Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Télérama
par Isabelle Fajardo
Paroles de Bibs va bien au-delà du simple droit de réponse : le livre du patron n'est finalement qu'un prétexte à raconter ce qu'ils vivent à l'usine et ce que sont l'esprit, la culture, la mémoire Michelin (...) Ce qui frappe, c'est la qualité de cette parole ouvrière qu'on entend généralement si peu au cinéma ou à la télévision. Cette parole trop rare, profonde et courageuse (...) fait de ce documentaire un véritable événement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Le film offre (aux ouvriers) un beau cadeau, en déboulonnant publiquement, avec sérieux, un discours mielleux et inattaquable. Et les autres ? Les spectateurs ? Ils disposent d'une nouvelle donnée pour comprendre le monde industriel dans lequel nous vivons. Ce n'est pas tout, mais c'est déjà ça.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Obs
par François Forestier
Donner la parole à ceux qui d'habitude ne l'ont pas : c'est la première vertu du film de Jocelyne Lemaire-Darnaud, une vertu démocratique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Alain Grasset , Philippe Vavasseur et Alain Morel
Ce n'est pas du cinéma, à tous les sens du terme, c'est simplement le témoignage de deux mondes qui se heurtent. Edifiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Ange-Dominique Bouzet
Cet exercice de remise au point et de libération du langage a le même punch que le Roger and Me de Michael Moore, qui dégommait General Motors, le narcissisme en moins. Car Jocelyne Lemaire-Darnaud ne se met pas en scène, laissant toute la place au courage des Bibs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Stéphanie Thonnet
Paroles de Bibs est une véritable, et précieuse, dissection du rapport de force patron / ouvriers, puissant / exécutants. Dans les derniers plans, ces petites fourmis que l'on entend rarement adressent un message à ce chef qui ne vient jamais dans les ateliers sentir l'humeur du moment et l'odeur insupportable du caoutchouc.
Première
par Jean-Baptiste Drouet
Un docu drôle et vrai (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Zurban
par Véronique Le Bris
Malgré quelques défauts de forme, ce droit de réponse restera comme une dénonciation nécessaire de secrets trop longtemps et très injustement enfouis.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Pourquoi faire marcher les ouvriers à l'envers en diffusant la chanson de Souchon "On avance, on avance" ? Calembour visuel ? De tels procédés affadissent ou alourdissent le propos du documentaire. Dommage.
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Jocelyne Lemaire-Darnaud s'est souvenue de l'expérience de Koulechov, elle vient d'en faire l'application la plus minable qui soit : détourner une image, la faire mentir, la glisser sournoisement entre deux autres sans avoir ouvertement le courage de calomnier explicitement. Comme ça, hop, ni vu ni connu, j't'embrouille. Par ce petit trafic malsain, c'est tout le film et sa démarche, qui sont complètement discrédités.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Télérama
Paroles de Bibs va bien au-delà du simple droit de réponse : le livre du patron n'est finalement qu'un prétexte à raconter ce qu'ils vivent à l'usine et ce que sont l'esprit, la culture, la mémoire Michelin (...) Ce qui frappe, c'est la qualité de cette parole ouvrière qu'on entend généralement si peu au cinéma ou à la télévision. Cette parole trop rare, profonde et courageuse (...) fait de ce documentaire un véritable événement.
Aden
Le film offre (aux ouvriers) un beau cadeau, en déboulonnant publiquement, avec sérieux, un discours mielleux et inattaquable. Et les autres ? Les spectateurs ? Ils disposent d'une nouvelle donnée pour comprendre le monde industriel dans lequel nous vivons. Ce n'est pas tout, mais c'est déjà ça.
L'Obs
Donner la parole à ceux qui d'habitude ne l'ont pas : c'est la première vertu du film de Jocelyne Lemaire-Darnaud, une vertu démocratique.
Le Parisien
Ce n'est pas du cinéma, à tous les sens du terme, c'est simplement le témoignage de deux mondes qui se heurtent. Edifiant.
Libération
Cet exercice de remise au point et de libération du langage a le même punch que le Roger and Me de Michael Moore, qui dégommait General Motors, le narcissisme en moins. Car Jocelyne Lemaire-Darnaud ne se met pas en scène, laissant toute la place au courage des Bibs.
MCinéma.com
Paroles de Bibs est une véritable, et précieuse, dissection du rapport de force patron / ouvriers, puissant / exécutants. Dans les derniers plans, ces petites fourmis que l'on entend rarement adressent un message à ce chef qui ne vient jamais dans les ateliers sentir l'humeur du moment et l'odeur insupportable du caoutchouc.
Première
Un docu drôle et vrai (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Zurban
Malgré quelques défauts de forme, ce droit de réponse restera comme une dénonciation nécessaire de secrets trop longtemps et très injustement enfouis.
Les Inrockuptibles
Pourquoi faire marcher les ouvriers à l'envers en diffusant la chanson de Souchon "On avance, on avance" ? Calembour visuel ? De tels procédés affadissent ou alourdissent le propos du documentaire. Dommage.
Urbuz
Jocelyne Lemaire-Darnaud s'est souvenue de l'expérience de Koulechov, elle vient d'en faire l'application la plus minable qui soit : détourner une image, la faire mentir, la glisser sournoisement entre deux autres sans avoir ouvertement le courage de calomnier explicitement. Comme ça, hop, ni vu ni connu, j't'embrouille. Par ce petit trafic malsain, c'est tout le film et sa démarche, qui sont complètement discrédités.