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Chaîne 42
137 abonnés
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3,0
Publiée le 14 juillet 2023
Une comédie assez diversifiée un peu anecdotique dans la série en 1964, c'est plutôt le retour de Fantômas qui est un méchant pas trop vulgaire dans le style de certains James Bond. De Funes est dans ces années où il s'impose par le public par ses bouffonneries. Le film est bien composé avec différents moments et lieux, une sorte d'intrigue avec des savants, un couple de journaliste et des masques mais effectivement tout est centré dès le générique d'ouverture sur les pitreries de De Funes. Je trouve celle-ci moyennes et bien agressives, à divers moments il fait usage d'armes à feu avec un rire sardonique et on ne s'embarrasse pas de savoir s'il y a des morts. Le film est bien mais sa limite est là à mon sens tout est sur De Funes et c'est un peu sinistre, son humour est peu subtil.
Second épisode du tryptique des aventures de Fantômas. L’ensemble est conventionnel mais légèrement supérieur au premier opus. A réserver aux inconditionnels.
Deuxième de la saga Fantomas. Plus de moyen mais moins de bonnes idées. On sent nettement que le film (contrairement au premier) est conçu pour De Funes et non plus pour Jean Marais qui est nettement placé en second plan. Kitch à mort et parfois un peu ridicule, De funes me fait quand même marrer.
Le moins bon de la saga. Les gags sont médiocres et répétitifs, et le scénario totalement incohérent. Reste que malgré une alchimie moins évidente du tandem, le retrouver est la seule chose qui sauve le film du désastre.
Le deuxième épisode de Fantomas par André Hunebelle, dans lequel Fandor le journaliste et Juve le commissaire sont amenés à poursuivre de concert Fantomas jusqu'en Italie, est du même esprit et du même style que le premier. Hélas, suis-je tenté de dire; car la mise en scène et le scénario sont ici de la même simplicité, pour ne pas dire pauvreté, que les premières aventures sorties l'année précédente. On retrouve ici cette propension au déguisement (et aux quiproquos grossiers qui en résultent) qui devient presque une marque de fabrique, où l'on verra Fantomas et Fandor se faire le visage d'un savant que le premier menace de kidnapper, tandis que Louis de Funès spoiler: portera le costume d'un officier italien, d'un stewart ou celui d'un pirate à l'occasion d'un bal masqué.
Ce qui change, en revanche, c'est l'importance des rôles. Hunebelle opère un rééquilibrage entre les co-vedettes du film au profit de Louis de Funès. Celui-ci, moins effacé que dans le premier "Fantomas", devient le personnage central, de sorte que l'aventure tire davantage vers la comédie. Et c'est tant mieux, car la série n'existe véritablement que par et pour le commissaire Juve et son interprète. Le pauvre Jean Marais, dans le rôle superficiel de Fandor, n'a plus que quelques bagarres pour exister (il est vrai qu'il incarne aussi Fantomas).
Cette suite est moins bonne que le premier opus. On retrouve les mêmes personnages dans des situations semblables au premier film, bref j'ai eu l'impression de revoir le même film en moins bon. À réserver aux plus jeunes, je l'avais bien aimé enfant.
Un peu moins drole que le précédent volet de fantomas mais youjour tres bien écrit et interpreter . Des nouveau gadget au top et une bonne histoire pour cette suite avec le fils de louis de funes dans cette suite qui nous permet de voir que lui aussi il joue bien .
J'ai moins été séduit par ce volet de la saga Fantômas (j'avais plutôt bien aimé le premier film). Les acteurs sont plutôt bons. Louis de Funès est au top et Jean Marais impeccable (et les seconds rôles, Mylène Demongeot et Jacques Dynam sont là également). Mais finalement, le film manque un peu de la fraîcheur qu'avait le premier volet. Les gags fonctionnent un peu moins bien (même si Louis de Funès est toujours autant investi). Et malheureusement, le côté imitation de James Bond ne marche pas toujours bien (les gadgets tels que la voiture volante et l'antre secrète de Fantômas ressemblant fortement aux repaires de grands méchants de James Bond sous l'ère Connery sont plus risibles qu'autre chose). Au final, ça se regarde sans déplaisir (grosso modo, les gags liés à Louis de Funès font toujours rire et l'action peut être divertissante pour un film français) mais la saga s'essoufle déjà un peu. À voir ensuite ce que va donner le troisième et dernier volet de la saga : Fantômas contre Scotland Yard.
Après un premier film qui était plutôt réussi dans son ensemble, le réalisateur André Hunebelle nous propose un second épisode de cette nouvelle adaptation de la licence, nommé "Fantômas se déchaîne". La question étant donc de savoir si la recette allait continuer à prendre, et comment cette suite allait se développer. Malheureusement, on peut être un peu déçu que ce projet soit un peu moins bon que son prédécesseur, même s'il reste tout aussi agréable à regarder dans l’ensemble. Il n'y a rien de vraiment particulier à souligner, et c'est peut-être un peu de là que vient le problème. On s'attendait peut-être à plus de prise de risque pour renouveler la formule, ce qui n'arrive pas vraiment au sein de cette suite. Par conséquent, cette redondance peut amener un petit manque de rythme par moments. Cela reste quelque chose de léger, mais c'est à noter, même si c'est assez facile de ne pas en tenir compte, étant donné que cela ne se ressent uniquement que durant certains passages précis. Pour le reste, même si on reste très proche de ce qui s'était fait lors du premier volet, cela n'est pas qu'à voir de manière négative. On retrouve cet ensemble mélangeant de l'action à de la comédie, celui-ci fonctionnant donc assez bien et permettant de jongler constamment entre différents types d'enjeux. Certes, le scénario contient toujours pas mal d'incohérences et de grosses facilités scénaristiques (il n'y a qu'à voir le dénouement à la toute fin par exemple). Mais en dehors de cela, le long-métrage reste plutôt drôle et est toujours très bien porté pour le duo de tête, Louis de Funès et Jean Marais étant toujours au top. Tout en étant saupoudré de ce thème musical principal qui fait toujours autant mouche, on apprécie toujours de voir le déroulé de leurs aventures, l'alchimie fonctionnant encore. Nous sommes donc face à une suite qui fait totalement le job. Même si elle se retrouve à être un peu moins intéressante que le premier volet, et qu'elle ne propose pas vraiment beaucoup de nouveautés, on passe quand même un plutôt bon moment. C'est dans la lignée du premier épisode, ce projet s'inscrivant parfaitement dans l'univers développé au sein de cette trilogie. Pour conclure, un second long-métrage globalement réussi, même si moins bon que le premier.
Fantomas est de retour. On prend les mêmes et on recommence ! Toujours aussi captivant, le personnage masqué met cette fois les petits plats dans les grands pour satisfaire son plan diabolique. Suivi de près par l'éternel commisaire Juve et le journaliste Fandor, ces nouvelles aventures sont dans la lignée du premier film.
Encore un très bon épisode. De nouvelles trouvailles très drôles, comme la veste gadget... De Funès se déchaine plus que Jean Marais à dire vrai. La journaliste ne joue pas tellement mieux mais est de plus en plus charmante... La DS qui s'envole, j'avais adoré gamin, je ne sais pas si ça passe toujours aujourd'hui, l'effet spécial est vraiment mal fait (comme les autres SFX), mais à l'époque j'avais vraiment adoré ça.
Peut-être celui que j'aime le moins mais je l'aime quand même ! La D.S. volante, le repaire de Fantomas dans le volcan, Fufu endossant plusieurs déguisements est irresistible et devient progressivement la star du film. Vous en reprendrez bien un peu, même BEAUCOUP ! Ca ne se refuse pas... C'est néanmoins le moins bon (pour moi) de la trilogie, mais quel panache !
Là, c'est du James Bond... De Funes est en place, les gadgets aussi et un De Funes au sommet de son talent (la troisieme main, le passage du train : fabuleux)... Le "deuxieme service" du rire, le voilà.
Ce second volet de Fantomas est poussif, rapidement ennuyant et terne. Avec un scénario rachitique, Louis De Funes et Jean Marais ont trop de mal à faire ressortir quelque chose de qualité. Cela mérite un très petit 2 sur 5.