Mon compte
    Hardcore
    Note moyenne
    3,5
    191 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Hardcore ?

    27 critiques spectateurs

    5
    0 critique
    4
    8 critiques
    3
    12 critiques
    2
    3 critiques
    1
    3 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    fred c
    fred c

    2 abonnés 341 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 avril 2024
    QT et le réalisateur lui-même aiment beaucoup la 1ere moitié et pestent sur la seconde... le studio y aurait trop mis son nez pour imposer des choix (cinéma spéculations). Mais "Hardcore" reste un film assez second et pas fou fou, quand bien même les gens du métier en apprécie la technique.
    Totoloinloin
    Totoloinloin

    8 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 février 2024
    Film qui se suit agréablement même si certains choix de scénario posent question. C.Scott est très bon, cependant l'ensemble prend une tournure décevante à mon goût.
    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 649 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 juillet 2023
    La ressortie en salle d'un des premiers opus de Paul Schrader " hardcore" (1978) permet de revisiter ce film devenu mythique ou l'ex scénariste de Scorcese, De Palma et de Pollack devenu cinéaste poursuit une longue réflexion sur la sexualité ( thème qu'il abordera de façon fréquente dans la suite de sa filmographie).

    La prestation de G C Scott dans ce film est passée à la postérité et il est vrai que cet excellent acteur ( dont le physique n'est pas sans rappeler celui de son prédécesseur dans la profession Lee J Coob).

    Cette histoire d'un père calviniste entrepreneur dans l'iowa qui part à la recherche de son adolescente de fille, tombée dans l'univers du porno, n'a rien perdu de sa force de conviction.

    Les amateurs du cinéma de Schrader, qui est aussi un cinéphile passionné par le cinéma européen et celui de Bresson notamment, ne manqueront pas cette réédition de bon aloi.
    DanDan
    DanDan

    83 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    Hardcore est un film du réalisateur Paul Schrader ( qui a écrit Taxi Driver). Le film a une première partie superbe et une deuxième partie pas très bonne qui tient moins le coup. George C Scott joue un puritain du middle west américain de la ville Grand Rapid Michigan une ville très protestante et coincée. Il est à la recherche de sa fille qui a disparu et il découvre via une détective privé joué à la perfection par Peter Boyle que cette dernière fait maintenant des films porno ou hardcore d'où le titre en Californie. George C Scott pour la retrouver se retrouve malgré lui plonger dans le monde du porno et sex shops des années fin 70 en Californie.
    Le film est très réaliste et ne tombe jamais dans la vulgarité. George C Scott est excellent en père dégoûté puis dépassé puiis finalement cool. Surtout avec chemises rétro hawaïenne LA style des années 70..le film a un bon rythme et on s'ennuie pas.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 699 abonnés 12 420 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2022
    Avant tout une performance d'acteur phènomènale! Pas èvident de lui enlever l'ètiquette du gènèral Patton et pourtant George C. Scott trouve en Jake Van Dorn un de ses plus grands rôles, allant vraiment au bout de lui-même! Impliquè à 200 %, il incarne ici un homme d'affaires du Midwest, d'une moralitè irrèprochable, qui s'infiltre dans les milieux de la pornographie pour retrouver sa fille disparue sans laisser de traces! Le film de Paul Schrader montre vraiment le côtè sordide de toute l'industrie du porno underground de seconde zone et, fort heureusement, il n'en valorise rien! La descente aux enfers de ce père de famille respectable, à l'esprit religieux (ce qui donne à rèflèchir), est terrifiante et en même temps tient en haleine jusqu'à cette fin abrupte! Avec le scènariste de "Taxi Driver", il ne pouvait en être autrement! Une belle performance encore, celle de Season Hubley (la première èpouse de Kurt Russel) en travailleuse du sexe! Musique de l'immense Jack Nitzsche et photo de Chapman qui retranscrit à la perfection l’ambiance dans laquelle baigne "Hardcore". De quoi rentrer un peu plus dans cette histoire sordide avec ce père qui traverse les cercles de l'enfer pour retrouver sa fille...
    Xavier D
    Xavier D

    59 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2022
    Un film qui fait froid dans le dos, où l'interprète du général Patton, George C. Scott, et Peter Boyle pénètrent dans le monde sordide de la pornographique profonde pour retrouver une fille modèle enlevé pour des vidéo pour adultes. La petite fille d'un homme d'affaires bourgeois. Avec des scènes érotiques, mais muni d'un humour plutôt bien placé, pour ce drame, donne de la légèreté au ton. Car pour le reste tout est très sombre. Un film policier trop peu connu, dommage !
    Hotinhere
    Hotinhere

    548 abonnés 4 956 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 février 2022
    Second film de Paul Shrader, un drame intime percutant à défaut d’être captivant, à l’ambiance glauque et malsaine, qui nous plonge dans l’envers du décor du monde de la pornographie underground des années 70. 2,75
    pierrre s.
    pierrre s.

    426 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2022
    Avec un style et une ambiance qui nous évoque Taxi Driver, dont il est scénariste, Paul Schrader nous plonge dans l'univers trouble du porno et de la prostitution. On y suit le cheminement d'un père qui tente par tous les moyens de retrouver sa fugueuse de fille.
    Roub E.
    Roub E.

    948 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2022
    Un père de famille bigot plonge dans l’univers du porno pour retrouver sa fille qui a disparu. Hardcore est un film poisseux, ambigu car à la fois moralisateur dans sa vision du sexe en général mais aussi critique envers la religion. Dans le premier rôle George C Scott fait merveille avec cet homme qui voit sa vie bien tranquille se fendre et ses certitudes mises à mal. L’écriture des différents personnages est remarquable et donne à l’ensemble une crédibilité qui met mal à l’aise. Une plongée dans un business qui veut cacher ses mauvais côtés par la lumière des néons.
    Redzing
    Redzing

    1 112 abonnés 4 468 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 novembre 2019
    Jake Van Dorn est un entrepreneur prospère et bigot, dont la vie coule tranquillement, jusqu'au jour où sa fille disparait. Devant l'inefficacité de la police, il se met en tête de la retrouver, et va atterrir dans le milieu californien de la prostitution et des films pornographiques... Le descente aux enfers du protagoniste et la représentation glauque de l'univers des travailleurs du sexe font penser à "Taxi Driver", et pour cause, Paul Schrader était le scénariste du film de Scorcese ! "Hardcore" se centre quant à lui sur ce père protestant et solitaire, qui découvre un univers qui le dégoute, mais avec lequel il va devoir composer pour effectuer sa quête. Un personnage campé par un excellent George C. Scott, très loin de la caricature du religieux effarouché que l'on aurait pu craindre. L'occasion de critiquer à la fois les extrémismes religieux et l'univers de la prostitution, avec quelques réflexions étonnantes sur le sexe. On y relève également quelques touches d'humour noir amusantes, et une peinture assez crue pour l'époque du monde du travail du sexe. Un drame intéressant.
    Davynch Lid
    Davynch Lid

    1 abonné 84 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 août 2017
    Voilà des années que je cherchais à mettre la main sur Hardcore, quand soudain, au détour d'une rangée de DVD chez Gibert Joseph la semaine dernière, je tombe nez à nez avec le film culte de Paul Schrader. 3 euros et 2 heures plus tard, l'excitation qui m'envahissait est retombée comme un soufflé au fromage raté. Jouissant d'une réputation sulfureuse et du savoir faire de Paul Schrader, Hardcore n'est autre qu'une production inoffensive, tout juste digne de la mention accord parental souhaitable. On se demande ce que l'immense George C. Scott est venu faire dans cette galère et on s'aperçoit que l'acteur se pose également cette question tout le long du film. Van Dorn est un bon produit de l'amérique qui se lève tôt. Ce personnage soit disant charismatique est chef d'entreprise, calviniste pratiquant et entretient toute sa petite famille dans un confort bourgeois du middle west. Mais patatra, ce petit édifice patriotique s'écroule brusquement lorsque sa fille vient à disparaître. Van Dorn engage alors un détective privé qui lui annonce à la vingtième minute que sa fille tourne dans des films pornographiques! Oh my god! George C. Scott se met alors en pétard et décide de retrouver sa fille par ses propres moyens, le détective en question s'étant avéré être une véritable tête de con. Le héros engage un detective pour retrouver sa fille et le spectateur doit faire de même afin d'apercevoir le côté sulfureux du film. On ne le verra jamais. Paul Schrader devait être persuadé de filmer des trucs gratinés alors que son film ressemble dangereusement à un épisode de loulou la brocante. Imaginez Victor Lanoux apprenant que sa petite fille pose pour un calendrier érotique Hello Kitty et que le brocanteur décide de mener l'enquête et vous aurez une idée de l'indigence scénaristique et visuel dont faire preuve Hardcore. Le pire, c'est que le réalisateur fait de George C. Scott une vierge effarouchée face à l'univers du sexe. Il découvre médusé l'existence de salles de ciné dédiées aux films de fesses et semble littéralement interloqué lorsqu'on lui parle de la prostitution. C'est Nadine de Rothschild au pays du cul, une situation involontairement comique qui nous éloigne de l'univers urbain et poisseux voulu par le cinéaste. Hardcore essaie de nous choquer par tous les moyens, mais le réalisateur lui même est mal à l'aise avec son sujet. Il suffit de voir les oeillères avec lesquelles il filme le milieu du X pour comprendre que le personnage de Van Dorn est sans doute le double cinématographique du cinéaste. Mesquina, ça fait de la peine... Polo doit être un mec torturé entre sa foi et son attirance pour le sexe. En grand catholique, il a écrit des films comme La dernière tentation du christ et A tombeaux ouverts et il est également responsable des scripts de Obessions, Etrange Séduction et Hardcore, des films bien voyeuristes et pervers. Une perversion de pépé libidineux bien entendu. Depuis quelques années, Schrader continue son métier de réalisateur en se cassant régulièrement les dents sur des préquels de l'Exorciste.
    Paul Schrader est tout de même capable du meilleur avec l'adaptation du roman de Russell Banks, Affliction :
    Benjamin A
    Benjamin A

    710 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2017
    C'est lorsqu'un père de famille catholique, industriel et traditionnel va voir sa fille unique disparaitre sans laisser de trace qu'il va découvrir les bas-fonds et l'enfer du monde dans lequel il vit.

    Après avoir scénarisé Taxi Driver, Paul Schrader replonge dans l'enfer nocturne du monde moderne où drogues, laissés pour compte de la société, porno et putes sont présents, et c'est par le biais d'un père de famille catholique qu'il nous y envoie. L'écriture est remarquable, notamment pour les personnages, tous intéressants et aucun ne laissant indifférents, où l'on va voir ce dernier plongé dans cet enfer et en découvrir une galerie où se mêleront détective louche, prostitué, actrice porno et divers magnats de cet empire. Un choc pour lui alors qui a toujours vécu dans une ville où les descendants de colons sont en nombre et où sa vie de famille, et professionnelle, est parfaitement réglée.

    Si la qualité d'écriture est remarquable, elle est surtout sublimée par une mise en scène qui l'est tout autant, où Schrader met en place une atmosphère de plus en plus sombre, malsaine, effrayante et crue. Il nous plonge littéralement dans cet enfer et montre l'humain dans ce qu'il y a de plus abject, cupide et sordide. Hardcore brille aussi par la façon d'y venir, où Schrader pose d'abord le contexte de la vie de famille religieuse et bien ordonnée, avant de tomber peu à peu dans les abysses de cet Hollywood déshumanisé et ravagé par le porno. La construction du récit est remarquable et il met en place une tension qui sera de plus en plus forte jusqu'au final.

    George C. Scott trouve ici un rôle à la mesure de son talent dans le rôle de ce père catho qui va découvrir l'horreur du monde moderne tandis que Season Hubley fait forcément penser à Jodie Foster dans Taxi Driver. Quant à l'histoire en elle-même, elle est surtout efficace, bien ficelée et propice à l'atmosphère mise en place. La force de Hardcore se trouve aussi dans son esthétisme où Schrader fait ressortir le côté crade de son oeuvre, tandis qu'il joue parfaitement bien avec les lumières, notamment lorsqu'il nous emmène dans les lieux voués aux sexes où des néons nous éblouissent.

    Paul Schrader ne fait pas dans la demi-mesure lorsqu'il doit décrire l'enfer du monde moderne et c'est en y incluant une ambiance totalement crasse, malsaine et effrayante qu'il le fait, et ce, avec grand brio.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 177 abonnés 4 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2015
    Dans la foulée de son chef d'œuvre "Blue Collar" (1978), Paul Schrader le rigoriste décadent s'attèle à "Hardcore" qui peut être vu comme une sorte de "film gomme" ou de" film avant le film". Paul Schrader qui a écrit le scénario de "Taxi Driver" (1976) de Martin Scorsese pourrait avoir choisi de réécrire l'histoire sordide d'Iris Steensma (Jodie Foster) dont le père fervent protestant calviniste d'une bourgade du Michigan (Grand Rapids) serait parti à sa recherche pour l'arracher à l'enfer de la prostitution avant qu'elle ne rencontre Travis Bickle (Robert de Niro) son chevalier blanc. Ainsi "Hardcore" effacerait le bain de sang qui concluait "Taxi Driver". Si l'on songe que Paul Schrader est né à Grand Rapids et que lui aussi est d'obédience calviniste, on peut imaginer que c'est lui-même fautif d'avoir livré de sa plume la jeune Jodie Foster à la débauche qui se transposant à l'écran en la personne de George G. Scott, va rechercher son héroïne dans un geste expiatoire. S'il cherche peut-être dans "Hardcore" une forme de rédemption à son goût immodéré pour la mise en scène de la débauche et de la violence stylisée, Schrader n'en n'oublie pas pour autant pas de dresser un portrait saisissant et réaliste du monde de l'industrie de la pornographie alors en pleine extension sur la côte Ouest des Etats-Unis. Eternelle dualité de l'écriture chez Schrader. A la recherche d'une image sale et suffocante, il s'est adjoint les services de Michael Chapman, le chef opérateur de "Taxi Driver". L'immense George G Scott, trop heureux d'enfin retrouver un rôle à sa mesure depuis la période de vaches maigres qui avait bizarrement suivi son imposante prestation dans "Patton" (Franklin J. Schaffner en 1970), joue ce père un peu raide qui va devoir faire l'apprentissage accéléré de la violence urbaine pour accomplir son devoir et récupérer sa progéniture. spoiler: Quelle ne sera pas sa surprise de découvrir que cette descente aux enfers est le fruit d'une éducation religieuse qui voulant nier la liberté de conscience et la réalité des sens, conduit certaines de ses ouailles vers une dérive libératrice souvent suicidaire
    . C'est alors la place de la jeune Kristen Van Dorn (Ilah Davis) que prend Paul Schrader qui avait connu les pires tourments sensoriels durant l'écriture du scénario de "Taxi Driver" (il visionnait en boucle en cachette de sa femme des films pornographiques et avait développé une fascination morbide pour les armes à feu). "Hardcore" porté par les larges épaules de Georges G Scott et fort bien rythmé par la musique de Jack Nitzsche (déjà présent sur "Blue Collar") est le film qui reflète le mieux la personnalité ambigüe et souvent controversée de Paul Schrader. Moins abouti que "Blue Collar", il n'en demeure pas moins un film coup de poing et sans fioritures (le tape à l'œil étant parfois le péché mignon de Schrader) qui vous prend aux tripes.
    S M.
    S M.

    34 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2014
    Scénariste de renom (Taxi Driver, Obsession, Raging Bull...), Paul Schrader se lance dans la réalisation en 1978 avec le très bon "Blue Collar" puis enchaîne l'année suivante avec ce "Hardcore". Un excellent film dramatique qui nous conte l'histoire d'un homme d'affaires, joué ici par le regretté George C. Scott, qui part à la recherche de sa fille disparue et va apprendre qu'elle fréquente le monde de la pornographie. Il va tenter de pénétrer dans l'industrie du sexe et de l'en sortir au péril de sa vie. Ce qui fait la force du film est certainement cette ambiance lourde et poisseuse des seventies. C'est malsain, glauque. Les acteurs sont très bons avec mention spéciale pour George C. Scott qui porte le film à lui tout seul. La bande-son colle parfaitement à l'atmosphère. "Hardcore" est un thriller d'excellente facture, malheureusement méconnu mais qui a influencé beaucoup.
    Truman.
    Truman.

    227 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juillet 2014
    Second film de Paul Schrader et pourtant ce "Hardcore" (titre qui colle bien à l'ambiance du film) n'est pas un métrage très connu .
    L'histoire nous plonge dans une petite famille de catho lorsque la fille est portée disparue, ni une ni deux le père engage un détective privé pour la retrouver, ce qu'il arrive à faire et il se trouve que la jeune fille est dans le milieu du porno à Hollywood .

    Commence alors une descente aux enfers pour ce père de famille très croyant qui aura face à lui la désillusion d'un Hollywood ravagé par le marché du sexe mais aussi la désillusion de l'homme sans limite, sale, vulgaire, grossier ainsi qu'avide de sexe et de cupidité .
    Il aura face à lui un monde loin du sien auquel il voudra à tout prix extirper sa jeune fille face à la violence et le voyeurisme extrême qui règne .

    Mais retrouver une jeune fille dans un business comme le porno qui est un business fermé ou l'on ne parle pas n'est pas facile, il aura donc recourt à des méthodes spéciales et ne se laissera pas faire .
    Dans une ambiance sale et poisseuse, parfois oppressante et sombre on pensera rapidement au film de Joel Schumacher alias 8 MM car le contexte s'y ressemble beaucoup .

    Sous des néons de toutes couleurs qui illuminent des rues peu fréquentables on s'installe alors dans un polar noir au style vif, sec et incisif dans le plus pur style du nouvel Hollywood, des airs de Scorsese me direz vous ? On en est pas loin mais dommage que le coté sombre ne soit pas plus appuyé par moment laissant place à une sympathique bande son façon seventies .

    Une chose que l'on retiendra vite est que ce Hardcore est bien en avance sur son époque pour parler d'un sujet assez délicat, pas une ride à l'horizon pour un sujet aussi bien traité et qu'une intrigue prenante .
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top