Un mauvais fils comme Bruno Calgagni, tenu par Patrick Dewaere, c’est le cinéma star interpellé par ce synopsis peine, le purgeant puis libéré sur parole à l’américaine, pour mieux se réintégrer à sa société française très accueillante, menuiserie, librairie etc...
Avec des côtes cassées, une fracture au fémur pour le réalisateur de la guerre des boutons et acteur, une jeunesse face à la vieillesse trépasse, la relation père/fils dans cette intrigue droguante addiction est sympathique, ça finit par devenir saoulante.
Il est accro à son jeu romantique sensible, agréable, aimable, tendre, drôle, jovial, spontané, volontaire, actif, sportif, charmant, sincère, authentique, naturel, mystérieux, pensif, mélancolique, les retrouvailles chaleureuses s’estompent quand mère nous quitte.
Terrassée pendant l'incarcération en Amérique, laissant cette dramaturgie française, du veuf et de l’orphelin adulte porte le poids familial sur ses épaules énergiques résistants rigoureux consciencieux, pas hors du commun des immortels tragédies, ni mal et sans plus plus.