment avec la Grèce et les magnifiques Météores. Un bon moment. Site : Selenie
Hotinhere je pense que vous confondez avec Moonraker ( le précédent ) qui lui a été tourner en france celui ci rien que pour vos yeux n'a pas mit un pied en france a part carole bouquet et remy julienne pour les cascades et peugeot pour les 504 noir et citroen pour la 2 CV