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    American Graffiti
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    3,5
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    147 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 mars 2011
    Un concentré de tout ce qu'il y a de bon dans l'amérique des années cinquante. Quand on voit ça on comprend d'où les films comme american pie et cie tirent leur inspiration ^^.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 octobre 2007
    Cette comédie signée Lucas est une vrai perle. Devant ce film on oubli ses soucis et on se alise transportait dans le monde des ados américains des années 60. Humour, amour et rockn'roll sont au rendez vous; à consommer sans modération!
    Nicolas H
    Nicolas H

    10 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2011
    Un film qui malgré les années n'a rien perdu de son charme.On suit avec plaisir les aventures de trois jeunes hommes dans ce qui est leur dèrniere nuit avant l'entrée en université et les choix que ca impose.Bande-son,action,humour,romantisme,tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment.
    Et quel plaisir de voir la tête de jeune premier qu'avait R.Dreyffus,R.Howard et H.Ford.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 726 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 mars 2020
    Quatre ans avant le succès planètaire de « Star Wars » , George Lucas signait avec "American Graffiti" un hommage mèlancolique à tous ceux qui ont eu vingt ans et plus à une èpoque rèvolue de leur adolescence! Un second long-mètrage quasi mythique, à la fois chaleureux et drôle, sur l'Amèrique du dèbut des sixties et du règne du « rock » . La relation de l'homme avec les machines où l'on voyait dèjà le rôle que jouait l'automobile (Chevrolet, Ford...et même 2CV) auprès des teenagers californiens! Ah..."American Graffiti" où la nostalgie intimiste! Du dragage motorisè avec cette façon de flâner dans une nuit sans fin! Le film n'a pas pris une seule ride! Et quelle bande son, l'une des plus folles de tous les temps, la piste sonore ètant uniquement faite de rock classique! A la fin on laisse tout derrière-soi et on prend son envol! Bye bye les serveuses en patins à roulettes que j'aimais, le drive-in est fermè...
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2022
    Il arrive toujours ce moment, au carrefour de l’adolescence et de l’âge adulte, où il faut garder un œil sur son rétroviseur. L’utiliser comme un miroir serait vain et patiner sur place serait une garantie qui ampute ses chances de succès dans l’avenir. George Lucas revient sur cette étape cruciale, en cristallisant l’époque des sixties, où il limitera sévèrement la foule de piétons, afin d’investir les axes urbains de Modesto, en Californie, avec des véhicules qui servent autant de montures aux jeunes qu’un prétexte pour exprimer leurs émotions, le pied au plancher. Cela donne également l’occasion de faire l’état des lieux des archétypes, qui doutent, mais qui tendent fatalement au changement. La chose effraie comme elle peut en émerveiller certains. Dans un rodéo motorisé captivant, le cinéaste américain nous évoque ainsi une perte d’innocence, à l’image de cette jeunesse errance et sans destination.

    Un jeune casse-cou du volant, un couple en voie de séparation, un rêveur mythomane et tout un assortiment de prétentieux, tous sont de sortie dans une dernière nuit endiablée, où chacun y raye sa carrosserie. Réglons la radio, ou le juke-box, sur une playlist rock’n’roll et les festivités peuvent commencer. On part chercher des filles, pas éternellement courtisables, ou de l’alcool pour faire comme les grands. L’envie de liberté se lie dans ces détails, que Lucas puise évidemment dans sa propre adolescence, se remémorant sa première voiture, le diner du coin et des courses sauvages qui ont bien failli avoir sa peau. Ce sont autant de traumatisme que le cinéaste compile dans cette bourgade égarée, où les jeunes ne rêves que de grandes villes et de ses grands immeubles. Ici-bas, il n’y a que l’horizontalité qui les réconforte.

    Le changement continue donc d’effrayer au fur et à mesure que chacun prend conscience de son caractère irréversible. C’est un sens unique vers l’inconnu, une frontière qu’il s’agit de franchir et de s’affranchir. Lors d’un bal de fin d’année, on danse, on rit, on s’embrasse, mais tout cela n’est qu’un prétexte afin d’invoquer la nostalgie d’une décennie perdue dans le passé. Le fantasmer est sans issue et il serait encore plus futile de la reproduire à l’identique. Tout peut basculer en un instant, des petits larcins à des actes plus condamnables. La folie est donc de mise dans ce ballet de voitures, dont les conducteurs se cherchent et cherchent à séduire la génération qui le suit. L’excès de tendresse en témoigne, mais pas de quoi faire tousser un moteur, qui n’attend qu’une décision pour mettre plein gaz.

    De son premier essai avec « THX 1138 », Lucas s’est rapidement vu offert l’opportunité de conter ce « American Graffiti », aux côtés de son producteur, Francis Ford Coppola, qui aura le dernier mot sur cette chronique d’une jeunesse dans l’obscurité. Seuls les néons semblent pouvoir leur indiquer des étapes à suivre, mais aucun d’entre eux ne les incitera à dépasser leurs limites ou à affronter les obstacles. Ce commentaire peut être assez naïf dans le fond, il n’empêche que l’on y croît à cette utopie, qui a vu croiser tout plein de gens, prêts à se rentrer dedans, juste pour prolonger la dose d’adrénaline. Ces détours d’une vie présageaient cependant un avenir glorieux et victorieux, sans l’ombre de la guerre du Vietnam, de l’assassinat de Kennedy ou de tout autre doute à l’horizon. La réussite du film tient ainsi sur cette fine couche de sincérité, dont l’approche documentaire peut en déstabiliser plus d’un.
    moket
    moket

    528 abonnés 4 332 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2021
    L'Amérique fantasmée et insouciante du début des années 60. Au programme : grosses bagnoles, rock'n'roll, drive-in et diner. On suit des jeunes en virée nocturne. Sympathique mais il ne se passe pas grand chose.
    Hotinhere
    Hotinhere

    553 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2021
    Une chronique rétro et nostalgique sur la jeunesse insouciante des sixties, accompagnée par une excellente BO, qui se déguste comme un bonbon acidulé.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2020
    Une petite pépite d'intime nostalgie retranscrite ici par George Lucas grâce à la tendresse qui entoure ses personnages, à l'ode musicale intégrée au film et à un souffle de légèreté qui parcourt l'intrigue malgré des mises en garde ponctuelles que les protagonistes ramènent au statut de jeu ou de spectacle, inconscients des orages qui grondent, prêts à balayer leur insouciance. Malgré quelques redites ou longueurs, la vérité de ces jeunes adultes éclate. Un touchant instantané.
    FaRem
    FaRem

    8 657 abonnés 9 533 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 décembre 2013
    Du très lourd derrière ce projet mais aussi des futurs grands devant la caméra cela donne un film sympa qui raconte la dernière nuit de 4 adolescents qui leur fera vivre pas mal de péripéties. Les acteurs sont bons, la BO entraînante par contre le scénario est un peu léger et même si le film se laisse suivre avec plaisir je suis resté un peu sur ma faim.
    Eselce
    Eselce

    1 395 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 décembre 2014
    Cette merveille a plus de 40 ans et reste gravée dans le temps ! Une bande originale très bonne, de belles voitures, quelques délires de lycéens, un parcours d'initiation, des courses de voitures, des astuces pour acheter de l'alcool interdit aux mineurs, de la drague, la recherche de la femme de sa vie et un DJ qui met de l'ambiance tout le long du film. On passe un excellent moment !
    Shephard69
    Shephard69

    334 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2020
    Véritable hommage aux sixties californiennes, un long-métrage qui s'inscrit comme le pendant lumineux, positif du culte "La fureur de vivre" avec James Dean. Après le très expérimental "THX 1138", la seconde réalisation de George Lucas avant qu'il ne devienne l'auteur renommé de la saga "Star wars", un ensemble résolument kitsch et rafraîchissant, sans autre véritable prétentions que de dépeindre, à travers le destin de plusieurs membres d'une bande d'amis se croisant avant le départ programmé de certains protagonistes vers une vie adulte ou estudiantine, une tranche du fameux american way of life entre douceur de vivre dans un cadre insouciant, recherche de sensations fortes comme avec les courses automobiles, drague... Une fantastique bande originale rock, une oeuvre à l'intemporel charme suranné, désuet par ces répliques totalement démodées. Loin d'être désagréable à voir, une sorte de capsule temporelle savoureuse.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 220 abonnés 7 513 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 septembre 2010
    Bien avant qu’il ne réalise la plus célèbre saga de science-fiction de l’Histoire du cinéma, George Lucas a réalisé une comédie dramatique et nostalgique sur les jeunes adolescents Américains en pleine période "sixties", où le rock’n’roll régnait en maître et les voitures vrombissaient aux quatre coins de la ville.
    American graffiti (1974) est un film choral mettant en scène plusieurs jeunes aux destins variés, entre les courses de voitures, conquêtes amoureuses, les désillusions, les joies comme les peines, autour de diverses rencontres ou soirées. Il n’y a pas vraiment de fil rouge, puisque l’on suit les péripéties de ces jeunes à travers la ville, certains protagonistes retenant plus notre attention que d’autres. Parmi les jeunes acteurs, on pourra notamment citer Richard Dreyfuss & Harrison Ford, ainsi que le réalisateur Ron Howard.
    Alain D.
    Alain D.

    588 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2019
    Le second long métrage de Georges Lucas, nous propose une très belle immersion dans les années 60.
    Avec " American Graffiti ', il nous offre une comédie rythmée, très sympathique, mettant en scènes les lycéens d'une petite ville des États-Unis. Ils vont passer à l’âge adulte et rentrer à l'université : Bal de fin d'année, drague et ballades en superbes voitures. La "Ford V8 1932 Deuce Coupe" de John Milner et la "1958 Chevrolet Impala" de Ron Howard sont les vedettes du film.
    Dommage que le scénario ne nous conte pas une véritable intrigue mais une suite de situations, car la BO est véritablement d'enfer. Avec des insertions musicales des Platters, Beach Boys, Booker T... Le film a été à juste titre récompensé par un Golden Globes de la Meilleure comédie ou comédie musicale.
    A l'affiche de cette comédie on peut apprécier les bonnes prestations de Ron Howard (le Richie Cunningham de "Happy Days") dans le rôle de Steve Bolander, et de Paul Le Mat dans le rôle de John Milner. Quant à Richard Dreyfuss, il est (déjà) fantastique dans le personnage de Curt Henderson le lycéen surdoué qui lui roule en 2 CV Citroën !
    bobmorane63
    bobmorane63

    189 abonnés 1 965 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mars 2009
    Décidement, à l'image de ce film, l'année 1962 devait etre sacrée pour nos ancetres amis Américains!! "American Graffiti" est le troisième film de George Lucas, réalisateur en herbe pas trés connu du grand public à l'époque mais remarqué par son producteur Francis Ford Coppola qui sont issus eux deux par la suite du cercle des 5 qui ont révolutionnés Hollywood dont font aussi partie Steven Spielberg, Martin Scorsese et Brian de Palma. Avant le succés phénomémal planètaire de "Star Wars", le petit génie George Lucas nous offrait une petite perle racontant son adolescence et de l'image qu'il avait de l'Amérique en 1962 sous l'ère Kennedy, une jeunesse insouciante de l'avenir qui s'amusait, roulait dans de belles bagnoles anciennes, draguait des filles qui ressemblaient à Marylin Monroe ou Natalie Wood et avait une déguenne à la James Dean ou Marlon Brando. On y suit les aventures de 4 copains dont l'un fete sa dernière soirée dans sa ville fleurissante avant de partir dans un nouveau foyer pour l'université. Sur les ondes de la radio animé par le présentateur préféré des ados à l'époque, The Wolfman et ses tubes des années sixtees comme les Beach Boys par exemple, nos quatres héros vont faire les 400 coups et acccumulaient les déboires. "American Graffiti" a marqué une génération qui s'y sont retrouvés avec nostalgie, a obtenu 5 nominations aux Oscars, faut reconnaitre que ce film est une bouffée de bonheur. George Lucas nous montre aussi une passion à l'écran, l'automobile avec des belles voitures conduient par une jeunesse en fete qui se croisent à chaque carrefours ou feu remarquablement filmé. Bref, on savoure ce film, on rit, on s'attache aux personnages incarnés par les jeunes Richard Dreyfuss, Ron Howard, Charles Martin Smith, Paul Le Mat et dans un petit role Harrison Ford. Le culte est là!!!
    CH1218
    CH1218

    201 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 décembre 2019
    Préambule à la série « Happy Days », George Lucas retrouve avec « American Graffiti » la légèreté, l’insouciance et l’ambulation des teen-agers du début des années 60. Produite par Francis Ford Coppola, cette succession de saynètes nostalgiques rassemblait à sa sortie en 1973, des noms en devenir : Richard Dreyfuss, Ron(ny) Howard, Charles Martin Smith et un certain Harrison Ford.
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