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    Le Désordre et la nuit
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    3,3
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    38 critiques spectateurs

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    calamarboiteux
    calamarboiteux

    28 abonnés 440 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2010
    Un patron de boîte de nuit (Simoni, alias Roger Hanin) est assassiné, l’inspecteur Vallois (Jean Gabin), chargé d’une partie de l’enquête, devient l’amant de l’ex maîtresse de Simoni.
    Conformément au titre, le film est délibérément crépusculaire : tonalité Jazz des boîtes de nuit, phares qui balayent les rues désertes, conversations commencées autour d’un whisky et se prolongeant dans les voitures, tout cela crée une ambiance cohérente, sereine, chaleureuse, mystérieuse, en un mot très réussie. Les deux acteurs principaux habitent leurs rôles. Gabin, en policier désabusé, n’en fait pas trop pour une fois ; Nadja Tiller campe une jeune Lucky droguée aux multiples facettes, attachante en diable. Au second rang, de l’excellence également : Hanin crédible, François Chaumette parfait tenancier de cabaret, et Danielle Darrieux, pharmacienne insolente et énigmatique à souhait. Le tout est servi par des dialogues d’Audiard faisant souvent mouche.
    On regrettera une intrigue un peu trop simple, ce qui conduit à des redites, quelques répliques malvenues, la voix de fausset de certains personnages secondaires et une fin mélo, mais ce ne sont que détails qui vont se dissolvant dans l’aube. Restera dans la mémoire le Paris nocturne, celui des années cinquante, sillonné de Traction et de grosses cylindrées américaines.
    halou
    halou

    118 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2009
    L'équipe gagnante de retour. Gabin inspecteur de police secondé de rôles intéressants dans un film de Grangier avec un scénario d'Audiard. Le tout donne un policier bien mené à l'atmosphère bien prenante.
    defleppard
    defleppard

    377 abonnés 3 369 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2009
    Gilles Grangier un Réalisateur qui a marqué le Cinéma Français dans les années 60 . Celui çi n'est pas le meilleur mais laissait déjà entrevoir tout le talent du bonhomme.
    Karussell
    Karussell

    10 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 janvier 2009
    Autant l’affiche et l’idée sont alléchantes, autant le résultat est décevant. Une sombre histoire criminelle, la drogue et les excès du Paris interlope, les pressions multiples, voilà pour le désordre. La nuit, on la trouve rapidement tant le rythme est lent et soporifique, les personnages sans relief. Même Gabin semble par moments peu impliqué. Ajoutez un final qui accouche d’une souris, et on comprend pourquoi ce film n’a pas marqué les esprits.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 février 2008
    un gabin au coeur tendre,ma periode preferéé ,celle
    des annees 50,le scenario est simple,et la musique
    est geniale,ainsi que le jazz vocal des actrices qui nous font passer un bon moment,sans se prendre la tete
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 706 abonnés 12 423 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 août 2015
    Adaptè d'un roman à succès de Jacques Robert, ce film de la « Corona » met en scène une enquête au coeur du milieu interlope des nuits parisiennes, de la chnouf et des pèpèes dans une belle atmosphère des annèes 50! Dialoguè par monsieur Michel Audiard, ce polar de Gilles Grangier èvoque avec brio le monde louche des noctambules! Enquêtant sur un meurtre, Jean Gabin y incarne un flic tiraillè entre devoir et passion, face à une jeune toxicomane remarquablement interprètèe par l'actrice autrichienne Nadja Tiller, tandis que Danielle Darrieux campe une pharmacienne inquiètante! Classique sans esbroufe du milieu d'alors, à un moment où ce monde s'apprête à changer d'air, "le dèsordre et la nuit" est un bon drame-policier à la française avec un Gabin qui prend des libertès avec la bonne morale bourgeoise, comme il le fera juste après avec son personnage d'avocat dans "En cas de malheur" de Claude Autant-Lara! A noter que c'est l'un des films prèfèrès d'Alain Corneau...
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2010
    Un film francais fort moyen. Gilles Grangier ne fait pas beaucoup d'efforts pour donner un certain relief et l'intrigue est assez banal. Reste une bonne petite atmosphère et il est toujours agréable de revoir des bons seconds rôles de l'époque, à l'image de Francois Chaumette. Quant à Jean Gabin, dans un rôle sur mesure, il est particulièrement irritant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Gabin, Audiard, Paris, la nuit, la bourgeoisie, le music-hall…Ce film de Gilles Grangier (La cuisine au beurre) réunit ici quelques ingrédients ô combien caractéristiques de toute une – riche - époque du cinéma français, dénotant complètement avec la Nouvelle Vague, apparaissant au même moment. Car en effet, nous sommes ici en 1958…
    Jean Gabin, 56 ans, une nouvelle fois flic, entre deux épisodes de …Maigret, enquête sur la mort d’un « maquereau » victime d’un mystérieux crime passionnel. Entouré de deux charmantes comparses féminines, stars de l’époque, l’une à plus long terme, Danielle Darrieux (8 femmes), l’autre plus brièvement, Nadja Tiller (Miss Autriche…49), l’immense acteur parvient toutefois difficilement à faire décoller cette histoire, victime de ses innombrables longueurs et de son montage relativement décevant.
    A contrario, les dialogues d’Audiard parviennent agréablement à faire oublier ces désillusions, tout comme la présence de certaines « gueules » de l’époque, Gabin, naturellement, mais également celles du désormais oublié Paul Frankeur (Touchez pas au grisbi) ou même celle de Jacques Marin (célèbre épicier dans la 7è compagnie). A noter aussi, l’agréable mais courte présence de Roger Hanin (Navarro), à mille lieues de sa future et longue carrière télévisuelle. Au bout du compte, le désordre est sauf dans son ensemble….
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