Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 5 mars 2014
Quel Navet, l'archetype du film ringard. Il sera souvent imité et souvent égalé dans sa médiocrité. Il n'y a que TV5 pour programmer ce genre de nanard
13 613 abonnés
12 377 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 28 décembre 2018
Les mots lui manquent et il a peur de les perdre! N'empêche que sous ses grands airs, Jean-François Stèvenin se comporte comme le dernier des petits sauteurs! Ce que la fatigue rend possible, la fatigue le rend difficile et son personnage ne s'en rendra compte qu'à la fin du rècit par le biais du Splendid (Blanc, Balasko, Chazel et Clavier). Avec ce premier long-mètrage qu'il a ècrit avec Claude Miller en personne, Luc Beraud dèmontre qu'il a de la personnalitè à revendre! L'histoire d'un ècrivain plus ou moins immature qui se met à frèquenter les petites jeunesses des cafès alors qu'il semble comme repoussè par la page blanche! Son èpouse (formidable Bernadette Lafont) entretient bien le mènage mais jusqu'où ? On sent qu'en 1978, les rapports homme-femme et la crèation artistique en manque pourrait tout aussi biens se traiter sur un mode dramatique mais l'èlègance de Beraud lui impose sans cesse de relativiser et de virer du côtè de la comèdie! Un film intelligent et très personnel (comme l'ètait son "Plein sud" avec Patrick Dewaere) ou rèalitè et fiction interfère sans cesse! Stèvenin ne peut ècrire qu'à bout de nerfs mais il faut parfois sortir de sa carapace trop confortable pour affronter la luciditè des mondes! On aimerait lire « L’homme de chambre » , son manuscrit qui a pour sujet les forces dans l'homme et le siège : « J’allais donc reprendre ma pauvre vie si plate et tranquille que les phrases sont des aventures »...