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lhomme-grenouille
3 329 abonnés
3 170 critiques
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1,0
Publiée le 3 janvier 2014
Une suite franchement ridicule et qui tombe systématiquement à l’eau dans tout ce qu’elle tente. C’est franchement pas bossé pour un sou et ça se repose paresseusement sur les bases du premier qui n’étaient pourtant déjà pas très élaborée. Le début de la fin pour le gendarme.
Dès le second épisode,la série des Gendarmes donnait déjà des signes d'essouflement.La brigade de St Tropez dirigée par le colérique et rêveur Kerber(Michel Galabru,qui passe son temps à rouler des yeux),embarque à bord du France,direction New York et le congrès international de gendarmerie.Dès la traversée de l'Atlantique,les gaffes commençent,le quiproquo principal concernant cette fois la fille de Cruchot(Geneviève Grad,toujours aussi délicieuse),clandestine à l'insu de son père.Une fois rendu dans la Big Apple,les 6 gendarmes dénotent dans le paysage,avec leur marche militaire,leur franglais désastreux et leur maladresse légendaire.Les 2 meilleures séquences humoristiques,sont celle de la découverte du pays,dans un silence burlesque tout chaplinesque,et surtout la parodie de West Side Story,où Cruchot se heurte à des jeunes insoumis pour récupérer un steak!Pour le reste,l'humour farouchement gaulois,finit par tourner au flagrant délit(délire?)de cabotinage,et l'absence totale d'intrigue,limite ce choc des cultures,aux stéréotypes prévisibles.Un simple divertissement estival.
Second opus de la saga, où l’on retrouve toute la brigade au grand complet, non plus à Saint-Tropez, mais aux Etats-Unis et plus précisément, à New York où ils représentent la France au Congrès International de Gendarmerie ! Quiproquos, loufoques et gags de situations sont toujours aussi nombreux, avec un Louis De Funès toujours aussi déchaîné. Le Gendarme à New York (1965) se permet même de nous offrir un pastiche de West Side Story (1962), lorsque le gendarme Cruchot tente de récupérer le fameux steak qu’un voyou lui a volé.
Cruchot and Co sont de retour, cette fois-ci, on les suit aux Etats-Unis. Le scénario est vraiment indigent et l'humour s'est quelque peu noyé en traversant l'Atlantique. Même De Funès ne peut pas grand chose pour sauver le film... Une suite qui n'était pas vraiment nécessaire !
"My tailor is rich". Qui n'a pas rigolé au cours d'anglais de Louis de Funès. L'histoire limitée n'est qu'un prétexte aux facéties de Louis de Funès. En chinois, en danseur, en journaliste, ... il se déguise pour mieux nous faire rire ! Culte
Vieu mais tellement efficace ! Ce deuxième volet de la saga du gendarme est rigolo, surtout dans sa première partie, quand ils apprennent la lanue anglaise. La suite est marrante, mais moins, et reste néanmoins interessant à regarder.
Une fois n'est pas coutume, cet opus commence par le défilé sur le port de Saint-Tropez. Et d'emblée la fine équipe se voit envoyée en représentation a New York avec un premier gag au bout de 30 secondes. Aller à New York depuis Saint-Tropez en 1965, ça se méritait ! Car, avion, train, paquebot. Il fallait être patient ! Certes moins bon que le premier de la série, ce deuxième épisode apporte son lot de rires provoqués par un enchainement quasi ininterrompu de gags dont un cours d'anglais par un Cruchot (excellentissime Louis de Funès) tour à tour autoritaire, supérieur et obséquieux : "My tailor is rich. Qui a soufflé ? Ah c'est vous mon adjudant." Débarquant dans un hôtel de jeunes filles, provoquant les hurlements des locataires : "Je cherche ma fille, I am the father !" Au milieu de ce charivari, une scène qui semble être un hommage à West Side Story, Cruchot courant après une entrecôte entre les danseurs d'une bande et des policiers. Les différences culturelles, le niveau d'anglais lamentable des Français, le gigantisme de la grosse pomme, dans une époque sans technologie ou presque, sont à revoir sans modération.
Un deuxième épisode trés réussi. On suit la joyeuse troupe de gendarmes à New-York où ils représentent la France pour un congrès international de gendarmerie. La fille de Cruchot (De Funès) décide de les accompagner en douce. Cela va évidemment donner lieu à de nombreux gags et situations drôles. La traversée en bateau vers New-York est déjà l'occasion de bien rigoler. Une vraie bonne comédie familiale qui ne vieillit pas.
Bonne suite que ces aventures de Cruchot à New York même si on est un chouïa en dessous du premier et du 3ème. Il reste néanmoins de très bons gags: le taxi, chez les Italiens, à l'hôtel à New York, quand De Funès demande à l'américaine : 《Do you speak english?》• Le clin d'oeil à West side story est très réussi également.
Un an après le succès du premier volet du “Gendarme”, Jean Girault s’entoure de nouveau de Louis de Funès et Michel Galabru pour emmener sa brigade de Saint-Tropez à New York. Le film comique raconte les déboires des uns et des autres avant, durant et après leur séjour. Venu assister à un congrès international de la gendarmerie, Cruchot ne cesse d’entrevoir sa fille Nicole, qui s’est effectivement faufilée sur le paquebot France pour découvrir le Nouveau Monde. Mais celle-ci, sans passeport sera repérée par la douane et se présentera comme une orpheline pour rester au pays. Le réalisateur peaufine mieux son intrigue dans ce second volet et chaque personnage a son lot de misères. Cette épopée outre-Atlantique apporte un vent de fraîcheur. “Le Gendarme à New York” ne volera pas ses 5,5 millions d’entrées dans le monde. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Le second film de la saga du gendarme. Cruchot et toute la brigade de Saint-Tropez partent à New York pour le Congrès international de la gendarmerie et nous offrent au passage un paquet de scènes amusantes.