Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Drôle, sensuel et parfois émouvant, le film réussit à alterner harmonieusement le chaud et le froid, l'euphorie orgiaque et les drames sous-jacents, les plaisirs triangulaires et la tristesse des lendemains de fête. On ne lui en demandait pas davantage.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) deux tonalités a priori dissonantes mais intelligemment conciliées grâce à un scénario parfaitement huilé (récompensé à Venise) et une interprétation pleine d'entrain.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Une fois le film lancé, il pourrait continuer des heures sans que l'on s'en rende compte. Sans esbroufe ni superflu, en jouant uniquement sur le naturel et la captation d'une sorte de désir qui ne sait pas où il va, Cuaron parvient à un véritable tour de force.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Il sourd de ce film une vitalité irrépressible. Cela tient bien sûr à la manière de filmer, avec une caméra portée, technique, qui garantit un petit air de spontanéité (...) Mais Alfonso Cuaron met aussi beaucoup de roublardise dans son scénario et sa mise en scène. Malgré la sensualité de l'actrice catalane, Luisa reste l'incarnation charmante d'un fantasme adolescent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Un "road movie" à l'hispanique, débarrassé de l'emprise Almodovar (ce n'est pas un mal), qui emmène le spectateur dans un continent plus rêvé que réel, même s'il entremêle à son propos quelques mailles sociales.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cuarón a bien révisé son Tarantino ou Oliver Stone illustré, il en a tiré des leçons d'efficacité rock'n'roll un peu roublardes, un peu flashantes. Le cinéaste n'a pas grand-chose à dire, mais il communique à son film une énergie indéniable, et le casting, porté par deux jeunes teignes (Gael Gracia Bernal et Diego Luna) et une belle plante (Maribel Verdu), fait le reste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
(...) un épilogue tranchant, de nature à faire changer de sens tout ce qui vient d'être vu. C'est un procédé un peu naïf, là encore, mais plutôt efficacement mis en oeuvre : on pense après coup au film comme à quelqu'un dont on aurait sous-estimé la mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cette gentille chronique de l'initiation adolescente a un goût de déjà-vu, avec sa voix off nostalgique et ses émois sexuels plutôt burlesques. Mais elle est racontée avec délicatesse, et interprétée par un trio de comédiens qui instaurent une véritable complicité avec la caméra.
Chronic'art.com
Drôle, sensuel et parfois émouvant, le film réussit à alterner harmonieusement le chaud et le froid, l'euphorie orgiaque et les drames sous-jacents, les plaisirs triangulaires et la tristesse des lendemains de fête. On ne lui en demandait pas davantage.
L'Obs
(...) deux tonalités a priori dissonantes mais intelligemment conciliées grâce à un scénario parfaitement huilé (récompensé à Venise) et une interprétation pleine d'entrain.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Urbuz
Une fois le film lancé, il pourrait continuer des heures sans que l'on s'en rende compte. Sans esbroufe ni superflu, en jouant uniquement sur le naturel et la captation d'une sorte de désir qui ne sait pas où il va, Cuaron parvient à un véritable tour de force.
Aden
Roadmovie érotique, le film aborde le sexe de façon naturelle, ludique, et complètement décomplexée
Cine Libre
Road movie initiatique et sensuel.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Tourné dans un style brouillon-travaillé, le film ménage de belles échappées sur la ruralité mexicaine, sur le monde des péons de l'arrière-pays.
Le Monde
Il sourd de ce film une vitalité irrépressible. Cela tient bien sûr à la manière de filmer, avec une caméra portée, technique, qui garantit un petit air de spontanéité (...) Mais Alfonso Cuaron met aussi beaucoup de roublardise dans son scénario et sa mise en scène. Malgré la sensualité de l'actrice catalane, Luisa reste l'incarnation charmante d'un fantasme adolescent.
Le Parisien
Un "road movie" à l'hispanique, débarrassé de l'emprise Almodovar (ce n'est pas un mal), qui emmène le spectateur dans un continent plus rêvé que réel, même s'il entremêle à son propos quelques mailles sociales.
Libération
Cuarón a bien révisé son Tarantino ou Oliver Stone illustré, il en a tiré des leçons d'efficacité rock'n'roll un peu roublardes, un peu flashantes. Le cinéaste n'a pas grand-chose à dire, mais il communique à son film une énergie indéniable, et le casting, porté par deux jeunes teignes (Gael Gracia Bernal et Diego Luna) et une belle plante (Maribel Verdu), fait le reste.
Télérama
(...) un épilogue tranchant, de nature à faire changer de sens tout ce qui vient d'être vu. C'est un procédé un peu naïf, là encore, mais plutôt efficacement mis en oeuvre : on pense après coup au film comme à quelqu'un dont on aurait sous-estimé la mélancolie.
Zurban
Cette gentille chronique de l'initiation adolescente a un goût de déjà-vu, avec sa voix off nostalgique et ses émois sexuels plutôt burlesques. Mais elle est racontée avec délicatesse, et interprétée par un trio de comédiens qui instaurent une véritable complicité avec la caméra.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr