Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
1,0
Publiée le 13 août 2009
Même si la mise en scène de Geoges Lucas est remarquable voire dogmatique sous certains aspects, je n'ai pas aimé ce film qui manque cruellement de sens et de rythme (l'un pouvant compensé l'autre). Richard Dreyfuss est comme d'habitude parfait mais tant qu'à faire, je conseille de regarder more américan graffita dans la foulée : c'est plus réussi.
Le décore et très bien planté, l'ambiance y est. Les acteurs assurent. De l'humour... mais il manque un réel scénario, un intérêt à suivre cette histoire.
je suis bruno vincent gerant de moonriver et je ressort american graffiti en numerique dans les récompense vous parlez des nominations ! tres bien il srait utile de precisé q'american graffiti et george lucan ont obtenu le golden globe du meilleur film en 1974 BRUNO VINCENT moonriver entertainment
En situant l'action quelques mois avant le début de la guerre du Vietnam et de l'assassinat de John Fitzgerald Kennedy, George Lucas signe un excellent film rétro sur l'Amérique des années cinquante-soixante.
Un genre qui m'était étranger de la part de G. Lucas mais très intéressant cependant. L'humour des années 70 ne vaut plus celui de nos années, malheureusement ! Je regrette en revanche, une histoire un peu pauvre par rapport à la critique qu'on en fait de ce film "mythique".
Une nuit complètement folle où des choix cruciaux (mis en scène cependant avec légèreté et humour) devront être pris: végéter ou partir, aimer ou trahir, s'amuser ou grandir. Comme le disait-lui même Lucas :"c'est un peu une vision californienne des Vitteloni de Fellini", il voit juste et inscrit son oeuvre dans une ère Rock n' PoP, tout en associant une mise en scène fièvreuse et novatrice. Les acteurs respirent la jeunesse et la sincérité. Les dialogues sont déjà légendaires. Un chef d'oeuvre incontesté.
Réalisé entre "THX 1138" et "Star Wars", "American Graffiti" est le deuxième film de Lucas. Mettant de côté la peinture d'un monde anticipé, froid et organisé, il met à l'honneur les émois, les peurs et les plaisirs de la jeunesse américaine des 60's, qui furent ceux du jeune Lucas. Avant les vaisseaux traversant l'espace, le réalisateur qui se rêvait pilote de Formule 1 peint un univers où la voiture, de préférence racée et rapide, est symbole de liberté et dispute aux femmes le rôle de premier objet de désir. Dans une ambiance rock n'roll (la bande originale est jouissive comme dans un film de Tarantino -qui est d'ailleurs à l'évidence imprégné de l'esthétique d'"American Graffiti"), évoluent, by night, plus ou moins beaux gosses, sentimentaux et fous du volant. Ils oscillent entre le désir de rompre avec leur existence provinciale et celui de rester adolescents, à portée des joies assurées de la musique, de l'alcool et de la fête. Réalisé en 73, "American Graffiti" a pour objet la société et la culture qui précède l'ère Woodstock et le Vietnam. Si la jeunesse se revendique une culture propre, le trip s'arrête au whisky et à la vitesse, la politique n'intéresse pas, le rock n'roll est encore châtié. Cinématographiquement, le film appartient à son temps au meilleur sens du terme, puisqu'il constitue un des jalons de la «nouvelle vague» américaine. Son objet est une certaine american way of life, la narration et les personnages se diluent dans la représentation d'un univers culturel, l'esthétique se nourrit des fragments du quotidien: logos ou feux de signalisation. A côté d'autres films décisifs signés par des noms comme Scorsese ou Coppola, "American Graffiti" quoique non sans inquiétude, est avec son côté série B de luxe, moins sombre et violent, plus drôle et déjanté: un film pop par excellence. Produit par le studio Zoetrope de Coppola, il acheva de rendre celui-ci millionnaire, et fit de Lucas un réalisateur solvable au yeux des producteurs. C'était mér
Digression étonnante dans l’œuvre de Lucas, « American Graffiti », derrière ses allures de pop corn movie à la cool, traite avec mélancolie de la fin de l’adolescence. Il doit beaucoup à Richard Dreyfus, déjà vibrant d’humanité pour ce premier rôle. Il y a bien quelques longueurs, mais le film se laisse voir avec plaisir.
Bien qu'ayant pris quelques rides, le film de George Lucas reste toujours aussi frais après les années. C'est l'histoire d'une bande de jeunes dans une ville du Midwest, c'est l'histoire de leur dernière nuit à squatter les rues dans de beaux petits bolides, c'est la fin d'une période, celle des 60's. Avec les futurs très connus et reconnus Richard Dreyfuss, Ron Howard et Harrison Ford, on suit leur dernière aventure nocturne à draguer, à rouler, à parler, sur une BO entraînante typiquement 60's. Un pur plaisir.
Le film le plus personnel de George Lucas. C'est Francis Ford Coppola qui a défié Lucas, lui disant qu'il serait incapable de réaliser une comédie dramatique Mais Lucas va mettre son talent d'écriture en une appropriation totale de l'oeuvre, fortement attachante. Ne parlons plus de la bande originale du film, regardons la justesse d'observation, la magnifique reconstitution, la mise en scène maîtrisée, le plaisir de voir Ron Howard , le réalisateur de "La Rançon" et de "De l'ombre à la lumière", et le toujours convaincant Richard Dreyfuss. Un témoignage ludique et intéressant d'une époque bénie des USA.
On suit avec intensité la dernière nuit de cette bande d'adolescents avant le grand départ pour le monde adulte. Deuxième de George Lucas et incursion au cœur de son époque de jeunesse, la fin des années 50 à Modesto, petite ville aux abords de San Francisco. Ce film retranscrit une certaine passion de la part de Lucas. On ressent parfaitement la nostalgie des années folles et insouciantes du lycée, entre les filles, les premiers amours, les premières voitures, les "cruising" sur Main Street, la musiques rock, nostalgie qui a surement du être la sienne en le réalisant. A la fin, c'est avec un léger pincement au cœur que l'ont voit ce groupe d'amis se séparer. On assiste à une page de la vie qui se tourne irrémédiablement et définitivement. On constate que George Lucas, pour ce second film, connait déjà son métier : visuellement c'est très agréable à regarder et la bande son est impeccable. Il nous plonge littéralement dans cette époque révolue à laquelle on aimerait appartenir pour ces instants de jeunesse. Il est à noter que l'on assiste aux débuts de quelques acteurs devenus, par la suite, des figures incontournables du cinéma hollywoodien, avec Ron Howard (réalisateurs de Willow, Backdraft, Appolo 13), Richard Dreyfuss (Les Dents de la Mer, Rencontre du 3e Type) et surtout Harrison Ford (Star Wars, Indiana Jones, Blade Runner) qui signe ici son premier rôle crédité. American Graffiti est une référence que l'on peut visionner en boucle. Il bénéficiera d'ailleurs d'une suite, réalisée par Billy L. Norton en 1979, qui n'aura pour but que de surfer sur le succès de ce premier opus et ne sera qu'un malheureux navet.
Un bon film et ma note peu paraitre un peu dure (j'ai longuement hésité !), mais finalement mon verdict tombe et il reste bien sur très personnel. J'ai trouvé qu'il ne se passait pas grand chose même si passer cette nuit "charnière" avec les différents personnages fort sympathiques n'est pas désagréable, il m'a manqué un petit quelquechose....En tout cas on est bien dans l'ambiance du début des années 60 avec la bande son, les coupes de cheveux et l'insouciance avant la guerre du vietnam.