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Un visiteur
3,5
Publiée le 21 mars 2013
Un troisième opus qui marque le tournant dans la saga. Se déroulant cette fois-ci dans le présent (dans les années 1970, le film a donc beaucoup vieilli), cet épisode possède une intrigue intéressante qui apporte des réponses précises aux questions que l'on pouvait se poser (quand, comment et pourquoi la planète des singes ?). Un début culte, une très belle fin et un ensemble alternant le comique, la légèreté mais aussi le sérieux et le drame font de Cornélius et Zira un couple attachant. Ce film permet à Roddy McDowall (Cornélius) de s'imposer comme un excellent acteur. On notera également la bonne prestation de Kim Hunter (Zira). Côté humains, c'est Eric Braeden qui incarne un personnage marquant aussi bien dans ses propos que dans ses actes. Le reste du casting est moyen, le scénario recèle de quelques facilités et certaines touches d'humour sont poussives, mais le film se regarde avec intérêt car il montre les prémisses de la décadence des humains aux yeux des singes humanoïdes.
Et on inverse les rôles : cette fois-ci se ne sont plus les humains qui partent à la rencontre des singes, mais l’inverse. La terre a beau avoir explosé, trois chimpanzés remontent dans le temps et arrivent deux milles ans avant leur ère. Bon, passons l’ineptie scénaristique qui explique l’arrivée des chimpanzés, et savourons cette troisième partie fort drôle et palpitante. A la manière de LA PLANETE DES SINGES qui voyait l’arrivée d’un homme chamboulant les croyances des singes, les humains vont devoir réviser leur jugement. Le film aurait pu tourner à la comédie inutile voyant les chimpanzés démarrer une nouvelle vie avec les humains, mais le scénariste fait preuve d’une imagination incroyable. Devant la peur de l’avenir suite aux déclarations des chimpanzés, les humains décident le tout pour le tout pour conserver leur première place dans la chaîne alimentaire et intelligente. Cruauté, noirceur de la race humaine, égoïsme devant la peur primaire de mourir, le véritable visage de l’Homme apparaît. Et même si la fin bascule un peu trop dans la chasse au singe guère mouvementée, on ne peut qu’admirer un scénario malin rendant ce film plus intéressant que le précédent.
nul et archie nul Roddy Mcdowall revient dans ce 3eme opus ainsi que Kim Hunter derrière ces masques de singe grimés étaient déjà des acteurs vieillissants(il sont commencés tout deux dans les années 40) l'histoire est l'inverse du premier,l'homme se trouve propulsé sur une planète croyant être inconnue et qui en réalité est la Terre (La planète des singes) et dans ce 3eme opus ce sont les singes parmi lesquels font le voyage inter espace inverse grotesque,mesquinerie insupportable et aucune idée de scénario un film à éviter
Un troisième épisode ou on retrouve avec plaisir Zira et Cornélius. Avec toujours une petite morale philosophique sur notre société, la déchéance humaine prend ici tout son sens.
Inversons les rôles...c'est la base de cette nouvelle suite largement meilleure que le précédant, mais qui ne vole jamais haut. Prévisible, il hésite entre comédie et drame, le tout étant assez mal dosé finalement.
On retrouve avec un vrai plaisir l'univers de la planète des singes découvert lors du 1er opus et ridiculisé dans le 2ème. L'action se passe sur Terre dans notre civilisation, Cornélius et zyra ayant grâce à la fusée de Taylor trouvé le moyen de remonter le temps. Là quelques libertés sont prises avec le 1er film car les auteurs nous proposent le lien entre l'Homme et le singe, alors que ces derniers avaient construits une véritable mythologie autours de leurs origines feignant d'ignorer le passé glorieux des hommes. A nouveau des thèmes comme le racisme, l'esclavagisme, la peur et la propension de l'homme à s'autodétruire sont mis en avant, avant une fin tragique qui laisse préssuposer le prochain épisode qui reste à jamais gravé dans mon souvenir d'enfant.
C'est avec ce troisième film que la saga commence réellement, suites sans fin amenant progressivement vers un éternel recommencement. Une idée bien trouvée pour ce troisième opus, avec une explication aussi inventive que saugrenue. Souvenez-vous, à la fin du Secret de la Planète des Singes, Taylor appuie sur le bouton et la planète entière explose. Une fin des plus nihilistes, sans aucun espoir ni suite à l'horizon. L'existence a succombé. Mais on découvre que trois singes ont réussi à s'évader grâce à une machine à remonter le temps qui les emmène, non pas dans le futur comme Charlton Heston avant eux, mais bel et bien dans le passé ! On les voit donc confrontés aux humains en proie à la haine raciale, aux complications des choses simples et à une civilisation appropriée (couverts, habits, etc...). On y voit surtout une exploitation de la vie et les différentes expérimentations faites sur les animaux. En dehors de cet aspect purement critique, l'aventure est en soi-même glauque, sombre, montrant un passé aux airs futuristes, où les hommes sont ici les méchants. Comme à l'habitude, la fin purement nihiliste laisse pourtant présager un espoir à travers un mot symbolique, confrontant toute la haine jadis endurée : "Maman !"
De nouvelles situations telle que cette ville des 50's recrée spécialement pour le film apporte de nouveaux éléments assez originaux à cette séquelle, par ailleurs agréable & bien pensée surtout quand elle nous montre bien évidemment la mentalité simiesque à l'oeuvre tentant désespérement de faire passer les rebelles pour des attardés mentaux et/ou autres distinctions ; et bien sûr pour sa philosophie expliquée d'ailleurs par Zira ; assimiler le maniérisme à la distinction naturelle, sinon le matérialisme à la vraie culture - curieusement actuelle... -
Malheureusement les suites de films sont rarement a la hauteur du premier et c'est vraiment le cas avec ce film.Les producteurs tirent sur la corde du succès du premier volet de la série.Ne vous attendez pas a un scènario car il n'y en a pas,et le résultat de cette machine faite pour attirer le spectateur grace au succès du premier volet et complétement idiot sans aucun interet,et heureusement qu'il y a dans le titre les mots planetes des singes car il n'y a vraiment aucun rapport avec le premier film d'anticipation et cette farce grotesque.Ou la seul originalité est d'avoir scènario est inversé les roles,quel trouvaille!C'est complétement nul est totalement grotesque,la serie tv est bien meilleur que cette daube.
Presque comique, ce nouvel opus voit des singes vivant la situation de Charlton Heston dans le premier opus. Revenus dans le passés, Cornélius et Zira deviennent des stars médiatiques avant d'être pourchassés dans une seconde partie plus sombre. Un film qui a presque le cul entre deux chaises et qui va finalement trop loin dans l'absurde et la moralisation.
Troisième épisode qui ne se déroule pas le futur, mais dans notre présent. Scènes assez cocasses, durant la première heure : on y voit Cornélius et Zira confrontés à la vie quotidiennea méricaine. Puis on bascule dans un registre plus grave : l'homme peut-il, s'il a connaissance de son avenir, le changer en influant sur le présent ? La fin est très triste aussi.
Seconde suite, plus légère que les autres volets. On pourrait même dire que ce troisième film est plus destiné aux enfants qu'aux adultes. Pas mal d'humour et de situations cocasses, un film qui montre une situation totalement inversée (et pour nous, logique : des singes catapultés dans le passé, lorsque les hommes dirigeaient la Terre et que les singes n'étaient que des animaux comme les autres), et qui est assez original. Mais il est un des deux moins forts de la saga.
Le troisième volet de la saga superbement inaugurée par Shaffner en 1968 change encore de réalisateur. Cette fois, Don Taylor s'y colle, et avec une extrême fébrilité selon moi. Outre le scénario qui se base sur une idée intéressante (processus inverse des deux premiers films), Taylor s'inscrit dans la transgression directe de la fin du 2e opus. Moins de cynisme, d'ironie, et de réflexion, et beaucoup plus d'humour, voilà le programme de ce long-métrage de 1971. Décevant donc, même si le retour de Roddy McDowall est des plus appréciables.
Un film très spirituel avec des acteurs toujours aussi remarquables et une fin toujours aussi poignante. On en vient quand meme a regretter la domination des singes(chose trés étrange) et le milieu du film reste parfois un peu plat.Sinon,le film vaut quand meme la peine d'etre vu.