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GéDéon
85 abonnés
514 critiques
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1,5
Publiée le 16 décembre 2023
En 1982, ce long-métrage de John Milius rencontre un grand succès commercial tout en permettant à Arnold Schwarzenegger de lancer sa carrière au cinéma. Dans un monde imaginaire, proche du heroic fantasy, un barbare cherche à venger la mort de ses parents. Si les décors et surtout la bande originale donnent à ce film un caractère épique, pour le reste on frôle souvent l’ennui. Tout d’abord, le scénario très linéaire ne contient aucun rebondissement. Ensuite, compte tenu de l’absence d’effets spéciaux numériques, les scènes de bataille sont poussives et parfois caricaturales. Enfin, le caractère mystique que tente d’insuffler le réalisateur ne parvient pas à enrichir le récit. Bref, un film d’aventure bien peu palpitant.
Cultissime, ahhhhhh !!!!!! Dedans, il se passe pas grand chose pendant 2h00, une ode pure au culturisme, celui qui casse la baraque du film, une telle musculature travaillée par la tragédie des esclaves autrefois vaincus par l'emphatique conquérant. Pourquoi donc est-ce comme cela réactionnaire ? Un serpent venimeux transformation charme envoûtant son mystérieux harem, Thulsa Doom l'engendre cette cruauté romance et c'est la naissance d'Arnold Schwarzenegger.
The Terminator programmé par les machines qui se charge de tout contre lui, sa destinée soif de vengeance, il est ce personnage légendaire du cinéma, Conan le barbare des steppes, de la toundra et du pôle Nord, haaaaaa !!!!! Un scénario en or quand on voit la mise en scène de son intrigue, de l'héroïque fantaisie quelque part dans ce monde à une époque indéfinie, le casting est grandiose, des rôles indélébiles et indéchiffrables.
Les scènes défilent rappellent le cinéma américain fantastique, des moments forts marquants qui interpellent sur les pratiques d'un autre âge sombre, le scandinave en Mongolie. C'est super la représentation de ces cultures similaires, en terme de rudesse et des mœurs d'un autre temps incivil, sans tact et sans larme, il s'assoit sur un trône de fer, le barbarisme mythologique.
Ainsi s'achève l'épilogue historique, l'aventure peut commencer pour les souverains assit sur un pilier de pierre en argile, l'épée est forgée par le forgeron, c'est la tradition du folklore construit.
L’esthétique est un peu daté mais le charme est toujours la. Schwarzy y trouve un rôle qui lui va comme un gant, mais c'est surtout grâce aux apports des personnages secondaires et à son ennemi que son personnage ne donne pas l'impression d'être limité. L'histoire est a la fois basique mais intelligemment construite et on passe un bon moment. Un classique du genre.
Une saga épique avec Schwarzy qui fait un Conan très crédible mais surtout un méchant génialement effrayant, joué par James Earl Jones, sur la musique culte de Basil Poledouris !
Excellent film d'action médiévale avec Arnold. Un peu trop long et agrémenté de pas mal de longueurs, l'univers est bon mais le film n'a rien de fidèle à l’œuvre originale de Howard. LE film qui a rendu Schwarzie connu du grand public.
Conan le barbare relate l'épopée presque épique de Conan dans sa quête de vengeance dans un monde imprégné de fantasy. Les scènes d'action sont plutôt bien faites malgré leur ancienneté, elles illustrent bien toute la violence de ce monde, avec un Schwarzenegger toujours aussi bon pour ces scènes. La bande-originale constitue clairement le point fort du film: elle est très réussie et nous transporte dans cet univers de John Milius, et est totalement adaptée aux différentes scènes. Mais le film est trop lent, se perd dans des dialogues interminables (quand il y en a), qui finissent par être inintéressants et ennuyants au possible. L'histoire se révèle en plus être une simple histoire de vengeance, alors qu'on se serait attendu à un peu plus de complexité pour retracer cette fresque qui aurait vraiment pu être épique.
Un bon film qui avait marqué mon enfance avec un genre nouveau et un excellent scénario. Belle occasion pour voir les muscles d'Arnold Schwarzenegger en action.
Qui d'auter que Schawrzi aurait pû assurer ce rôle de Barbare. Chaque pose de l'acteur, chaque combat nous rappelle qu'on se retrouve en face d'un Mister Univers. Le film, quant à lui, est loin de faire dans la subtilité. Scénario bateau, décors kitsch, dialogues directs,.... mais ce sont ces côtés qui pourraient être un défaut mais qui font l'intérêt du film.
Conan le barbare est tirée d'une BD à succès que je n'ai pas lu encore, mais en tout cas le résultat est tout à fait convaincant. Le film est pleinement inscrit dans son époque en mettant en avant le self made man de l'Amérique reaganienne. Il a reçu des critiques assez vives à sa sortie alors qu'aujourd'hui il est largement réhabilité. Et c'est mérité au vu de l'excellente réalisation de John Milius de la première à la dernière séquence, nous proposant un récit christique très bien agencé. Loin de l'image du film de gros muscles idiot, Conan le Barbare est un grand film de fantaisie à l'ambiance singulière et au discours riche... Allez-y !
Conan le barbare ou Conan le séducteur est un bon film qui a vieilli mais qui reste agréable à regarder grâce à un bon Schwarzenegger taillé pour le rôle. Des dialogues très creux mais en faible quantité qui donnent une touche d’héroïsme grâce à une bande son superbe mais qui soulignent également les longueurs d’un film tout de même très long, à l’image de la scène d’ouverture avec du bon et du moins bon.
Certains films sont touchés par la grâce et permettent à tous leurs participants de donner la meilleure prestation de leurs carrières respectives. C'est le cas de Conan Le Barbare, œuvre unique faisant figure de chant du cygne dans la carrière de John Milius qui n'avait jamais atteint un tel niveau de maitrise et ne réitérera jamais cet exploit dans ses futures réalisations. Arnold Schwarzenegger semble né pour interpréter l'invincible cimmérien. Jamais Sandhal Bergman ne retrouvera un rôle aussi marquant que celui de l'indomptable Valeria, ni James Earl Jones une composition aussi magnétique que celle du terrible Thulsa Doom. Chaque plan témoigne d'une compréhension profonde de l'œuvre de Robert Howard ainsi que d'une sensibilité esthétique exacerbée. Alors, quand une réussite artistique d'une telle ampleur se paye le luxe d'être sublimée par une des plus belles bandes originales jamais composées (merci Basil Poledouris), ont touche au divin.
On en a beaucoup entendu parler et c'est ce film qui a révélé Schwarzy au grand jour. Pourtant difficile de rester réveillé et attentif devant ce film culte du cinéma, tant celui-ci ne parle pas ou presque et la mise en scène est traînante et ennuyante à la longue. Certe, la production ne disposait à cette époque-là que de peu de moyens, mais on aurait comme préféré un peu plus de dynamisme et d'entrain dans la mise en scène. La seule chose qui peut (à la limite) nous captiver est la façon dont le film raconte la légende de Conan et la manière dont Schwarzy le campe.
Le film a mal vieilli car de nos jours il serait mieux fait, sinon à l'époque c'était une réussite et un excellent divertissement, j'aimais bien le voir et le revoir quand j'étais gamin, Conan c'est plus fort que Musclor.