Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cine Libre
par Jean-Max Méjean
Un film quelquefois un peu maladroit mais qui a certainement le mérite de montrer la réalité albanaise d'une façon néoréaliste intéressante avec disputes dans les escaliers, immeubles déglingués, ambiance Napoli, télés qui volent par les fenêtres(...).
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michel Levieux
Après un temps de silence, le septième art se réorganise dans ce pays dont les habitants aiment à aller voir des films. Fatmir Koçi, (...) raconte comment à travers son histoire mouvementée, il n'a cessé de penser cinéma. En s'ouvrant à l'étranger.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par La rédaction
" Tirana année zéro ", habité par le charisme de ses deux acteurs principaux, l'illustre par sa fraîcheur, son scénario papillon, ses bonnes idées. C'est un film auquel on a envie de faire un bisou.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Ce film est une chronique réaliste de l'Albanie de 1997, six années après la chute du régime communiste d'Enver Hodja et la douloureuse expérience de la " démocratie " conduite par un gouvernement corrompu. (...) Par le biais de son expérience de documentariste, Fatmir Koçi n'a fait que transposer vers la fiction les éléments pris au réel (...).
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Drôle, réaliste et fantaisiste à la fois, un road-movie qui se regarde comme une leçon d'histoire contemporaine. Et le formidable portrait d'un pays en pleine déshérence.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
par Philippe Piazzo
Le trait se fait parfois un peu trop pittoresque, trop caricatural. Mais il serait dommage de ne voir que le clinquant de cette galerie de personnages (...). Car la cocasserie se mêle ici sans états d'âme aux accents les plus tragiques, histoire de mieux croquer un monde effarant.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
C'est drôle, tendre et chaleureux, et ça permet de connaître un pays oublié. Alors on oublie les quelques maladresses et on aime.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Souvent le film trouve un rythme détendu qui permet aux acteurs de s'épanouir, on peut alors s'abandonner à ces images d'un pays resté si longtemps sans visage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On n'a donc à se mettre sous la dent qu'une série de scènes mises bout à bout (...). Des numéros déconnants pour nous dire: dans les pays de l'Est c'est le bordel, mais on garde le sens de l'humour.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Carrière
On n'est pas loin d'un "mood" tendance Kusturica. Rien de flagorneur dans la référence: Fatmir Koçi n'a pas la prétention...
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Cette tragi-comédie un peu convenue avec son défilé de personnages représentatifs (d'un problème, d'une pratique, d'un espoir, etc.) vaut surtout comme un état des lieux avant refondation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
C'est en eux-mêmes qu'ils trouveront la ressource, affirme Fatmir Koçi, qui se joue, avec un certain talent, d'une galerie de portraits des plus croquignolets, mais dont l'irrationalité nous dépasse quelque peu.
Cine Libre
Un film quelquefois un peu maladroit mais qui a certainement le mérite de montrer la réalité albanaise d'une façon néoréaliste intéressante avec disputes dans les escaliers, immeubles déglingués, ambiance Napoli, télés qui volent par les fenêtres(...).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Après un temps de silence, le septième art se réorganise dans ce pays dont les habitants aiment à aller voir des films. Fatmir Koçi, (...) raconte comment à travers son histoire mouvementée, il n'a cessé de penser cinéma. En s'ouvrant à l'étranger.
Le Parisien
" Tirana année zéro ", habité par le charisme de ses deux acteurs principaux, l'illustre par sa fraîcheur, son scénario papillon, ses bonnes idées. C'est un film auquel on a envie de faire un bisou.
MCinéma.com
Ce film est une chronique réaliste de l'Albanie de 1997, six années après la chute du régime communiste d'Enver Hodja et la douloureuse expérience de la " démocratie " conduite par un gouvernement corrompu. (...) Par le biais de son expérience de documentariste, Fatmir Koçi n'a fait que transposer vers la fiction les éléments pris au réel (...).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Drôle, réaliste et fantaisiste à la fois, un road-movie qui se regarde comme une leçon d'histoire contemporaine. Et le formidable portrait d'un pays en pleine déshérence.
Aden
Le trait se fait parfois un peu trop pittoresque, trop caricatural. Mais il serait dommage de ne voir que le clinquant de cette galerie de personnages (...). Car la cocasserie se mêle ici sans états d'âme aux accents les plus tragiques, histoire de mieux croquer un monde effarant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
C'est drôle, tendre et chaleureux, et ça permet de connaître un pays oublié. Alors on oublie les quelques maladresses et on aime.
Le Monde
Souvent le film trouve un rythme détendu qui permet aux acteurs de s'épanouir, on peut alors s'abandonner à ces images d'un pays resté si longtemps sans visage.
Les Inrockuptibles
On n'a donc à se mettre sous la dent qu'une série de scènes mises bout à bout (...). Des numéros déconnants pour nous dire: dans les pays de l'Est c'est le bordel, mais on garde le sens de l'humour.
Première
On n'est pas loin d'un "mood" tendance Kusturica. Rien de flagorneur dans la référence: Fatmir Koçi n'a pas la prétention...
Télérama
Cette tragi-comédie un peu convenue avec son défilé de personnages représentatifs (d'un problème, d'une pratique, d'un espoir, etc.) vaut surtout comme un état des lieux avant refondation.
Zurban
C'est en eux-mêmes qu'ils trouveront la ressource, affirme Fatmir Koçi, qui se joue, avec un certain talent, d'une galerie de portraits des plus croquignolets, mais dont l'irrationalité nous dépasse quelque peu.