Derniers Avis : Conan le barbare - Page 7

Premier rôle significatif d'Arnold au cinéma , c'est mon film préféré même si arnold ne joue pas vraiment et s'impose par son physique, à noter la présence de franco columbu ,ami culturiste de longue date , qui joue à ses cotés, et de se préparation pour son dernier titre de mr olympia qu'il gagna en 1980 en se présentant à la compétition en surprenant tout le monde, un must

Le premier film de l'Histoire de l'Heroic Fantasy qui tient la route. Arnold est magnifique et tient le film à lui seul. La musique est une référence et les décors sont dignes des plus grands films d'aventure. Dommage qu'une vraie et belle suite n'ait jamais été tournée. Et à ceux qui disent que Kalidor est une suite... sans commentaires.

un film simple , une bande son épique , des acteurs de qualités , un contexte encore d' actualité

Première adaptation de la serie de nouvelles imaginée par Robert E. Howard "Conan le Barbare" raconte l'histoire de Conan (Arnold Schwarzenegger), un jeune guerrier au corps bombé de muscles qui enfant voit ses parents mourir sous l'épée de l'ennemi Tulsa Doom (James Earl Jones). Il cherche par conséquent à se venger en entament une quête épique ou il devra affronter divers obstacles.

Présentant un univers incroyablement riche le réalisateur John Milius et son co-scénariste Oliver Stone dessinent une introduction étrange mais pas moins prenante citant une phrase de Friedrich Nietzsche « Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort » et une voix off sublimant le tout à la manière d'une histoire qui se fait conter. Aussi remarquable soit elle l'intro qui prend aujourd'hui une allure kitsch sympathique immerge de par son inventivité présentant un méchant particulièrement étudié, loin d'un bad guy bourrin et malgré sa coupe de cheveux un poil dégradante, il arrive à être une véritable figure diabolique alors qu'il est avant tout un chef spirituel.

En talentueux paysagiste Milius donne vie à cet univers imaginé par un esprit dérangé dans les années 30. Plus ou moins fidèle il le remplit l'univers de créatures mystiques et de personnages pas moins intéressants faisant office de compagnon de route de l'énorme guerrier qui croisera sorcières, serpents géants et esprits rôdeurs. Milius s'approprie totalement l'univers lui donnant avant tout des allures fantastiques et féline, comme un poème furieux le film frôle le métaphysique traitant des différentes visions du mondes entre les individus (la scène ou il parle de leurs Dieu) et nous faisant comprendre que nous ne sommes pas des dieux, mais des hommes. Mais loin de cette structure c'est surtout l'épique qui se mêle au jeu. Contrairement à ce que son titre laisse penser, le film ne se résume pas à son personnage, au contraire, il déploie des protagonistes en second plan avec une richesse impressionnante et une profondeur totale, un voleur attachant une guerrière badass qui tombera amoureuse de Conan. Le méchant également, guide d'une sorte de secte incarné par un James Earl Jones habité.

Mais surtout cette BO signée par Basil Poledouris! A la fois épique et mélancolique, elle rend à elle seule le film romantique, sombre, haletant, jouissif, bestial et sombre, chacun de ces adjectifs utilisés un par un en fonction des étapes affrontée par le guerrier rendant à "Conan Le Barbare" son atmosphère tellement exceptionnelle et grandiose aux décors somptueux.

Bref, plus qu'un plaisir coupable bourrin, une véritable odyssée passionnante et sauvage, ambitieuse et maitrisée à la perfection. Epique, jouissif, passionnant. Une fresque qui tient du génie.

Que dire a part chef d' oeuvre ? La chose que met le plus en avant le film est sans aucun doute le pouvoir des armes , le pouvoir qui leur est donné par les cimmérien est sans aucun doute l égal de l église pour les chrétiens ce qui rend les armes de ce film comme le point central de ce grand film . Le barbare monstrueux qu es Conan est a lui tout seul un personnage qui pue la classe ( la scène de l orgie cannibale cauchemardesque a souhait reste une scène les plus marquante de ce grand film ) Ce film est et restera a jamais dans mon top 10 de mes films préférés.

Un bon film de barbarie et féroce. Scénario très simple à comprendre car il s'agit d'une histoire d'un jeune garçon qui devient force et musclé pour se venger de la mort de ses parents. Arnold Schwarzenegger est parfait dans le rôle de Conan avec ses gros muscles et il manie plutot bien l'épée. Le reste du casting est pas mal du tout. On s'embarque dans une jolie aventure avec des belles musiques à entendre qui rentrent bien dans le cadre de l'époque. Des scènes d'actions rythmés avec des jolies coups de brute comme on aime. Les décors et les costumes sont bien faits. Un film que je vous recommande bien.

Pas fameux du tout, les décors et scènes de combats laissent dubitatif et très vite on s'ennuie, la fin se fait longue et en plus elle est complètement tirée par les cheveux. J'ai failli m'endormir.

Rien qu'une compilation de brutes ne sachant déblatérer que de cris stupides ou jouer avec leurs épées en plastique. Les rares passages rhétoriques ne compensent pas le moins du monde le démodé somnolent de l'inactivité des scènes. On peut accorder à la musique qu'elle endort, nous tenant un peu à l'écart de cette horreur cinématographique.

C'est sure que si on regarde le film aujourd'hui ou dans le genre héroic fantasy on a le Seigneur des anneaux, on peu trouver ce film mauvais et mal filmé, mais il faut se remettre dans le contexte de l'époque. C'est un peu le film qui a ouvert la voix à l'héroic fantasy au cinéma. En plus ce film n'est pas qu'un film bourrin sur un barbare. Ce film invite à la réflexion.
D'ailleurs ne commence-t-il pas par une citation de Nietzsche "Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" ? L'ensemble du film sert à illustrer cette pensé. Conan va subir plusieurs choses mais aucunes ne va le tuer et donc à chaque fois va le rendre plus fort, spoiler: que ce soit le massacre de sa famille, l'esclavage ou encore une crucifixion.

Le film en profite pour passer un autre message autour de la vengeance. Toute l'histoire raconte comment Conan va se venger de ceux qui ont tué sa famille et le prix à payer de la vengeance ( spoiler: renoncer à l'amour par exemple
). D'ailleurs dans le film on parle de vengeance et pas de justice. Conan cherche à tuer ceux qui ont tué sa famille. On ne peut être juge et partie, il n'y a ici aucune justice. On est chez les barbares (peuple non civilisé par définition même du mot barbare).

Encore un film qui fait réfléchir.

Première adaptation du héros imaginé par Robert E. Howard au début des années 1930, « Conan le Barbare » nous quête le destin et l’aventure de Conan, un jeune barbare qui cherche à venger la mort de ses parents et de son village, assassinés par le chef d’une secte d’adorateur de serpents.

Passé une introduction comprenant une citation de Friedrich Nietzsche (« Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ») et un début assez étrange mais prenant où Milius présente le contexte et les premières étapes de vie de Conan, il nous emmène assez vite dans un monde peuplé de serpents géants, sorcière, femme guerrière ou encore divers peuples primitifs. Un monde vraiment fascinant qu’il exploite à merveille et dont la reconstitution s’avère autant audacieuse que réussie.

Co-écrit par Oliver Stone, le déroulement suit l’envie de vengeance de Conan, passant par des combats de gladiateurs, une sorcière ou encore une secte très étrange, personnage imposant, surhomme, parlant peu et guidé par la recherche de ceux qui l’ont rendu orphelin. Mais « Conan le Barbare » est loin de se résumer à son personnage-titre et c’est là l’une des réussites du film. Ses compagnons de routes sont tout aussi intéressants, un voleur qu’il rencontrera sur son chemin et une belle aventurière-guerrière qui tombera amoureuse de lui. Mais aussi (et surtout), le chef de la secte, celui qui a rendu Conan orphelin. Regard, voix et posture effrayante.

Mais surtout quelle atmosphère ! Prenante et même fascinante du début à la fin. Très bien mis en scène, il rend son film tour à tour sombre, romantique, mystique, magique, violent, bestiale et lyrique. Il est bien aidé par une excellente partition musicale (signée Basil Poledouris) qui retranscrit à merveille toutes ses atmosphères. Peu de dialogues mais une voix-off utile et jamais lourde. Les scènes d’actions sont réussies, bénéficiant notamment d’excellents trucages/effets spéciaux.

Schwarzy trouve un rôle sur mesure. D’une incroyable présence, il incarne un Conan plus vrai que nature. Face à lui James « Dark Vador » Earl Jones est à la fois charismatique et inquiétant dans le rôle du chef de la secte. Les seconds rôles tels Sandahl Bergman, Gerry Lopez et Max von Sydow sont aussi impeccables.

Plus qu’une simple histoire de vengeances, « Conan le Barbare » est un véritable récit d’aventures et de fantasy où Milius nous plonge sans fausse note dans un univers fantastique où se côtoie violence, magie, femme, sorcier et acier.

" Conan le Barbare " est indéniablement traversé par un vent épique qui s'incruste dans tous les pores de la pellicule et vient jusqu'à contaminer la bande son fabuleuse du film. Rarement un film a transporté jusqu'à là le spectateur dans un univers fait d'aventures, de dangers, un brin d'action, le tout enrobé dans un emballage sexy et charismatique à souhait. Bien sûr, le film souffre énormément de grosses incohérences et de la pâleur de ces personnages mais le plaisir coupable est intact : peu de dialogues, beaucoup de muscles et un max' de fun !! A découvrir par curiosité...

Cette adaptation des romans de Robert Howard est devenue cultissime, n'en déplaise à certaines mauvaises langues qui jugent ce film ridicule. Cette oeuvre héroïque pleine de fureur fut à sa sortie un véritable événement, un triomphe, propulsant la carrière d'Arnold Schwarzenegger qui était de toute évidence le plus apte à endosser ce rôle, sa carrure était à l'époque impressionnante. Acteur encore peu expérimenté, il impose un charisme indubitable.
Le film lança l'heroic fantasy en France, dans le style "peaux de bête et gros serpents" qui se démarque de la fantasy à l'anglaise si on peut dire, de type Tolkien, plus subtile et plus travaillée ; on y voit en effet des lourdauds à grosses épées, des sorciers puissants et des combats bien saignants...
Le film s'ouvre sur la citation de Nietzsche : "Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort", avant un prologue mystique en voix-off qui pose l'ambiance : nous sommes bel et bien dans un passé légendaire. Puis c'est le générique sur une musique grandiose de Basil Poledouris, et l'attaque d'un village paisible à l'aide d'images évocatrices.
Il est certain que la mise en scène de John Milius, l'ambiance féerique créée par les décors baroques, les costumes de peaux de bête, l'imagerie pleine de symboles (armures agressives, décors extérieurs, postures de Valeria et de Conan...), ainsi que le jeu monolithique de Schwarzy ont rendu cette épopée brutale très crédible. Le combat final ,très violent, même en 1981, à coups de hache démentielle, avec de gros jets d'hémoglobine, apportait un puissant réalisme, c'était du jamais vu à l'écran. L'assurance de Schwarzy, sa belle gueule, son impressionnante musculature et sa voix aux accents germaniques encore peu américanisée, furent des atouts pour le personnage.
A cela s'ajoute un élément qui pour moi est d'au moins 50% dans la réussite du film : c'est la B.O. spectaculaire, puissante, envoûtante, écrite par Poledouris, qui parvient à donner une réelle intensité aux scènes d'action, aidée par des passages lyriques aux accents wagnériens avec des choeurs et des instruments peu usités ; cette partition servira à merveille le film, et jamais son auteur ne retrouvera une telle fougue et une telle inspiration dans ses autres compositions.
Bref, une fresque sensationnelle à l'incontestable souffle épique, tournée sans effets numériques et qui tient encore la route, un pur joyau qui écrase sans problème le pâle remake de 2011.

Conan le barbare : Un des premiers rôles majeur Arnold Schwarzenegger dans un classique qui est quand même devenu culte malgré qu’il ait pas mal vieillie. C’est assez dur car ça peut vite tomber dans le nanar mais il y a tout de même de la qualité et une certains symbolise dans le film qui est assez original et fort maitrisé malgré les apparences. Car, il y a très peut de dialogue… tous dans l’image et dans la narration. Et c’est ça qui fait la puissance des choses. A l’image de son personnage, Conan : esclave devenu libre qui après ça a soif de pouvoir et de vengeance car il a vu sa famille et son peuple mourir. Donc, scénario qui sonne héroïc-fantasy, on sent l’aventure mais des fois, c’est assez mou mais c’est le temps qui veut ça. Même au niveau des combats : ça manque de puissance. Malgré une mise en scène très soignées avec des décors de toutes beautés. Mais des fois, c’est assez fade, même l’interprétation d’Arnold Schwarzenegger mais c’est le rôle qui veut ça et malgré tout, il correspond parfaitement au rôle niveau muscle et carrure. Et pour finir, les musiques sont quand a elles parfaitement dans le ton du film et remplace a merveille les dialogues. Donc voila, un film qui a su imposé le style aux autres et son histoire fait oublier le temps qui a passé, comme la dernière scène du film qui est juste énorme.

Qui d'autres auraient pu endosser le rôle de Conan a la perfection que Arnold lui même ,? Une force brute , une montagne de muscles , aucun sentiment dans le regard , aucune pitié , voilà comment on pourrait décrire le Conan de John Milius . Bien avant 300 , il y avait Conan qui a lui tout seul détruisait tout sur son passage . Le film est brutale , du sang , ça décapite . Sans oublier une BO magistral de Basil Poledouris . Très fort

Voici le film qui va lancer la carrière d'Arnold Schwarzenegger. Même s'il est sorti il y a 32 ans, il n'a pas trop vieilli. Malgré quelques longueurs, un véritable souffle épique est présent pendant deux heures et la musique de Basil Poledouris n'y est pas étrangère (même si parfois elle est trop présente). Attention par contre, ne vous attendez pas à un étalage de combats et d'action, car même s'il y en a bien sûr, cela est dilué, "Conan le Barbare" étant pratiquement un film plus esthétique que purement physique.