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Melissa Zka
41 abonnés
494 critiques
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3,5
Publiée le 23 mai 2018
Sympa ce film,de Funès brille toujours par ses mimiques et ses répliques cinglantes,tandis que les situations comiques s'enchaînent.Bon faut admettre que le scénario ne vole pas haut mais le casting relève le niveau du film.C'est un film qui se laisse regarder,sans difficultés.Personnellement j'aime bien.Je l'ai déjà vu plusieurs fois et à chaque fois je ne m'ennuie pas.
L'énergie des comédiens ne suffit pas à compenser la pauvreté et naiveté du scénario. Reste le climat des années 60 et la fraicheur des remises en cause.
Un film assez marrant qui pousse facilement les cinéphiles à le voir car il y'a De funès une bonne interprétation. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 3/5
Ce n'est pas mon De Funes préféré, on a du mal a se reconnaitre a travers les jeunes du voilier, par exemple. N'en manque pas moins que comme tout les De Funes, il y a toujours des moments qui pretent a rires, notamment avec Mario David. Sympathique, mais sas plus.
Un film avec une énergie très soutenue , on ne s'ennui pas une seule seconde ! Louis de Funès y met tout son talent et joue son rôle avec talent et brio. Avec ses mimiques, il a tout pour faire rire. Il est dur de ne pas se complaire devant cette comédie aux airs et aux années de sixty. La sauce prend et ce film reste culte et indémodable malgré les années ! On se souvient tous de ces fameuses répliques : "hummm delicious ! delicious ou encore mon petit , mon tout petit ! , Allez vous couchez vous ! Alors , pourquoi bouder son plaisir ?
Après avoir subi quelques sorties de films contemporains moches et décevants, où l'on ne sait plus tenir une caméra sur un pied, construire un scénario, écrire un dialogue, bâtir un personnage, jouer un rôle et faire une musique de film ; j'ai décidé de mettre le cinéma en vacances. Rien de mieux qu'un bon vieux Louis De Funés pour se laver les yeux. Comédie burlesque orchestrée par Jean Gireault qui nous emmène de Paris en Angleterre, des magnifiques paysages normands à l'Écosse. Comédie de mœurs dans l'insouciance des années 60, libération d'une jeunesse bourgeoise qui se confirmera un an plus tard, en 1968. Qualité du duo De Funès-Claude Gensac et magnifique duo avec le grand Ferdy Mayne. Du voyage, des décors, des acteurs, des paysages, des situations rocambolesques, des gags parfois simplets, des cascades à l'ancienne. C'est léger, c'est frais, c'est con-con, mais c'est bien fait, c'est généreux, on ne prend pas le spectateur pour un jambon. Oui ça fait du bien, ça fait des vacances !
Un des films les plus distrayants de Louis de Funès. Ici l'acteur est toujours aussi génial et en pleine forme sans oublier le reste du casting. C'est bien rythmé avec de bons dialogues et de nombreux gags. Un film parfait pour ce qui est de se détendre, passer un bon moment et d'être de bonne humeur, genre de films plutôt rare dans le cinéma français actuel. On ne t'oubliera jamais Fufu !
"Les grandes vacances" est clairement le type de film très classique et sans trop d'intérêt que l'on peut retrouver dans la longue filmographie de Louis de Funès. Ici, tout l'objectif est de développer une histoire assez loufoque pour que l'acteur puisse suffisamment s'exprimer. Le scénario n'a donc rien de bien intéressant, on se retrouve confronté à une histoire de familles comme on en voit des dizaines dans le cinéma français chaque année. On joue sur les conflits et sur les différends qui les opposent, rien de nouveau. L'humour sera donc au premier plan et réussit plutôt bien à fonctionner sur toute la durée du long-métrage. Cela passe par les gags avec la bonne, ou bien par toute cette séquence finale en Angleterre, qui joue certes sur des clichés, mais qui s'avère bien drôle. Cependant, il faut quand même noter que certains gags seront quand même assez moyens malgré tout. Soit à cause de leur côté trop répétitif, comme le gag avec l'homme musclé. Ou bien, tout simplement, car ils ont mal vieilli. Le gag des garçons qui encerclent les filles pour les draguer sonne vraiment différemment aujourd'hui. Heureusement, et comme toujours, les mimiques et le style de Louis de Funès sauvent l'ensemble. Il donne tellement de sa personne que cela fait toujours autant plaisir à voir. On le retrouve évidemment dans un rôle extrêmement classique, il est le personnage tyrannique et très sûr de lui. Mais cela n'empêche pas l'attachement, dû au capital sympathie de l'acteur. Mais hormis cela, j'avoue n'avoir rien d'autre à raconter sur ce film, tant il est extrêmement classique. C'est juste un petit long-métrage pour une fin de soirée, assez divertissant, bien rythmé et qui se regarde sans trop de pression. C'est plutôt dans un style bon enfant, et c'est toujours un plaisir de voir l'association entre Jean Girault et Louis de Funès, mais cela ne propose pas forcément quelque chose de plus. Pour conclure, une comédie française très classique, mais appréciable.
On aura rarement vu un film avec de Funès aussi mauvais. Le film n'est pas drôle, et tombe dans un humour de bas étage le scénario est très mince. Une catastrophe, dont de Funès parvient tout de même à sauver le film du naufrage complet, avec quelques scènes trop rarement marrante.
Ce petit film de Jean Girault des années 60 mettant en scène le grand de Funès n'est pas le meilleur de l'acteur mais reste quand même très agréable. Le scénario n'est pas follement original mais plusieurs éléments viennent s'y collé dont de nombreux quiproquos ce qui le rend très sympathique. J'ai donc profiter de cette soirée de grandes vacances justement où le contexte s'y prêtait bien, où d'ailleurs plusieurs chaines passent des classiques de l'humour français tous les étés pour le regarder et c'est vrai que c'est une réelle bouffée de fraicheur ! Comme à son habitude, Louis de Funès est une vrai énergumène et nous joue son personnage nerveux que tout le monde adore. De plus, il est accompagné de son fils Olivier, de Claude Gensac et de Ferdy Mayne, ce qui n'est tout de même pas rien. Le rythme du film est soutenue car les gags et les malentendus s'enchaînent ce qui fait qu'on a pas le temps de s'ennuyer. Le film est également bourré de scènes et de répliques très bien amenées et aujourd'hui devenues cultes pour tous les fans de de Funès. "Les Grandes Vacances" n'est donc pas la meilleure comédie qu'a pu faire Louis de Funès mais nous promet tout de même une très bonne soirée !
Ce que je supporte pas dans ce film c'est le côté cucul avec les jeunes du college, ainsi que la musique qui revient tout le temps, que ça soit la radio, celui à l'harmonica, Michonet qui danse avec l'anglaise etc. Les passages avec De Funes sont par contre superbe, comme la scnee avec le gros chien dans la voiture, la fois ou il se retrouve sur un delta-plane, ou bien avec le livreur de charbon etc. Par contre le reste est très moyen, et la fin part dans tous les sens en plein délire comme dans "Le petit Baigneur" qui est totalement du même genre, à l'exception du côté gnangnan et amourette des jeunes.
Et encore un film avec le mot « vacances » s'apparentant à un navet, un ! Je ne sais pas quel étrange optimisme m'a laissé imaginer que cette énième comédie du nullissime Jean Girault et de son tout aussi nullissime scénariste Jacques Vilfrid pourrait m'amuser, en tout cas il n'était clairement pas de rigueur. L'illusion aura duré quelques vagues minutes, le temps d'écouter Louis de Funès et cette inimitable façon qu'il a de parler anglais... Hélas, plus les minutes passaient, plus l'indigence du scénario et des situations devenait criante. Loin du rythme trépidant que Girault souhaiterait insuffler, la « comédie » se transforme rapidement en débâcle sans la moindre idée et au niveau d'humour affligeant, la seule bonne surprise venant de l'anglais Ferdy Mayne, parvenant même à faire un peu d'ombre à notre Louis national. Ça n'en reste pas moins terriblement mauvais, les dernières minutes s'apparentant même à un supplice face au vide abyssal caractérisant « Les Grandes Vacances ». A fuir !
Bon, déjà l'affiche fait peine à voir... Enième comédie construite autour de son interprète principal, à savoir le parfois hilarant Louis de Funès, "Les Grandes Vacances" de Jean Girault ne propose pas grand-chose d'original à se mettre sous la dent. Des gags souvent prévisibles, un jeu d'acteurs assez faible - même De Funès n'est pas en grande forme -, des dialogues assez nunuches, une musique entraînante mais des situations ringardes... L'ensemble s'avère vraiment faible. D'autant plus qu'il y a un systématisme dans les situations franco-anglaises qui ajoutent au côté prévisible... Sans intérêt.
Neuf ans avant A nous les petites anglaises, De Funès emmenait déjà son fils soulever les jupes des filles de Sa Majesté – bien-sûr à son corps défendant. Tandis que dans la vraie vie couve Mai 68, Jean Girault drague ouvertement la clientèle jeune et jolie, en prenant immanquablement fait et cause pour leurs petites inconséquences. Le grand Louis cabotine tranquillement, fer de lance d’une génération d’anciens qui en prennent pour leur grade, gentiment, sereinement, parce que bon, on ne voudrait pas que quiconque s’offusque. C’est une bonne vieille comédie, à l’ancienne, pour tous âges et pour tous milieux. J’ai ri deux fois : l’une devant les insoupçonnables talents culinaires de la perfide Albion, la seconde lors d’un numéro excessif comme jamais du petit chauve excité le plus célèbre de France. Le reste ne pourra qu’accompagner une séance de repassage. Des gags répétitifs, attendus ou niais ; une mise en scène anonyme ; des acteurs tous dans l’ombre, pour ne pas en faire au personnage phare. C’était peut-être, sans doute, lui mettre trop de poids sur les épaules. Seulement voilà, même lui finit par s’essouffler.
Pour un Louis de Funès, il n'est pas vraiment drôle. Les enfants surjouent. On aperçoit les carrés de Versailles, près de la rue Royale, détail amusant. La nourriture anglaise ne donne pas du tout envie. On ne voit pas beaucoup d'autre chose d'Angleterre, hormis le whisky écossais et un peu de cornemuse. L'histoire aurait pu être meilleure, mais les rôles secondaires sont mal exploité. Je mets en cause les acteurs secondaires, que je n'ai pas aimé en dehors de Claude Gensac qui n'apparaît presque pas et ne dit presque rien. Déception.