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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 décembre 2016
Dernier film de l'acteur monstre sacré et consacré Jean Gabin et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il n'en sort pas par le haut, ni grandi, ni par la grande porte mais par la toute petite en catimini. Mais ce n'est bien sûr pas à l'aune d'un dernier navet que l'on est jugé, Dieu merci !
Brialy tient la chandelle, notre Gabin s'avère quelque peu poussif et le pseudo-scénario très mongolo est à la fois pathétique et édifiant. Evidemment réalisé par Jean Girault, un cave sans envergure, on ne pouvait en attendre de miracle, ni en attendre quoi que ce soit, d'ailleurs.
Sévèrement mollasson, le film n'appelle vraiment aucune indulgence particulière et fait plutôt régulièrement pousser des hauts cris d'indignation de par son indigence permanente caractérisée. A oublier soigneusement dans une oubliette dédiée.
Un début prometteur..... un casting de choix..... une Danielle Darieux radieuse..... un Gabin et un Brialy en forme...... et une histoire qui tourne en rond dans un avion..... décevant, autant aller au théâtre......
Un film culte, un duo magnifique, une prestation 5 étoiles....... Le dernier film d'un Monstre du cinéma! A montrer aux plus jeunes, juste pour qu'ils se rendent compte de la qualité du cinéma à l'époque!!
Un film qui se laisse regarder même si pas extraordinaire au niveau du scénario. Mais alors, quelle interprétation de la part de Monsieur Jean Gabin, formidable et charismatique comme à son habitude, acteur n°1 à jamais !!!
Je ne sais pas pourquoi, j'avais dans l'espoir que « L'Année sainte » serait vaguement sympathique, la présence de Jean Gabin pour son dernier film ayant aussi compté. Au final, c'est une certaine affliction qui m'a traversé lors du générique, tant voir le héros de « La Grande illusion », « Pépé le Moko » et autres « Voici le temps des assassins » terminer sur pareil navet a quelques chose de profondément triste. Pourtant cela ne démarrait pas trop mal : bien qu'extrêmement banal, l'évasion est plutôt efficace et le rythme jusque-là convenable. Et puis tout d'un coup : le choc. Alors que nos deux acolytes semblaient se diriger tranquillement vers l'Italie en avion, voilà que celui-ci est attaqué... par des pirates de l'air, parmi lesquels le plus mauvais acteur de l'Histoire du cinéma italien. Et oui, rien que ça ! Mais bon, on se dit que cela ne va pas durer très longtemps... Et bien si. En fait, 80% de « l'action » va se passer dans ce décor unique, et c'est insupportable. Aucune mise en scène, aucune idée, aucune situation potable ou presque : le résultat tourne rapidement au calvaire, d'autant qu'on en voit jamais la fin et avons l'impression que nous restons bloqués encore plus longtemps que les passagers (comprenez plusieurs heures) Le pire, c'est que Jean Girault et son dialoguiste Jacques Vilfrid sont persuadés d'être hilarants tant on devine aisément toutes les répliques que les deux compères imaginent irrésistibles : bide total et absolu à chaque fois. On imagine presque un prompteur installé dans la salle pour signaler aux spectateurs quand ils doivent rire, aucun autre moyen n'étant de toute façon possible pour eux. Seul bon moment : les retrouvailles entre Gabin et Danielle Darrieux (digne même dans les pires daubes : quelle classe!), où même Vilfrid retrouve un peu de verve pour nous offrir quelque chose de plutôt joli. Dommage toutefois que leurs adieux cinématographiques aient dû se faire dans pareil projet, le destin est parfois cruel... Notons enfin un dénouement potable, bien qu'au fond assez prévisible. Ce n'est toutefois rien en comparaison de l'incommensurable ennui que j'ai pu subir le reste du temps, le genre de nanar comme on en fait heureusement presque plus : allez, je me mets vite à la recherche d'un autre titre avec Jeannot histoire d'enlever cet arrière-goût décidément difficile à faire passer...
L’année sainte est une bonne comédie de Jean Girault. La mise en scène du réalisateur est irréprochable, le scénario est recherché et intéressant, l’humour est efficace et le duo Jean Gabin, Jean-Claude Brialy est parfait. On passe un très bon moment devant ce long-métrage, je le conseille fortement. Dommage que ce film ne soit pas plus connu.
Ce dernier film du monstre sacré Jean Gabin réalisé par Jean Girault est une comédie honnête qui fait passer un bon moment à défaut d'être hilarante. Le scénario est assez simple mais il contient quelques bons rebondissements. La principale force du film consiste dans les excellants dialogues de Jacques Vilfrid où certaines répliques n'ont rien à envier à celle d'Audiard dans ses grandes heures. Jean Gabin dispose ainsi d'assez de matière écrite pour pouvoir s'amuser une dernière fois dans ce rôle de repris de justice déguisé en évêque. Dommage que les seconds rôles soient un peu mis de côté malgré la présence de Jean-Claude Brialy ou encore Henri Virlojeux en commissaire de la vieille école. En conclusion, un petit film sympathique à voir pour les amateurs de comédies de l'épôque et pour saluer la sortie de scène d'un des plus grands acteurs français du siècle dernier.
Film invraisemblable et poussif. La musique caricatural appuie encore davantage les points faibles de scènes mal construites. Un navet avec Gabin et Brialy...
Dernier film de Gabin d'un réalisateur plus connu pour ses films plébéiens pas formidables. Un policier assez plat sauvé notamment par le duo Brialy/Gabin.
CULTISIME!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! La Majorité des films de Gabins sont CULTISIME ce Gabin-ci qui est le dernier est peut-etre le meilleur des Gabin.
Une sympathique comédie avec d'excellents acteurs, Jean Gabin et Jean-Claude Brialy en tête, et avec pas mal de rebondissements et de gags bien que l'histoire est plutôt invraisemblable.
C'est le dernier film de Gabin, pas le meilleur mais on se plait toujours à revoir ce monstre du cinéma Français, même vieillissant, à jouer les gangsters. Qui plus est lorsque tout le film tient d'une farce religieuse, certaines scènes pleines de dérision emmenées par le tandem Gabin-Brialy sont vraiment succulentes. Autour de ce duo, pas grand chose hélas ... Avec un scénario agréable mais convenu L'année sainte nous permet donc de passer un bon moment et de dire au revoir au Grand Jean Gabin autour d'un film qui s'il ne restera pas parmi ses plus grandes réussites nous aura bien fait sourire, une dernière fois ...