Mon compte
    Conan le barbare
    Note moyenne
    3,5
    10311 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Conan le barbare ?

    373 critiques spectateurs

    5
    138 critiques
    4
    89 critiques
    3
    53 critiques
    2
    42 critiques
    1
    34 critiques
    0
    17 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Sebastien s
    Sebastien s

    10 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2014
    Un film culte vive arnold pour ces films fantastique
    6nematod
    6nematod

    11 abonnés 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2013
    C'est sûr que désormais ce film paraît vieillot. Mais à l'époque et dans le genre, c'était le top. D'ailleurs ça a ... vielli !
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    9 abonnés 628 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 avril 2024
    « He is Conan, Cimmerian. He won’t cry. So I cry for him. »

    Lorsque j’étais adolescent, trois films en particulier, parmi une vingtaine d’autres, se refilaient sous nos manteaux d’adolescents boutonneux, en mauvaise copie VHS : Evil Dead, Mad Max et, donc, Conan le Barbare. Des trois, le dernier est celui que je n’avais jamais vu, peu attiré par les muscles saillants (j’étais gringalet) et les borborygmes monosyllabiques. Je découvre ainsi cette œuvre, désormais devenue culte, 40 ans plus tard, après m’être aperçu que la première ébauche fut signée Oliver Stone, tout juste sorti de sa première véritable participation scénaristique (Midnight Express, Alan Parker) dès 1978, c’est à dire à l’époque où la fantasy va commencer à se populariser via le cinéma, grâce au succès, notamment, de Star Wars (George Lucas, 1977) mais aussi à la première tentative d’adaptation du Seigneur des Anneaux (Ralph Bakshi, 1978). Jugée trop chère, trop décalée et trop risquée, l’ébauche de Stone est ensuite modifiée par le réalisateur John Milius, par ailleurs auréolé de succès critiques et commerciaux (Les Dents de la Mer, Steven Spielberg, 1975 ; Apocalypse Now, Francis Ford Coppola, 1979 ; 1941, Steven Spielberg, 1979) et futur créateur de l’excellente série Rome (2005).

    A la distribution, on retrouve, évidemment, Arnold Schwarzenegger qui vit ainsi sa carrière réellement démarrer après 12 années de balbutiements culturistes divers, Sandahl Bergman qui restera cantonnée au cinéma dans des rôles similaires, Max von Sydow en déjà vieux roi désabusé et James Earl Jones en homme serpent ridicule. Question ridicule, d’ailleurs, on notera surtout les coiffures façon hippies censées figurer un âge barbare où les coiffeurs avaient piscine, même si les aisselles de l’héroïne sont, elles, impeccablement glabres. Pour revenir à l’interprétation, sans aucun doute l’élément le plus surprenant de ce film, il est difficile de se prononcer réellement sur sa justesse. Schwarzenegger, par exemple, alterne la naïveté de l’acteur amateur en mono-syllabes, malgré un long monologue d’au moins trois lignes peu avant la fin, avec des expressions de débile profond, ce qui rend attachant et authentique le personnage, autant qu’il énerve l’amateur de réflexions intérieures, ce dont le héros, ou l’acteur, semble totalement dépourvu. L’histoire raconte qu’il fut particulièrement entraîné durant des mois pour affiner son apparence, acquérir un minimum de qualités expressives et prononcer quelques mots.

    Critiqué à sa sortie pour sa violence, ce qui ferait rire aujourd’hui, Conan le Barbare peut également prétendre au rang de film culte pour la qualité de ses décors naturels tournés en Espagne, de ses effets spéciaux assez convaincants dans leur simplicité, de ses maquillages (hormis, donc, les coiffures), de ses chorégraphies lentes et, plus que tout, pour sa musique, signée Basil Poledouris, fidèle des univers de John Milius et Paul Verhoeven.

    Le scénario, enfin, s’il peut paraître n’être qu’une suite de scènes sans trop de cohérence, est dans la droite ligne des épopées mutiques avec narration minimale, telles que La Guerre du Feu (Jean-Jacques Annaud, 1981), mais qui restent traversées par un fil rouge initiatique, avec ses passages obligés (l’anéantissement du cocon familial, la quête, la mort et la résurrection du héros). L’oeuvre s’écarte cependant des stéréotypes sur un point crucial : il n’y a pas, ici, de lutte manichéenne du bien contre le mal mais plutôt la vengeance pure face au mal absolu, dans un univers dépourvu de morale, un monde nihiliste où le héros n’est pas mu par sa destinée mais par un instinct pulsionnel qui fait de lui une sorte de surhomme nietzschéen (comme s’y réfère d’ailleurs la citation en exergue, éculée s’il en est). Loin d’être un bête film d’action à mettre en concurrence avec les jérémiades simiesques d’un Sylvester Stallone sous anabolisant, Conan le Barbare est le film qui a relancé l’attrait pour la fantasy, largement surexploitée plus tard par les RPG. Un bout d’histoire cinématographique. Et capillaire.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 119 abonnés 4 140 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 avril 2019
    . En 1982 quand sort "Conan le barbare", Arnold Schwarzenegger est installé depuis près de douze ans aux Etats-Unis où il poursuit son parcours de culturiste (5 fois sacré Mister Univers et 7 fois Mister Olympia) tout en tentant de percer dans le cinéma. Il décroche bien quelques apparitions dans des films comme "Le privé" de Robert Altman ou dans "Stay Hungry" de Bob Rafelson dans lesquels ses biceps et ses pectoraux sont mis en avant mais rien de notable qui lui permette de se faire une place au sein de la Mecque du cinéma. C'est le visionnage du documentaire "Pumping Iron" (George Butler en 1977) par Edward Summer et Edward R. Pressman, deux producteurs envisageant de transposer à l'écran l'univers fantastique crée de tout pièce par l'auteur de science-fiction Robert E Howard à travers son personnage de Conan qui leur fait penser que la stature du célèbre culturiste pourra lui permettre d'être tout à fait crédible dans le personnage malgré son inexpérience d'acteur. Le film sera un énorme succès commercial malgré son esthétique kitsch et l'interprétation naïve proposée par Schwarzenegger qui sera dés lors et pour longtemps catalogué comme un acteur à l'expressivité quasi nulle avant que son élection au poste de Gouverneur de Californie en 2003 n'amène les critiques à détecter puis à louer la dérision qui teintait la plupart de ses interprétations dès le second "Terminator". Mais cette réhabilitation tardive n'a pas bénéficié à "Conan le barbare" qui jouit toujours d'une réputation peu flatteuse auprès des cinéphiles et de l'intelligentsia l'ayant assimilé dès sa sortie comme un succédané des péplums de Cineccità des années 1960 où les Steve Reeves, Reg Park et autres Gordon Scott faisaient s'écrouler de leurs seuls bras, temples et palais en carton-pâte. Quelques décennies ayant passé, on peut poser un regard moins sévère sur ce film épique qui délivre certes son lot de clichés et de situations un peu ridicules mais qui offre outre de superbes décors et une musique somptueuse de Basil Poledouris, une succession de scènes très adroitement réalisées par John Milius et parfaitement agencées au sein d'une progression dramatique qui évite l'ennui grâce à une cohérence venant compenser sa simplicité. James Earl Jones, Max Von Sydow ou encore Makoto Iwamatsu viennent utilement prêter main forte à un Arnold Schwarzenegger dont la relative candeur qui ressort de son visage encore poupon si elle peut prêter à sourire dégage une fraîcheur aussi convaincante que sa musculature. Une candeur qu'il faut tenter d'adopter soi-même pour se laisser entrainer dans les aventures de "Conan le barbare" qui reprendra l'épée deux ans plus tard sous la houlette du vétéran Richard Fleischer ("Conan le destructeur").
    Ricco92
    Ricco92

    203 abonnés 2 116 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 juillet 2022
    Pour la génération ayant grandi dans les années 2000, l’heroic fantasy renvoie directement au Seigneur des anneaux. Ce genre n’est pourtant pas apparu au cinéma avec la saga illustrée par Peter Jackson. En effet, dans les années 80, il connut une certaine vogue lancée grâce à un film qui fit au passage d’Arnold Schwarzenegger une star : Conan le barbare !
    Souvent caricaturé par des gens l’ayant rarement vu, le film de John Milius est un exemple de film d’aventures et une œuvre purement cinématographique. En effet, le cinéaste choisit de réduire au minimum les dialogues pour offrir avant tout une narration purement visuelle. Il suffit de regarder les 20 premières minutes pour comprendre la force opératique du film. S’ouvrant sur la célèbre citation de Nietzsche "Ce qui ne te tue pas te rend plus fort" et une voix-off donnant une sensation d’histoire légendaire puis sur un excellent générique montrant la fabrication d’une épée, elles ne contiennent que très peu de dialogues (la voix-off suscitée et le monologue du père de Conan) et offre une narration totalement visuelle où la musique joue un rôle prépondérant.
    En effet, Basil Poledouris signe tout simplement une des plus grandes bandes originales de l’Histoire du cinéma illustrant parfaitement l’aspect épique de son récit : comment oublier des thèmes comme celui du générique ou du splendide Riders of Doom ?
    Totalement habité par son film (il enchaîne les plans mémorables et magnifiques), Milius (réécrivant un scénario écrit à la base écrit par Oliver Stone) réussit à imprégner le film d’éléments culturels spoiler: (la citation de Nietzsche évoquée plus haut, le parcours christique évident de Conan qui est torturé puis crucifié avant de revenir à la vie, James Earl Jones rejouant son fameux "Je suis ton père" sur la fin du film, la mort de Thulsa Doom rappelant certains attentats politiques célèbres, les illustrations de Frank Frazetta…)
    tout en leur conférant un aspect mythique. Le film marquera ainsi son époque spoiler: et on peut voir dans les pièges tendus par Conan des précurseurs de ceux créés quelques mois plus tard par un certain Rambo (personnage qui, dans le second volet, mettra le collier de son amour perdu comme le fait Conan ici)
    .
    En outre, le film bénéficie d’un excellent choix de comédiens. La sublime héroïne Sandahl Bergman et le très calme et donc glacial méchant interprété par James Earl Jones sont épaulés par les massifs Sven Ole-Thorsen et Ben Davidson, par l’agile Gerry López, l’amusant Mako ou la légende Max Von Sydow mais celui qui éclate carrément à l’écran est LA légende du culturisme autrichien au nom encore alors jugé imprononçable qui cherche depuis une dizaine d’années à débuter une carrière d’acteur : Arnold Schwarzenegger ! Le futur Terminator trouve ici un rôle totalement adapté à son physique hors-norme et tirant profit de son accent et de ses capacités encore limitées d’acteur (dont il a parfaitement conscience). Le "Chêne autrichien" fait preuve de son charisme à tout épreuve (même si ses aspects humoristiques ne sont pas encore développés) et incarne à la perfection ce guerrier à la culture limitée (il a été réduit en esclavage pendant vingt ans) mais à la force et au courage impressionnants.
    Enfin, Milius a eu l’intelligence de limiter les aspects fantastiques beaucoup plus présents dans le scénario (futuriste qui plus est) d’Oliver Stone. Si cela permet d’atténuer (la révolution numérique des années 90 n’ayant pas encore eu lieu) le vieillissement d’effets spéciaux malgré tout encore efficaces, on se retrouve dans un univers certes un peu féérique (qui colle cependant totalement aux croyances des personnages) mais qui réussit à être un minimum crédible (le réalisateur, grand amateur d’armes au demeurant, ayant tenu, pour tous les aspects de son univers, à se rattacher à des choses ayant plus ou moins réellement existées même si nous sommes dans une époque totalement inventée).
    Ainsi, en adaptant pour le grand écran le personnage créé par Robert E. Howard, John Milius livre une œuvre sublime qui reste un modèle pour le genre de l’heroic fantasy fantasy (même si les spécialistes pourront évoquer plutôt la dark fantasy pour ce cas précis) et qui a lancé réellement une des plus grandes stars de la fin du vingtième siècle (et qui deviendra au passage une figure importante de la politique américaine du début du vingt-et-unième) : Arnold Schwarzenegger !
    Artriste
    Artriste

    103 abonnés 1 939 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2022
    Avec Conan Le Barbare, John Milius réalise là un très bon film d’héroïque fantasy. L'histoire nous raconte le périple de Conan de son enfance durant laquelle il a assisté au massacre de sa famille, jusqu'à l'âge adulte ou il va décider de venger les siens. Cette aventure nous plonge pendant deux heures dans un récit peu bavard, laissant vivre sa narration rendant l'ensemble particulièrement contemplatif et pas aussi violent que son titre le suggère. On suit avec héroïsme le parcours tortueux et remplis d'épreuves de ce guerrier incarné par un Arnold Schwarzenegger au physique prédestiné. Il est très bien entouré par Sandahl Bergman qui interprète une guerrière aguerrie et James Earl Jones qui campe un parfait antagoniste en la personne de Thulsa Doom. Tous les autres rôles sont également convaincants et le peu de répliques n'empêche pas à tous ces protagonistes d'entretenir des relations réussies même si ces derniers ne sont pas plus approfondis que ça. Si cette quête de vengeance est si mémorable c'est bien entendu grâce à son scénario mais qui ne serait rien sans la réalisation de John Milius parfaitement soignée et qualitative offrant des scènes marquantes. Elle évolue dans un univers prenant, nous gratifiants d’environnements agréables. Cependant, la plus grande qualité de ce long-métrage vient incontestablement de sa b.o. omniprésente signée Basil Poledouris qui compose là une œuvre magistrale. Celle-ci ne quitte pas nos oreilles tout du long et permet à chaque instant de devenir épique de par ses notes en parfait accord avec l'action, donnant aux images une grande puissance jusqu'au générique final. Une fin qui s'avère satisfaisante, venant mettre un terme à cette épopée dépaysante faisant de Conan Le Barbare un film méritant d'être regardé et surtout écouté.
    konika0
    konika0

    26 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mai 2020
    Culturisme.
    Fun fact, je n’avais jamais eu l’occasion de voir cet objet de culte. C’est maintenant chose faite. On est à une époque incertaine, dans une contrée incertaine. Le jeune Conan voit sa mère se faire décapiter sous ses yeux. Puis, il est exploité tel un esclave. Ensuite, il devient gladiateur et apprend à se battre. Bref, il est grand, fort et il a la haine. Quand son maître le libère, il n’aura qu’une obsession, la vengeance. On peut admettre que le scénario n’a pas grand-chose d’inédit. Ce n’est donc pas là qu’il faut chercher l’objet du culte. Du côté des dialogues peut-être ? Oui et non. C’est de ce point de vue assez plat dans l’ensemble mais il y a ça et là de très bonnes fulgurances, de la répartie discrète qui éclate tout. C’est du côté de l’image qu’il faut chercher la réussite. Le décor apocalyptique est formidablement utilisé et la réalisation volontiers baroque donne de la pêche à un récit pourtant très linéaire. On aimera ces contre-plongées outrancières et ces gros plans de rictus grimaçants. On aimera aussi (ou pas) la surenchère gore car oui, ça gicle joyeusement et ça démembre avec entrain. Et bien sûr, c’est le corps de Schwarzenegger, centre de toutes les attentions, qui fascine. Huilé, le muscle saillant, surdimensionné, tous les regards se portent sur lui. On pourra ajouter à cela, quelques scènes vraiment très réussies (les esprits) et une BO à l’unisson et on comprendra alors le succès de ce film mineur à la tonalité très bis et au fond très italienne.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 novembre 2008
    Ouf !!! je dois reconnaître que je ne comprends pas et que je reste perplexe qu'on puisse admirer une telle nullité aussi sommaire, à la construction mythologique aussi primaire, sans aucun arrière plan hors de la brutalité immédiate de l'instant et l'évocation de deux ou trois idées grossières comme quoi il faut être fort pour survivre et qu'il existe des natures démoniaques par essence, contre lesquelles, ballotté par le vide de sa conscience et ses grosses cuisses chaudes, on finit toujours, bon gré-mal gré, par se retrouver confronté, natures maléfiques attirées par l'objet clinquant de la jouissance : le fer, le sang et le sexe, bien lourds, bien massifs, bien visibles pour les "bigleux" et les demi-incultes en mal d'adoration. Inutile de dire qu'il n'y a ni dialogues ni textes, presque pas de scénario. N'est pas Tolkien qui veut. Â vomir...
    NeoLain
    NeoLain

    4 730 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2013
    Puissant ! Epique et grandiose, féérique et violent : l'univers barbare est recréé avec justesse par John Milius. On se laisse porter par la frénésie avec un réel bonheur. Un film à la hauteur de ses ambitions. Débauche de figurants, bagarres spectaculaires, paysages lunaires, gigantisme tous azimuts...Du vrai cinéma.. Le point fort : la musique culte de Basil Polédouris.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2009
    Un grand classique archi connu. Un très grand film donc avec un bon casting, des costumes de qualités, une histoire qui tient la route, une réussite pour l'époque et qui se laisse regarder encore aujourd'hui.
    A voir !
    Kalie
    Kalie

    58 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 février 2016
    C'est toujours LA référence dans le genre : l'heroïc-fantasy. Dès le générique et sa superbe musique, le réalisateur impose son style sombre et sérieux proche des récits originels. Quant à Schwarzenegger, il campe pour toujours un Conan physiquement impressionnant. Par contre, ceux qui veulent une série B, vite vue et vite oubliée, peuvent se tourner vers les suites ou le remake, tous sans grand intérêt.
    Biertan64
    Biertan64

    45 abonnés 1 424 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2021
    Je craignais un spectacle aux effets spéciaux totalement kitsch et dépassés mais sur ce point là l'aîné de l'héroic-fantasy au cinéma reste encore acceptable.
    Cela pêche plus au niveau de l'histoire, une allégorie du pouvoir de la force pure et brutale, qui n'arrive plus à convaincre.
    Cela n'est pas pour rien que Conan s'appelle le Barbare et non le Poète mais un tel film serait aujourd'hui obligé d'étoffer son scénario par un peu d'humour (ici absent) ou des dialogues d'un autre niveau pour exister.
    Un rôle sur mesure qui a lancé la carrière du body-builder Schwarzy et un film fantastique d'aventures précurseur.
    Mais ça, c'était il y a quarante ans...Une époque où les Cimérriens peuplaient encore la terre.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 124 abonnés 12 302 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2019
    Classique essentiel de l'hèroïc fantasy, "Conan the Barbarian" est THE film qui a lancè la carrière de Arnold Schwarzenegger qui, sans le savoir, deviendra par la suite une icône indètrônable! Ce dernier incarne puissamment ce guerrier à la force titanesque dont les aventures violentes et mèlancoliques se dèroulent en pleine èpoque fictive : l'Âge hyborien! Curieusement, le rècit ne reprend aucune des nouvelles originales! Qu'importe, John Milius recrèe avec bonheur l'atmosphère èpique et barbare des histoires de Robert E. Howard! De plus, la B.O est en parfaite osmose avec l'histoire parce qu'elle est capable de transporter le spectateur tout au long de la projection! On n'a l'impression que le rèalisateur donne à son film un effet d'opèra! Bref, musique, ambiance, combats, dècors, F / X caractèrisent ainsi la mise en scène de Milius qui confirme, si besoin est, qu'il est un excellent cinèaste! Cette oeuvre culte des 80's a connu une suite pop-corn, "Conan the Destroyer", qu'il faut voir bien èvidemment au second degrè...
    JamesDomb
    JamesDomb

    91 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Magnifique, de l'humour, de l'érotisme, de la violence, de l'amour, des batailles... Que dire, si ce n'est qu'il s'agit d'un veritable chef-d'oeuvre de l'héroïc fantasy. Schwarzy EST Conan, la musique est sans doute l'une des plus belles de l'Histoire du cinéma, le film est visuellement époustouflant. Il m'a fallu 22 ans pour le voir, et franchement je ne regrette pas.
    Shephard69
    Shephard69

    319 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mai 2015
    Un film d'heroic fantasy culte qui m'a enthousiasmé pour la richesse de son univers et l'atmosphère envoûtante de son récit mais qui m'a déplu pour l'approche psychologique grossière des personnages. Une mise en scène plutôt intéressante, un scénario classique mais suffisamment bien amené pour entretenir l'intérêt mais quelques passages lourds et pénibles. Une œuvre qui vaut surtout pour la prestation grandiose de James Earl Jones, Arnold Schwarzenegger, lui, me convaincant nettement moins.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top