Génial ce gendarme. Pour moi, c'est bien simple les 4 premiers sont les meilleurs après le 5 et le 6 bof bof. Ici, pas une once d'ennui, des répliques cultes, une inondation de gags et de mimiques (c'est le moins qu'on puisse dire), un film jamais vulgaire contrairement à la plupart des comédies actuelles. Je ne saurai vous dire quelle est la scène la plus drôle tellement il y en a. Peut-être celle avec le curé ou celle de l'accident causant un embouteillage monstre ou celle dans le pensionnat avec les jeunes voyous, la scène finale dans le restaurant, ou encore celle dans le repaire d'hippies ou encore celle où Paul Preboist raconte l'histoire du chaperon rouge ou encore, encore la rencontre de Cruchot avec Fougasse à la Pinsonière, ou celle où Cruchot évoque à Gerber les souvenirs passés à la gendarmerie de Saint Tropez, ou encore, encore... la première demi heure du film qui est concentré sur l'ennui du quotidien éprouvé par FUFU du fait de sa mise à la retraite. Bref, je préfère m'arrêter, ce serait vous gâcher la surprise. Enfin, vous l'aurez compris, si vous voulez passez une soirée agréable faite de rires et loin des soucis du quotidien, ce film est un très bon remède.
Pour moi également, le meilleur de la série ! Même si j'aime aussi le 3 "...se marie... " et le 2 " ...à New York... " La scène avec les hippies" Je T'aime... " est mémorable !!! De Funès et ses sbires auraient-ils vraiment fumé de l'herbe comme Nicholson, Peter Fonda et dennis Hopper dans " Easy Rider ? Peut-être pas...Lol !
Le quatrième opus de la série des gendarmes n’est pas un grand cru. Les scénaristes, clairement en manque d’inspiration, nous gratifient d’une espèce de best of des gags des trois premier films sans queue ni tête. Les acteurs se lancent alors dans un concours de cabotinage pour tenter d’exister malgré une intrigue indigente. Le résultat est fade et sans intérêt.
Nouvel épisode et le filon commence à s’épuiser. Ne nous trompons pas, ce 4e film est assez marrant comme tous les autres, mais cette fois-ci, il y a trop de répétition. Ce film joue sur la nostalgie, les bons moments des trois premiers films mais ne s’illustre pas par son originalité sauf lors de brefs passages (hilarants cependant). De plus, on voit apparaître certaines blagues lourdes et ridicules, nouveauté dont les scénaristes auraient pu se passer Certes, la bande de gendarme est toujours aussi bonne grâce à son jeu d’acteur et la présence comique du duo Galabru-De Funès mais il suffit, cet épisode (déjà limite) aurait du signifier la retraite (définitive celle-là) pour notre célèbre Cruchot.
Ça sent terriblement le réchauffé sauf pour les dialogues et les répliques qui frôlent le néant. Que très très rarement drôle, même De Funès ne parvient pas à nous arracher de notre ennui !
ensemble très poussif,quelques mimiques de Louis De Funès par ci par là puis le néant a noter quand même les interventions de la soeur qui passent bien mais bon c'est peu.
Vers la fin de la série on commence à sentir les acteurs fatigués. De Funès lui même use et abuse des grimaces et son personnages principal perd de son essence. Malgré une innovation ou remise au goût du jour (la technologie et l'informatique perce peu à peu) ainsi de certain gags, le film est très potable mais on reste sur notre faim. A voir absolument.
Quatrième épisode et le dernier film de la saga réussi comme les précédents. Car les deux derniers films qui suivront seront les moins réussis. On retrouve avec plaisir : Louis de Funès, Michel Galabru, Guy Grosso, Jean Lefebvre, Christian Marin, Claude Gensac et Michel Modo. Dans cette épisode Cruchot et ses compères ont été mis à la retraite, mais la perte de mémoire de Fougasse, vont les réunis à nouveau et ils vont se lancer dans cette ballade. La musique est toujours aussi bien et on passe un bon moment.
Là, on sent que la saga aurait du s’arrêter. En effet, le Gendarme en Balade n’est pas vraiment drôle. C’est même un des plus mauvais opus de la saga. On tourne en rond, les gags ne sont pas nouveaux, … Bref, il faudrait vraiment que ça s’arrête. Seule la fin arrive à faire sourire. Mais sinon, c’est le néant.