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CH1218
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3,5
Publiée le 23 décembre 2019
Préambule à la série « Happy Days », George Lucas retrouve avec « American Graffiti » la légèreté, l’insouciance et l’ambulation des teen-agers du début des années 60. Produite par Francis Ford Coppola, cette succession de saynètes nostalgiques rassemblait à sa sortie en 1973, des noms en devenir : Richard Dreyfuss, Ron(ny) Howard, Charles Martin Smith et un certain Harrison Ford.
Le second long métrage de Georges Lucas, nous propose une très belle immersion dans les années 60. Avec " American Graffiti ', il nous offre une comédie rythmée, très sympathique, mettant en scènes les lycéens d'une petite ville des États-Unis. Ils vont passer à l’âge adulte et rentrer à l'université : Bal de fin d'année, drague et ballades en superbes voitures. La "Ford V8 1932 Deuce Coupe" de John Milner et la "1958 Chevrolet Impala" de Ron Howard sont les vedettes du film. Dommage que le scénario ne nous conte pas une véritable intrigue mais une suite de situations, car la BO est véritablement d'enfer. Avec des insertions musicales des Platters, Beach Boys, Booker T... Le film a été à juste titre récompensé par un Golden Globes de la Meilleure comédie ou comédie musicale. A l'affiche de cette comédie on peut apprécier les bonnes prestations de Ron Howard (le Richie Cunningham de "Happy Days") dans le rôle de Steve Bolander, et de Paul Le Mat dans le rôle de John Milner. Quant à Richard Dreyfuss, il est (déjà) fantastique dans le personnage de Curt Henderson le lycéen surdoué qui lui roule en 2 CV Citroën !
J'aime beaucoup ce film. Pas vraiment de scénario, juste une succession de scènes d'adolescents un peu perdu dans les années 60 aux états-unis. Tout le film est accompagné de musique rock'n roll. C'est plein de charme et les personnages sont tous attachants.
Un intéressant portrait de l'âge de l'innocence des états-unis. Il est parfois difficile de voir où le film veut en venir, mais l'ensemble n'a pas trop vieilli et les acteurs sont bons. C'est un beau témoignage de cette époque révolue, avec une BO rétro des plus agréables. On retrouve avec plaisir Harrison Ford à ses débuts, déjà incroyablement charismatique, et on a une jolie brochette de jeunes acteurs. Bon film en somme.
American Graffiti m'a très moyennement séduit comme film. Je crois que je ne me suis tout simplement pas identifié aux personnages. Je ne dois pas faire partie du public ciblé (plus âgé que moi, et qui doit être dans la nostalgie de la période filmée). Les histoires sont déconnectées et on ne voit pas trop le lien entre elles. Les acteurs ne sont pas forcément mauvais, même si peu ont vraiment transcendé (même Harrison Ford ne sort pas du lot). Après, ce n'est pas mauvais, mais on peut s'attendre à mieux vis-à-vis de la personne qui réalisera Star Wars.
"American graffiti" est le second long-métrage de Georges Lucas. On suit une bande de jeunes lors d'une soirée, principalement au volant de leurs voitures, sans assister à une narration attractive. Le film sera assez ennuyeux, on roulera sans aboutir quelque part, avec pour seul accompagnement, des discussions sans intérêt. Le seul plaisir résidera dans le coté nostalgique de cette époque (60's) où l'insouciance faisait bon vivre. A ne surtout pas voir en version française !
Un film très sympathique sur la jeunesse des années 70 avec une belle brochette d'acteurs. Le rythme du film est bien entretenu, malgré quelques longueurs.
Cette merveille a plus de 40 ans et reste gravée dans le temps ! Une bande originale très bonne, de belles voitures, quelques délires de lycéens, un parcours d'initiation, des courses de voitures, des astuces pour acheter de l'alcool interdit aux mineurs, de la drague, la recherche de la femme de sa vie et un DJ qui met de l'ambiance tout le long du film. On passe un excellent moment !
Ce film choral, deuxième long de George Lucas avant la série des Star Wars, n'a d'autre but que de retracer l'esprit d'une époque et d'une génération. Les années 60 se retrouvent résumées à des jeunes se baladant sans cesse en voiture pour draguer les nanas tout en faisant les 400 coups. Les personnages sont nombreux et intéressants, chacun avec leur personnalité propre et leurs (més)aventures respectives.
Le film pose un regard affectueux sur une époque charnière, entre l'insouciance et prises de conscience à venir pour la jeunesse américaine. Le sujet est ambitieux, mais à l'image des voitures sillonnant la ville, on tourne en rond: il n'y a pas de véritable scénario, les personnages sont stéréotypés, et si la reconstitution sonne juste, on finit tout de même par trouver le temps long, en dépit d'une BO comme on n'en fait plus de nos jours. On sent que Lucas se cherche tout au long du film. Côté casting, seul Richard Dreyfuss tire son épingle du jeu.
Ça se passe en 1962 en plein sixties la jeunesse américaine voue un culte à l'automobile. Au casting Ford, Chevrolet, 2CV et beaucoup d'autre stars du bitume et tout se déroule autour d'elles. Les gars passionnés par leur voiture ultime objet look qui surpasse toutes bonnes coupes gominées toujours parfaite grâce au peigne régulièrement dégainé. Ici la gomme chauffe mais pas que, les tires servent à tout et surtout à draguer les ravageuses pinup aux jupes plissées. Elles se font balader entre deux run du drive in burger au drive in ciné. Les autoradios viennent de sortir et les bolides vitres ouvertes hurlent les titres rock'n'roll à la mode. L'intro sur Around The Clock de Bill Haley donne le ton et nous voilà parti en viré aux sons du DJ charismatique de la radio local.
Un film qui a mal veilli... Et dire qu'il fut pour une partie de la jeunesse française le modèle de cet American Of Way dont on sait aujourd'hui ce qu'il en est. Si M. Lucas est un digne représentant de cela, niveau cinéma, il en reste peu de chose.
Un fil qui reflète parfaitement l'adolescence des années 60, avec de grands futurs acteurs et une bande son culte. Bien avant l'univers de Star Wars, George Lucas réalise un film culte.