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    Les Aventures de Rabbi Jacob
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    455 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 mars 2018
    'Les Aventures de Rabbi Jacob ', j'ai beau le voir et le revoir, je rigole toujours autant que la première fois ! Et rare maintenant les comédies dont je ne me lasse pas et qui me font rire comme au premier jour. Autant dire que ce film est bourré de préjugés mais c'est justement ce qui fait rire. Et puis au final on en ressort un beau message de paix comme quoi toutes les religions peuvent vivre ensemble et en paix ici on nous prend comme exemple la religion Juive et la religion Chrétienne . Mais pour autant ce message est encore d'actualité avec tout ce qui se passe malheureusement dans notre quotidien. Louis de Funès en incarnant un patron avare et remplit d'idées préconçues ,racistes : spoiler: la scène du mariage où la mariée est métisse. "Pivert : Vous avez vu la mariée ?Le policier : Oui.Pivert : Elle est noire ! Elle est même pas café-au-lait, elle est noire. Et lui, il est blanc"

    Cependant, il va être contraint de se déguiser en Rabbin et de faire équipe avec un révolutionnaire Arabe . Face à toute cette farandole de personnages , il va devoir apprendre la tolérance . Mais mis à part ce message, on se plait à regarder des gags et des répliques plus hilarante et cultes les unes que les autres dont la danse folklorique juive composé par Vladimir Cosma mais également les mimiques de Louis de Funès .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 avril 2017
    Gérard Oury signe avec Les Aventures de Rabbi Jacob un film drôle et audacieux sur la religion juive. Ce film populaire, destiné aux parents comme aux enfants, ne fait pas de critique de cette religion, mais nous apprend comment vive les rabbins ou les orthodoxes juifs. Louis de Funès, toujours aussi drôle, et suivit par une troupe de bons acteurs. Un film simple, pour un résultat équilibré. – Sandro Martinez
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 635 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2016
    Roi du box-office de la fin des 60’s et du début des 70’s, le duo Oury/De Funès va une nouvelle fois frapper fort. Une année d’écriture, les mauvaises langues diront que Danielle Thompson ne tenait que le stylo. Passons, car le niveau d’écriture atteint des sommets pour un film populaire… juste derrière « La grande vadrouille » tout de même. Pas de temps mort, un dynamisme a tout cran durant 1h35. Mais surtout la précision des situations, les gags tombant toujours dans le bon timing, les dialogues drolissimes auront raison même des pisses froids 40 ans après. La mise en scène est du véritable travail d’orfèvres qui n’a rien à envier aux grands réalisateurs américains du burlesque muet. Le nombre de scène reposant uniquement sur le rythme et les incroyables one man show du très fantasque De Funès sont légion… Histoire sans parole, demandez le programme. Et qui ne se souvient pas de quelques répliques devenues cultes avec le temps ; mais aussi de certaines idées folles comme l’usine de chewing-gum. De plus ce film est hyper courageux. Sorti en pleine guerre du Kippour et de tensions paroxysmiques entre Israël et Palestine ; en singeant les deux communautés, le film apparait encore aujourd’hui comme un vrai appel à la tolérance. Dans les deux communautés on peut trouver des personnes froissées par ces portraits peu « amen » ; et pourtant, c’est bien les français eux-mêmes qui prennent le plus cher avec ce Victor Pivert incarnant le français orgueilleux, égocentré et surtout carrément racistes. Et pour finir, belle alchimie entre les anciens et les jeunes pousses dans un casting XXL.
    A revoir avec plaisir comme un grand classique d’une culture populaire haut de gamme.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 octobre 2016
    Il y en a qui n'aiment pas Louis de Funes. Personnellement son jeu passe a peu pres. J'aime bien ce film parce qu'il est drole. En ce qui concerne la religion juive je ne me pose pas de question meme si ce film pourrait etre percu comme une insulte. Je le prendrais plutot comme une derision.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 juin 2016
    un grands film de Louis de Funès qui est genial et la danse de rabbi jacob est tout simplement la plus grande chorégraphie de tout les temps.
    Fabios Om
    Fabios Om

    54 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 décembre 2020
    Une comédie qui prend le risque de traiter un sujet délicat surtout pour l'époque le Racisme , mais c'est traiter de façon comique ce qui est très bien fait car c'est drôle mais vraiment drôle, accessible à toute la façon sans jamais manquer de respect à la communauté juifs . Un homme affaire ce retrouve malgré lui mêler à une affaire de l'autre et doit ce déguiser en rabbin pour sauver sa peaux Même a être confondue avec un célèbre rabbin et les e'nuie ne font que commencer pour notre plus grande joie . Un Louis de funes au sommet de art , sont humour visuel, mimique toujours aussi efficace surtout au près des enfants . Des second rôle de qualité des bon dialogue , une bonne réalisation, des phrase culte et d'autre qui sont rentrés dans le langage courant . Un vraie plaisir de redécouvrir ce film .
    Stephenballade
    Stephenballade

    406 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2020
    "Les aventures de Rabbi Jacob" est un incontournable de la filmographie de Louis de Funès, de la même façon que ce film et l’acteur font définitivement partie intégrante du paysage de la comédie française. Si on y regarde de plus près, qu’avons-nous ? Un scénario réduit à sa plus simple expression, pour nous donner une immense farce. Jugez-en plutôt : un patron industriel avare, raciste (sans jamais l’admettre bien sûr), ne supportant même pas les touristes étrangers, et se rendant compte que son chauffeur est juif, finit dans un lac alors qu’il tente de se rendre au plus vite aux noces de sa fille ; en cherchant du secours, il tombe sur un règlement de comptes entre un révolutionnaire arabe et des tueurs à sa poursuite. D’abord repéré par les tueurs soucieux de ne pas laisser de témoin, Victor Pivert se retrouve otage de Slimane le révolutionnaire, pour ensuite se déguiser en rabbin après avoir croisé la route de religieux juifs en provenance des Etats-Unis. Vous l’aurez compris, le film durant 1h30, les tueurs ne seront en fait pas très doués, donc question crédibilité du scénario, on repassera. Mais pour une fois, ce n’est pas un handicap, puisque cette réalisation de Gérard Oury est résolument tournée vers le burlesque. Et dans les années 60/70, qui est le comédien le mieux placé pour faire du burlesque ? De Funès bien sûr ! Eh bien voilà, c’est un fait : un rôle taillé sur mesure pour le comique français, et on doit admettre que De Funès fait du De Funès, tant et si bien que les autres personnages en sont presque réduits à l’état d’accessoires à travers ce road movie très mouvementé tenu à vive allure. Des répliques cultes spoiler: (« vous êtes juif ? Comment Salomon, vous êtes juif ?... Salomon est juif ! oooooooh ! - Et mon oncle Jacob qui arrive de New York, il est rabbin. - Mais il est pas juif ! - Ben si. - Mais... pas toute votre famille ? - Si », dialogue qui vaut bien celui de "Le dîner de cons" avec le prénom Juste)
    , LA scène culte (la danse folklorique juive), la musique inoubliable de Vladimir Cosma qui colle parfaitement au film, et les facéties d’un petit bonhomme survolté sont les composantes d’une comédie qui a attiré plus de 7 millions de spectateurs dans les salles. Des petits détails valent aussi leur pesant de cacahuètes, comme cette scène où on voit Pivert, excédé de voir que le véhicule qu’il cherchait à stopper ne s’est pas arrêté, marcher (courir ?) avec ses bottes remplies d’eau et qui débordent à chacun de ses pas avant qu’il ne pense à les vider. Ceci dit, "Les aventures de Rabbi Jacob" est une comédie qui ne demande absolument pas à réfléchir, aussi il ne faut pas y voir de message quelconque du genre "stop à l’antisémitisme". Mais il fallait faire quelque chose de nouveau. Vous noterez au passage que le co-scénariste du film, Josy Eisenberg, est lui-même rabbin, et c’est sans doute à lui que revient cette idée saugrenue de scénario. Tout aussi bien, les scénaristes auraient pu choisir en lieu et place des juifs des personnages du peuple amish, ou des religieux de l’église orthodoxe, ou je ne sais quoi encore. Pour finir, je rajouterai que comme toute comédie burlesque qui se respecte, l’imagination doit suivre son cours au fur et à mesure que les événements s’enchaînent, comme s’il s’agissait d’une improvisation permanente. Personnellement, je rapprocherai "Les aventures de Rabbi Jacob" de "Les vieux de la vieille" qui est également une farce (de Gilles Grangier cette fois, mais avec des dialogues du grand Michel Audiard). Bien que différents, ces deux films ont en commun un scénario qui se résume à pas grand-chose, offrant le devant de la scène aux acteurs-vedettes et tout le loisir de laisser leur talent s’exprimer. C’est chose faite ici, tout du moins pour Louis De Funès, ce qui a le don d’offrir un pur divertissement à un public le plus large qui soit.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    186 abonnés 1 810 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 janvier 2016
    En le revoyant pour la énième fois, je le trouve toujours autant excellent et d'actualité notamment ces temps de guerre de fanatiques religieux. De funès et Oury sont au sommet de leur forme avec cette comédie aux dialogues ciselés et hilarants. A voir, Revoir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 janvier 2016
    A mon avis un des plus grands films du cinéma français. Pour cinq raisons : le scénario osé qui réunit fraternellement juifs et arabes, le niveau performant des acteurs, le comique des jeux de mots et des allusions religieuses, une très belle musique et une fin de film belle et rebondissante. Suzy Delair, Renzo Montagnani (Farès) et Jacques François sont parfaits. Les scènes que je trouve le plus drôle : l’usine à chewing-gum et l’arrivée du faux Rabbi dans la rue des rosiers. Il faut rappeler la sortie du film en pleine guerre du Kippour. Ce film restera un film pacifique, contre la haine et le racisme.
    Florent B.
    Florent B.

    78 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 novembre 2015
    Véritable chef d'œuvre du cinéma français, l'humour à son paroxysme. Des dialogues cultes, et un Louis De Funès au top de sa forme. On ne présente plus ce personnage aux nombreux talents, qui nous fait tant rire encore aujourd'hui grâce à son caractère colérique et ses mimiques emblématiques. A voir, revoir et posséder.
    videoman29
    videoman29

    253 abonnés 1 842 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2015
    Le cinéma français doit beaucoup à la collaboration entre le réalisateur Gérard Oury et l'acteur Louis de Funès. Les deux hommes s'appréciaient visiblement beaucoup et leur complicité a donné des chefs-d’œuvre comme « La grande vadrouille », « La folie des grandeurs » ou encore « Le corniaud ». « Les aventures de Rabbi Jacob » est probablement un poil en dessous en terme de qualité, il n'en reste pas moins un grand classique du Vaudeville à la Française. De Funès, une nouvelle fois survolté, est vraiment drôle en Rabin et certaines scènes comme la danse juive ou la cuve de chewing-gum sont inscrites pour toujours dans la mémoire collective. Le scénario peut paraître un peu « lourdingue » par moment mais il remplit tout de même haut la main sa fonction de divertissement. Et puis le petit message de tolérance et de rapprochement entre les peuples et les religions est toujours d'actualité et fait allègrement passer la pilule. Une bonne occasion de se dérouiller les zygomatiques, sans prise de tête, en compagnie de personnages attachants.
    Caine78
    Caine78

    6 858 abonnés 7 399 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juin 2015
    Soyons honnêtes : les gags ont parfois vieilli, tout comme les couleurs et les effets sonores, si bien que ces « Aventures de Rabbi Jacob » peuvent paraître parfois un peu lourdes. Mais le rythme est tellement endiablé, la réalisation de Gérard Oury tellement efficace, certains dialogues tellement irrésistibles et plusieurs scènes tellement cultes qu'on ne peut s'empêcher de ressentir un réel plaisir à suivre un récit souvent tiré par les cheveux, rarement crédible et finalement assez simpliste, mais suffisamment généreux et percutant pour qu'on y trouve sans mal son compte, la présence d'un Louis de Funès en forme olympique (c'est dire!) étant évidemment un atout capital. J'en attendais donc plus, mais nul doute que ces folles péripéties restent un bel exemple de comédie française réussie.
    Eselce
    Eselce

    1 436 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mai 2015
    Film culte de la filmographie de Funès. Une imposture géniale et des scènes à mourir de rire dans l'usine de Chewing-Gum et surtout la danse juive, improbable, où l'acteur se donne à fond ! Un air de déjà-vu du "Grand restaurant" où de Funès usait d'une chorégraphie similaire avec ses employés. Les grands moyens du final sont magnifiques ! Il n'y a pas de temps mort dans cette comédie et beaucoup de surprises.
    Jahro
    Jahro

    58 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2015
    Ce n’est pas Le corniaud ni La grande vadrouille mais c’est un film culte, il en est le héros, et pourtant personne ne se rappelle Claude Giraud, sinon au théâtre et dans le petit monde du doublage. C’est tout le drame de ceux qui se sont succédés face au gargantuesque De Funès, ici à l’apogée du n’importe quoi. Rabbi Jacob est un prétexte géant pour le pousser dans le cabotinage le plus total, et lui beau joueur, il se jette à corps perdu dans la mare. Autour de lui ça patine dur, les vannes ne sont pas toujours des plus fines, le casting se prive d’autres foudres de guerre, le rendu est celui d’une comédie potache franchouillarde pour les soirs pluvieux au camping. Mais dès que le clown intervient, que voulez-vous, on se bidonne. Tics, menaces, grossièretés, judéo-dance extatique et veulerie excitée, il nous sert tout son répertoire d’infecte chefaillon qu’on adore tellement détester. Après ça, le maniaque aux cents TOC n’aura plus beaucoup d’occasions d’exercer la mesure de son talent, lui qui nous quittera juste dix ans plus tard d’un inéluctable infarctus – un simple décès pour l’homme, une grande perte pour l’humanité.
    Incertitudes
    Incertitudes

    211 abonnés 2 325 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2015
    En 1973, Louis de Funès est au sommet de sa gloire. A bientôt soixante ans, l'acteur enchaîne les cartons. Même ses films les moins bons, artistiquement et commercialement, comme Sur un arbre perché font 1,6 millions d'entrées ! Quelle comédie française aujourd'hui ne rêverait-elle pas de faire un tel score ? Sa précédente collaboration avec Oury (La Folie des grandeurs) avait placé la barre très haut en terme de folie, de budget, de tournage, de gags et d'action. Avec Les aventures de Rabbi Jacob, il y a une forme de surenchère. Même si le tournage reste en France, à part un début aux États-Unis, De Funès est un véritable cyclone ambulant payant cher de sa personne. Évidemment, il y a la fameuse scène dans la cuve de chewing-gum, du burlesque pur, mais on retrouve aussi un De Funès à moitié à poil se baignant dans un lac, De Funès déguisé en rabbin se voyant obligé de danser. De Funès, ancien pianiste, avait le sens du rythme. Il n'a pas dû apprendre à danser comme son personnage pourrait le laisser se supposer mais à mal danser. Depuis La Grande Vadrouille, on le retrouve dans son éternel rôle de bourgeois irascible, fort avec le faible, faible avec le fort, très vite dépassé par les événements et entraîné dans des aventures rocambolesques et des quiproquos hénaaaaaauuuuuuuuurmes. Dans Les aventures de Rabbi Jacob, il campe un industriel raciste (et, comme tous les racistes, se défendant de l'être), incapable de se rendre compte que Salomon, son chauffeur, est juif et ignorant tout des autres religions. En quelque sorte, une caricature du français moyen de l'époque. Gérard Oury en tire un film humaniste où un arabe et un juif se sert la main à la fin, où un arabe se marie avec la fille du bon catholique. Pour De Funès, il s'agit du dernier film avant son accident cardiaque qui va l'éloigner des tournages pendant trois ans. On peut même considérer qu'il s'agit de son dernier bon film et, ce qui est sûr et certain, de sa dernière collaboration avec Oury. Le tandem ne le sait pas car ils préparaient déjà activement le tournage du Crocodile qui aurait dû avoir lieu en 1975 dont on nous promettait déjà qu'il serait encore plus physique que Rabbi Jacob et La Folie des grandeurs. Il ne verra jamais le jour bien qu'Oury y pensa jusqu'à la mort de De Funès. Quelle importance au final ? Puisque Les aventures de Rabbi Jacob fait partie des classiques du cinéma français, arrivant comme ça à traverses les époques, les décennies, et en parvenant toujours à faire rire à chaque rediffusion télé. Qu'on aime ou qu'on déteste De Funès pour ses grimaces, ses gesticulations, son cabotinage (ce que je peux comprendre), on ne peut lui retirer ça.
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