Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Alors que l'on s'attend à une confession sur l'horreur de la torture, on assiste à l'impossibilité pour ceux qui l'ont faite de le raconter. Le tout avec un goût très fort d'absurde et de farce noire.
En toile de fond de cette profonde, difficile mais nécessaire réflexion sur la torture, l'impunité, la culpabilité et le repentir, on retrouve bien sûr, une nouvelle fois, la Roumanie chère à Pintilie. Mais la portée de L'APRES-MIDI D'UN TORTIONNAIRE va au-delà des frontières roumaines, elle est universelle.
De ces décombres surnage un film, charnellement présent tant chaque image est le reflet d'un état mental (jamais Pintile n'a été aussi proche d'Angelopoulos sur ce point) et intellectuellement désespérant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
(...) un long et étouffant huis clos dans la sordide baraque où vit l'ex-Securiste (membre de la police politique) avec une femme terrorisée et un fils voyou.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Tout le monde en prend pour son petit grade et le ricanement du cinéaste, pour peu qu'on soit sensible à son humour lugubre, hante longtemps après la projection.
La critique complète est disponible sur le site Première
C'est tiré au cordeau, avec un propos auquel il est difficile de rester insensible. Et la leçon d'histoire conduit à une réflexion philosophique sur la nature du mal, l'oubli et la transmission. On peut aussi préférer le Pintilié fougueux et rageur, celui du Chêne et de Terminus Paradis.
C'est (...) un film qui vient à point, au moment où naît la première Cour pénale internationale, pour aborder, dit Amnesty International, " de manière originale un thème qui est au coeur de la dignité humaine : l'impunité ". Ce qui ne l'empêche pas d'être extrêmement dérangeant !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ce nouveau film de Lucian Pintilié vaut surtout par son rappel d'un passé qui ne veut pas passer et par la dénonciation d'une insidieuse censure exercée aujourd'hui par les jeunes Roumains nationalistes.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le remords ou l'absence de remords, le poids du passé, l'exigence de mémoire, la banalité de la monstruosité, l'impossibilité de solder les comptes sont au coeur de cette vieillotte et lourde pièce à thèse où tout se doit d'être surligné et sursignifié, dans un constant va-et-vient entre présent et passé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaroscope
Alors que l'on s'attend à une confession sur l'horreur de la torture, on assiste à l'impossibilité pour ceux qui l'ont faite de le raconter. Le tout avec un goût très fort d'absurde et de farce noire.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
En toile de fond de cette profonde, difficile mais nécessaire réflexion sur la torture, l'impunité, la culpabilité et le repentir, on retrouve bien sûr, une nouvelle fois, la Roumanie chère à Pintilie. Mais la portée de L'APRES-MIDI D'UN TORTIONNAIRE va au-delà des frontières roumaines, elle est universelle.
Cahiers du Cinéma
En apposant son jubilatoire sens du grotesque à un sujet grave (la torture d'Etat), le cinéaste entend recueillir moins d'éclats que de grincements.
Chronic'art.com
L'Après-midi d'un tortionnaire brille par son dispositif et sa construction : Pintilie n'a pas cherché à mettre l'horreur en image.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
De ces décombres surnage un film, charnellement présent tant chaque image est le reflet d'un état mental (jamais Pintile n'a été aussi proche d'Angelopoulos sur ce point) et intellectuellement désespérant.
Les Inrockuptibles
Cette intrusion du grotesque dans le tragique, forme bouffonne du stoïcisme, fait tout le génie de Pintilié.
Libération
(...) un long et étouffant huis clos dans la sordide baraque où vit l'ex-Securiste (membre de la police politique) avec une femme terrorisée et un fils voyou.
Positif
L'Après-midi d'un tortionnaire fonctionne de manière allusive : aucune des horreurs racontées n'est évoquée par des images. Les mots suffisent (...).
Première
Tout le monde en prend pour son petit grade et le ricanement du cinéaste, pour peu qu'on soit sensible à son humour lugubre, hante longtemps après la projection.
Aden
C'est tiré au cordeau, avec un propos auquel il est difficile de rester insensible. Et la leçon d'histoire conduit à une réflexion philosophique sur la nature du mal, l'oubli et la transmission. On peut aussi préférer le Pintilié fougueux et rageur, celui du Chêne et de Terminus Paradis.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
C'est (...) un film qui vient à point, au moment où naît la première Cour pénale internationale, pour aborder, dit Amnesty International, " de manière originale un thème qui est au coeur de la dignité humaine : l'impunité ". Ce qui ne l'empêche pas d'être extrêmement dérangeant !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Ce nouveau film de Lucian Pintilié vaut surtout par son rappel d'un passé qui ne veut pas passer et par la dénonciation d'une insidieuse censure exercée aujourd'hui par les jeunes Roumains nationalistes.
Le Monde
Le remords ou l'absence de remords, le poids du passé, l'exigence de mémoire, la banalité de la monstruosité, l'impossibilité de solder les comptes sont au coeur de cette vieillotte et lourde pièce à thèse où tout se doit d'être surligné et sursignifié, dans un constant va-et-vient entre présent et passé.
Télérama
Le sujet est grave . (...) le fort sujet ne (fait) pas forcément un film.