Mon compte
    Le Juge et l'Assassin
    Note moyenne
    4,0
    1378 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Juge et l'Assassin ?

    142 critiques spectateurs

    5
    31 critiques
    4
    51 critiques
    3
    38 critiques
    2
    17 critiques
    1
    3 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Lenalee23
    Lenalee23

    39 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 octobre 2009
    Un grand film. Michel Galabru tient ici le rôle de sa vie, sa meilleure prestation qui prouve que même si il a joué dans pas mal de navet cet acteur reste un grand nom de la culture cinématographique française. Noiret quand à lui est comme à son haitude génial.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 août 2009
    La performance de Galabru vaut 4 étoiles, seulement même si la réalisation est bonne, le scénario trop alambiqué et les passages mous enlèvent au film tout son potentiel polémique.
    SebD31
    SebD31

    93 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 juillet 2009
    Galabru signe une performance exceptionnelle et inquiète le spectateur dans cet immense film. Un chef-d'oeuvre.
    SYNEPHIL
    SYNEPHIL

    50 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mai 2009
    Fabuleux face a face entre 2 "monstres sacrés" du cinema francais ,mais alors que le jeu superbe de Noiret est une habitude pour moi ,je dois dire que j'ai ete litteralement bluffé par celui de Galabru magistral de justesse ,de force et d'une terrible precision dans toutes ses attitudes ,quand je repense a toutes les merdes qu'il a pu faire ,on peut vraiment parler de gachis quand on voit ce qu'il donne ici.Seconds roles solides,magnifiques eclairages ,paysages verdoyants ,dialogues puissants et reconstitution minutieuse de la fin du 19 eme siecle sont mis en valeurs par une realisation totalement maitrisé qui mele habillement drame social,enquete policiere et film historique.Sur une histoire reelle,Tavernier decrit a travers le portrait de 2 hommes l'emmergence de mouvements sociaux des classes ouvrieres face a l'ordre etablit dominé par la haute bourgeoisie : une sorte d'affaire Dreyfus (egalement evoqué ici) en moins mediatique mais qui annonce bien les changements sociaux a venir.
    jimbo01
    jimbo01

    4 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2009
    BTavernier a souvent rélisé des films intéréssants et intelligents et même si certains ont quelque peu vieillis , sa filmographie reste l'une des plus regulières du cinéma français. Incontestablement son chef d'oeuvre demeure 'Le Juge et l'assassin "réalisé en 1976 , un film inspiré d'un célèbre fait divers qui passionna et divisa la France a la fin du XIX siècle a savoir la cavale sanguinaire de Joseph Vacher qui assassina et tua au moins une vingtaine de personnes et qui fut guillotiné en 1898 .Avec un talent indéniable de narrateur Tavernier nous raconte l'itinéraire de cet ancien soldat , amoureux éconduit qui tenta de tuer sa fiançée et de mettre fin a ses jours en se tirant deux balles dans la tête ,le destin décida de les faire survivre tout les deux mais Vacher (Bouvier dans le film de tavernier) resta psychiquement atteint (crises de paranoïa, hallucinations) il passa plus de six mois à l'asile où fort peu soigné Il tentera à de multiples reprises de s'échapper .Libéré et considéré comme guéri par les psychiatres il passe par des crises de folie mau cours desquelles il viole, éventre, mutile des adolescents .personne ne discutera le fait que ce film restera le plus grand rôle de Galabru absolument incroyable et époustouflant dans le personnage du tueur halluciné acteur il forme ici un duo épatant avec Philippe Noiret un fidèle de Tavernier qui interpréte le juge Rousseau ,homme intègre et juste qui va se passionner pour cette affaire au point qu'elle devienne pour lui une obsession totale.Le film ne se contente pas de raconter l'une des plus terribles affaires judiciaires de notre pays il pose aussi la question de la manipulation des médias dans un pays qui vient alors de se déchirer pour l'affaire Dreyfuss. intelligemment Tavernier laisse a chacun la libre interprétation du cas de Bouvier il ne nous dit a aucun moment qu'il est innocent mais sans le présenter comme une victime il laisse entrevoir la possibilité qu'il n'est peut etre pas coupable
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    245 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2009
    Pour son troisième long-métrage, Bertrand Tavernier s’atèle à la thématique languienne de la subjectivité de la justice. «Le juge et l’assassin» (France, 1976) s’ouvre sur les blanches collines des Alpes où un soldat trace sur la neige son amour pour une femme qui le refusera. Inspiré d’une histoire vraie, comme bien souvent dans le cinéma de Tavernier, le film confronte un juge tenace, ambitieux et persuadé de la culpabilité de ses accusés et l’un d’eux, un homme rendu ivre de rage et de pulsion par les sévices de la première guerre mondiale. De l’un à l’autre, Tavernier dispose une dialectique qui traduit l’échange entre deux folies : celle engendrée par la soif du pouvoir et celle imposée par les traumatismes de la guerre. De Fritz Lang, Tavernier reprend l’aporie qui résulte d’une telle lutte. Entre raison et folie, il est impossible de trouver le dialogue. De ce fait les relations qu’entretiennent le juge Rousseau (Noiret) et l’assassin Joseph Bouvier (Galabru dans sa plus belle incarnation) reposent sur l’illusion et le mensonge. Pourtant, Tavernier prend le soin de nous présenter les deux protagonistes comme semblables. Tous d’eux enamourer d’une belle jeune femme, tous d’eux issu de la même génération, tous d’eux arborant à la même moustache élégante, ils sont pourtant les pôles contraires de la justice. Ce qui les différencie ne provient pas tant de leur situation dans le film mais plutôt de leur éducation, de leur origine sociale. La théorie de Taine contemporaine à la période du récit (XIXème siècle), selon laquelle un individu est projeté à ne devenir que ce que son milieu lui a permis d’être, est parfaitement illustré. Le juge venant d’une bourgeoisie aisée et Bouvier étant l’enfant d’un misérable village des Alpes, leur destin se voit déterminés. La réussite du cinéaste est d’accepter ce constat et de se positionner d’un point de vue critique vis-à-vis de lui. La musique de Sarde et la photographie «natureliste» de Glenn le permettent.
    Davidhem
    Davidhem

    114 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 novembre 2008
    Un an après le film nommé "Que la fête commence", Bertrand Tavernier et son acteur fétiche Philippe Noiret collaborent à nouveau dans un film sombre qui relève du drame psychologique. Le film en lui-même atteint les plus grands sommets du film noir Français. Dans ce long-métrage, personne n'est ni tout blanc ni tout noir. Le réalisateur décide d'organiser un duel entre Philippe Noiret dans le rôle d'un juge ambitieux et cynique à un tueur en série peu commun et empreint à l'illumination formidablement interprété par Michel Galabru dans un rôle dramatique où l'acteur trouve enfin le moyen d'exprimer la plénitude de son immense talent. Ce film en plus de posséder des acteurs talentueux propose de plonger dans la misère humaine de la fin du dix-neuvième siècle. Le réalisateur dispose en plus d'un scénario riche et dense de telle sorte qu'il ne subsiste aucun temps mort. Le film relate l'histoire d'un homme qui viole, qui tue des jeunes femmes puis qui est capturé par les forces de police et qui attend son jugement en exigeant d'écrire des articles dans les journaux pour sensibiliser l'opinion en échange de ses aveux. Le plus étrange paramètre dans tout cela concerne le malaise que provoque le réalisateur en acceptant de confronter deux hommes très différents sur le plan légal, l'un juge, l'autre criminel, mais réussit grâce à une réalisation brillante à rendre le personnage joué par Galabru sympathique malgré ses crimes horribles et le personnage de Noiret parfaitement détestable, ce dernier étant présenté comme un opportuniste prêt à tout pour monter en grade dans les plus grandes magistratures de France. A la question "Peut-on tolérer qu'un homme gravisse les échelons d'une élite en envoyant un homme à la guillotine?", la réponse du peuple est clairement "non" surtout à cette époque durant laquelle les valeurs de gauche et le socialisme prenaient leur essor. Bertrand Tavernier réalise une oeuvre brillante et intéressante dont la phrase finale qui donne à réfléchir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 août 2008
    Un pur moment de bonheur,le rêve de tout cinéphile.Des décors naturels grandioses, un sujet important, des acteurs habités par leurs personnages et une musique de circonstance. Merci à Bertrand Tavernier qui réalise un chef-d'oeuvre absolu et à Michel Galabru pour cette performance inoubliable.
    dougray
    dougray

    244 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 août 2017
    Bien qu’il soit porté aux nues par les critiques et considéré comme l’un des chefs-d’œuvre de son réalisateur Bertrand Tavernier, "Le juge et l’assassin" m’a un peu laissé sur la faim. Non pas que le film m’ait déplu ! Mais je trouve qu’il souffre d’un certain nombre de défauts trop souvent oublié lorsqu’on l’évoque et qui l’empêche, à mon sens, d’être totalement réussi. Certes, on retient, à juste titre, le numéro des deux interprètes principaux, à savoir Michel Galabru en assassin fou à lier (qui recevra son seul César à cette occasion) et Philippe Noiret en juge ambitieux. Galabru est effectivement bluffant car il parvient à casser son image (tellement réductrice et injuste pour cet acteur merveilleux) de comique ringard sans, pour autant, renier son jeu habituel. On retrouve, ainsi, son accent méridional et ses éclats de voix… au point de rendre le personnage limité, voire grotesque. Ce n’est, pour autant, pas une critique dans la mesure où le tueur dont s’inspire le film (Joseph Vacher rebaptisé ici Joseph Bouvier) était visiblement très proche de ce portrait. L’interprétation outrancière de Galabru tranche, du reste, avec celle de toutes ses partenaires… à commencer par celle de Noiret, souvent oublié lorsqu’on parle du film au profit de son "adversaire" alors qu’il campe un juge passionnant dans son arrivisme et sa moralité douteuse (là encore, le portrait semble proche du Juge Fourquet qui a fait condamner Vacher). Plus qu’un reversement des repères habituels (Tavernier ne va pas jusqu’à faire de son assassin un "gentil"), le portrait de ce juge s’inscrit dans la logique du propos du film, à savoir une dénonciation des injustices sociales de l’époque, à travers le cas de cet assassin, incontestablement fou mais qui, en raison de l’obstination d’un juge ne voulant pas passer à côté de l’affaire de sa vie, finira par être considéré comme responsable de ces actes et guillotiné. Tavernier élargit sa critique en replaçant les faits dans le contexte de l’époque, gangrenée par l’antisémitisme galopant, le colonialisme, la mainmise de l’Eglise ou encore l’affaire Dreyfuss. Malheureusement, Tavernier pousse sa logique un peu trop loin à mon sens puisque, visiblement craintif que l’affaire Vacher et la description des mœurs de l’époque soient insuffisants, il force le trait, avec un manque de subtilité surprenant en faisant du juge (qui avait déjà bien des défauts) spoiler: un violeur
    et en se livrant à une comparaison assez maladroite entre les enfants assassinés de façon assez abominable par Bouvier et… spoiler: les enfants mourant dans les mines
    ! Ce parallèle n’apporte pas grand-chose au récit et fait franchement cheveu sur la soupe spoiler: (comme la séquence finale façon "Germinal" !)
    . Autre problème : le rythme qui, à plusieurs reprises, fait défaut en raison, notamment, des longs monologues de Bouvier en voix-off, accompagnés d’une musique à la limite du supportable, d’un montage qui aurait gagné à être plus serré, d’un certain nombre de sous-intrigues qui ralentissent le récit (à commencer par la relation entre le juge et Rose) ou encore de chansons entièrement déclamées (là où un extrait aurait été amplement suffisant !). Cependant, la mise en scène de Tavernier m’ayant toujours laissé assez dubitatif, je suis peut-être un des rares à avoir été gêné par ces défauts. Heureusement, le film est parsemé de moments surprenants par leur légèreté, voire leur drôlerie inattendue. Les échanges entre Bouvier et le juge sont souvent incroyables à ce titre mais ce sont, surtout, les séquences du Procureur (joué par le fantastique Jean-Claude Brialy) qui remportent la timbale à ce titre, tout comme les réactions décalées de la mère du Juge (Renée Faure). Le juge et l’assassin est donc un film intéressant, qui retrace un des faits divers les plus terribles du 19e siècle (Vacher étant considéré comme un des premiers serial killer français) et qui bénéficie d’une interprétation de haute volée… sans pour autant être le chef d’œuvre escompté.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 décembre 2008
    Un film poignant qui doit beaucoup à la confrontation Noiret Galabru . Une grande intensité se dégage de ce film dramatique à la mise en scène soignée . Superbe .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 novembre 2012
    Formidable film tout d'abord il s'agit d'un polar en costume et ensuite un portrait d'un époque (Dreyfus, anarchisme et justice, ...). La reconstitution est exceptionnelle tant dans le matériel que dans les dialogues, situations et personnages décrit. Superbement mise en scène et le duel entre Philippe Noiret et Michel Galabru est fort (les seconds rôles sont très important également).
    Cocobusiness
    Cocobusiness

    13 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 janvier 2008
    Le Juge et l’assassin, 1976, de Bertrand Tavernier, avec Philippe Noiret, Michel Galabru, Jean-Claude Brialy, Isabelle Huppert. Film dense, qui parle de trop de choses à la fois et en devient confus malgré une interprétation irréprochable, de très belles images et une musique poignante (Philippe Sarde). On est à la fin du 19ième siècle, dans une France déchirée par l’affaire Dreyfus, tiraillée entre conservatisme et modernité (idéologique, sociale, industrielle etc.). Un juge très « fin de siècle », carriériste, ligoté par un cordon ombilical qui le lie encore à sa maman, veut conduire à la guillotine un serial killer et violeur de gamines, manifestement allumé, illuminé, mais malin, qui aurait plus sa place en asile psychiatrique qu’en prison. L’assassin devient alors la victime persécutée et manipulée par un juge au mental de bourreau sans scrupules. L’histoire est belle et forte, mais trop noyée dans un contexte conflictuel, aux niveaux familial, social, historique globalement. La présence du personnage joué par Brialy offre astucieusement un peu de recul, de distance, devant cette épopée brouillonne, même si elle reflète fidèlement les conflits de l’époque.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 décembre 2007
    Le juge et l’assassin fait partie de ces films monde qui nous permettent de sortir du cinéma plus éveillé que l’on y est entré. Tout d’abord, c’est un film-beau, car tout y est formellement parfait : des acteurs superbes, on pourrait user sa plume à en parler, une photographie qui transforme chaque scène en tableau de maître et la musique d’Alain sarde qui mêle astucieusement sophistication et air populaire. A ce propos, on notera les deux chansons très émouvantes écrites et interprétée par Jean Roger Caussimon, chansons qui ne toucheront vraisemblablement que ceux qui en partagent le discours, mais bon, y’a pas de mal à se faire de bien. Ensuite, à travers la relation passionnelle de deux individus chacun d’un coté de la loi, ce film soulève des problèmes politiques avec lesquels nous ferraillons toujours : la question de la responsabilité individuelle, le rôle de la justice dans la société, la réalité de son indépendance politique et sociale ; le tout avec finesse et sans jamais transformer l’action en illustration didactique, du grand art. Film monde, enfin, par le cadre historique qui nous ramène au temps de l’affaire Dreyfus et de l’entrée des pauvres en politique, quand les masses s’appropriaient les grandes questions de l’heure. A une époque où l’histoire semble se dérouler sans nous, il est bon, comme le fait ce film, de rappeler qu’il n’en a pas toujours été ainsi et qu’il y eu des époques ou elle était dans la rue, ou les individus, du chansonnier au magistrat en passant par la soubrette y tenait sa place. On pourra opposer à cela la naïveté quasi « soviétique » de certaine scène édifiante, mais, à notre époque ou il est de bon ton d’enterrer toutes volonté d’émancipation sous des montagne d’oublie quand ce n’est pas des monceaux d’insultes, un film qui tord parfois maladroitement le bâton dans l’autre sens relève quasiment de l’hygiène intellectuelle. En cela, « le juge et l’assassin » est une sorte de pied de nez à tous ceux qui nous voudraient sans mémo
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 décembre 2007
    Bertrand Tavernier, en plus d’être une source intarissable de passion pour le cinéma, reste l’un des rares cinéastes littéralement typiquement français en cela qu’il traite le plus souvent des sujets historico-sociaux hexagonaux avec une sensibilité passant la plupart du temps par le prisme affectionné familial (souvent le rapport père-enfants). Ici il dépeint la France conservatrice de la fin du XIXème siècle, ses aversions antisémites et ses certitudes bourgeoises. Les pauvres vagabonds sont des cibles faciles pour qui veut dispenser la justice comme bon lui sied, sauf qu’ici cet affrontement à priori déséquilibré préfigure l’opposition socialiste qui émerge au même moment. C’est la fin d’une époque et Tavernier n’hésite pas pour la décrire à mettre en scène des personnages tout sauf aimables. Cette rigueur toute scolaire fait la part belle aux acteurs, avec Galabru dans le rôle de sa vie.
    loulou451
    loulou451

    123 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 décembre 2007
    Certainement l'un des meilleurs films de Bertrand Tavernier. Moins démonstratif que de coutume, Tavernier s'attache cette fois-ci en priorité à l'histoire... Et le film n'en a que plus de force. Porté par un Michel Galabru époustouflant de talent et un Philippe Noiret, alors au sommet de son art, ce "Juge et l'assassin" dépeint la prériode de l'avant guerre 14-18 comme peu de films ont su le faire. Quant à l'histoire de ce tueur en série interprété par Galabru, elle fait froid dans le dos. Un bon moment de cinéma.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top