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Je ne connais pas la BD et j’ignorais même jusqu’à son existence ; la dégaine et le look de Thora Birch ont tout d’un personnage de BD avec ses accoutrements aux couleurs vives, ses lunettes aux montures prononcées et sa coiffure. C’est une découverte, une double découverte ! Le film et l’actrice.
Il y a quelques jours je découvrais un autre film indépendant « Damsels and distress » avec la gracieuse Greta Gerwig, et là, ce « Ghost World » est aussi une belle surprise. Deux films bavards mais ô combien prenants. D’aucuns diront qu’il n’y a pas de scénario, aucune intrigue, aucune accroche. Evidemment, comme j’ai bien aimé, mon accroche est le personnage Enid, laquelle m’intrigue. Et cela me suffit. Cette jeune fille langue de vipère, limite méprisante ne m’a jamais paru antipathique ; sa mauvaise humeur qu’elle trimballe va peu à peu s’effacer dans sa relation avec Seymour (Steve Buscemi, sobre) ; ou plutôt grâce à sa relation avec Seymour. Film sur l’adolescence, encore un, doucement décalé, coloré, légèrement acide. Il est regrettable que l’actrice Thora Birch qui éclipse Scarlett Johansson n’ait pas eu une carrière aussi majeure. Je me plais à faire un parallèle ; les deux actrices sont un peu à l’image de leur personnage : Enid/Thora Birch n’a peut être pas fait de bons choix (de carrière) en refusant de suivre Rebecca/Scarlett Johansson quand celle-ci lui demandait de trouver un job, de s’habiller correctement pour trouver un appartement. Comparée à Rebecca, Enid n’était pas prête à faire des concessions ou à rentrer dans le rang. Thora Birch/Enid a décidé de se chercher, de chercher sa voie, elle a pris un bus dont l’arrêt n’était plus en service depuis longtemps. Pour aller où ? Seul l'avenir le dira. A voir en VO.
Il y a quelques jours je découvrais un autre film indépendant « Damsels and distress » avec la gracieuse Greta Gerwig, et là, ce « Ghost World » est aussi une belle surprise. Deux films bavards mais ô combien prenants. D’aucuns diront qu’il n’y a pas de scénario, aucune intrigue, aucune accroche. Evidemment, comme j’ai bien aimé, mon accroche est le personnage Enid, laquelle m’intrigue. Et cela me suffit. Cette jeune fille langue de vipère, limite méprisante ne m’a jamais paru antipathique ; sa mauvaise humeur qu’elle trimballe va peu à peu s’effacer dans sa relation avec Seymour (Steve Buscemi, sobre) ; ou plutôt grâce à sa relation avec Seymour. Film sur l’adolescence, encore un, doucement décalé, coloré, légèrement acide. Il est regrettable que l’actrice Thora Birch qui éclipse Scarlett Johansson n’ait pas eu une carrière aussi majeure. Je me plais à faire un parallèle ; les deux actrices sont un peu à l’image de leur personnage : Enid/Thora Birch n’a peut être pas fait de bons choix (de carrière) en refusant de suivre Rebecca/Scarlett Johansson quand celle-ci lui demandait de trouver un job, de s’habiller correctement pour trouver un appartement. Comparée à Rebecca, Enid n’était pas prête à faire des concessions ou à rentrer dans le rang. Thora Birch/Enid a décidé de se chercher, de chercher sa voie, elle a pris un bus dont l’arrêt n’était plus en service depuis longtemps. Pour aller où ? Seul l'avenir le dira. A voir en VO.
Roub E.
Un film qui accumule tous les clichés du cinéma indépendant américain que ce soit pour le meilleur ou pour le pire. Pour le meilleur avec des personnages très bien écrits une interprétation de qualité et une envie de faire un cinéma différent des blockbusters habituels. Pour le pire avec une esthétique peu voir pas soignée du tout, et par moment l'impression que le film tourne en rond sans savoir comment il pourrait se conclure. Il n'empêche que ghost World mérite le détour ceci pour découvrir Scarlett Johansson à ses débuts-le toujours impeccable Steve Buscemi et Thora Birch qui même si elle n'a pas percé après ce film le porte littéralement sur ses épaules.
Un étonnant long métrage calme et lent, bizarrement tourné. D'un sujet classique le film arrive à créer sa propre distinction avec une relative séduction.
même si j"apprécie pas les Teen movies, ce film est le meilleur du genre, aussi l'un des meilleurs films de l'humour noir, complètement décalé, cynique et nihiliste, ce film est un coup de cœur a ne pas rater.
Thora Birch, actrice talentueuse qui avait le potentiel pour devenir une star mais qui pour x raisons ne l'ai pas devenu et semble même aujourd'hui aux abonnés absents, Scarlett Johansson, qui au contraire est devenue une des plus grandes stars internationales de notre époque, autrement il y a Steve Buscemi... Bref, il y a de quoi niveau casting donner envie de foncer vers ce film...
Mais Scarlett Johansson qui pourtant au début semblait devoir tenir un co-rôle principal est vite reléguée au dixième plan et n'apparaît par la suite que dans quelques petites scènes pour laisser entièrement la place à Thora Birch (ô ironie quand tu nous tiens !!!), la protagoniste qui se permet de se foutre de la gueule à des personnes qui ne lui ont fait absolument aucun tort est agaçante au possible, les personnages secondaires sont très mal exploités, le rythme est mou, l'histoire va vers plusieurs intrigues sans vraiment jamais aller au bout d'une seule, et la fin est un véritable foutage de gueule.
Pour résumé, les seules choses qui soient des fantômes ici (dans le sens illusionnaire du terme !!!) sont le scénario et l'intérêt que procure le film.
Mais Scarlett Johansson qui pourtant au début semblait devoir tenir un co-rôle principal est vite reléguée au dixième plan et n'apparaît par la suite que dans quelques petites scènes pour laisser entièrement la place à Thora Birch (ô ironie quand tu nous tiens !!!), la protagoniste qui se permet de se foutre de la gueule à des personnes qui ne lui ont fait absolument aucun tort est agaçante au possible, les personnages secondaires sont très mal exploités, le rythme est mou, l'histoire va vers plusieurs intrigues sans vraiment jamais aller au bout d'une seule, et la fin est un véritable foutage de gueule.
Pour résumé, les seules choses qui soient des fantômes ici (dans le sens illusionnaire du terme !!!) sont le scénario et l'intérêt que procure le film.
Une excellente adaptation de la célèbre bande dessinée de Daniel Clowes. Une excellente comédie qui réunit la sublime Scarlett Johansson et le grand Steve Buscemi. L'un des derniers films du regretté Brad Renfro.
Le Pitch, en version rapide c'est deux amies qui abandonnent leurs études pour se lancer dans la vie active, deux jeunes femmes blasées sur de ce qu'il les attend qui vont devoir faire face à la réalité de leur époque, de leur situation, et de leur identité qui va mettre en branle leur certitudes et leur amitié. Des personnages attachants, un film intelligent, drôle, atypique et émouvant ou la recherche identitaire et aux centre de l'histoire mais sans noyer l'ensemble.
Une réalisation sobre, intelligente et bien mis en scène de Terry Zwigoff
Un casting éclectique et très intéressant avec Thora Birch en tète d'affiche, bien accompagnée de Scarlet Johansson dans l'un de ses meilleur rôles et du toujours excellent Steve Buscemi.
Ghost World c'est avant tout le portrait d'une génération paumée sans repère, point commun qu'il partage avec l'excellentissime Garden state ou dans un autre genre et autre génération au Génération 90 de Ben Styler.
PS: ne vous fiez pas à l'idée que veut retransmettre cette affiche nullissime qui joue en défaveur du film.
Une réalisation sobre, intelligente et bien mis en scène de Terry Zwigoff
Un casting éclectique et très intéressant avec Thora Birch en tète d'affiche, bien accompagnée de Scarlet Johansson dans l'un de ses meilleur rôles et du toujours excellent Steve Buscemi.
Ghost World c'est avant tout le portrait d'une génération paumée sans repère, point commun qu'il partage avec l'excellentissime Garden state ou dans un autre genre et autre génération au Génération 90 de Ben Styler.
PS: ne vous fiez pas à l'idée que veut retransmettre cette affiche nullissime qui joue en défaveur du film.
Very good film. Deep emotions and messages. A first great Scarlett Johansson and the always perfet Steve Buscemi. Very very good film.
Marrant de découvrir les débuts de scarlett. Au travers de deux ados anas et anti sociétales, au sourire aussi présent que dans la série Dead Like Me (que j'adore), nous suivons la vie de "bofs" d'une ptite ville de province. Pas la peine d'attendre grand chose mais l'on se laisse facilement porter et finalement s'attacher à nos héroines et notre don juan pas comme les autres. Une fois le film fini, c'est par contre le néant dans la tête tant le film n'est pas marquant
Aucuns des registres sur lesquels le scénario s'appuie ne fonctionnent vraiment : on ne sourit pas une seule fois devant cette histoire façon « coming of age » qui par ailleurs manque cruellement d'enjeux dramatiques, quant à la romance naissante, elle se révèle très décevante. Le film navigue à vue du début à la fin sans direction claire à l'image de ces deux ados en pleine crise existentielle, le rythme est trop lent et les personnages assez mal exploités, on aurait par exemple apprécié une meilleure répartition des rôles entre une Enid un peu trop présente et une Rebecca trop effacée. Bref, à défaut d'avoir proposé un film abouti, Terry Zwigoff a au moins le mérite d'avoir essayé de sortir des sentiers battus.
Film fort sympathique sur la transition entre l'adolescence et la vie d'adulte qui sait éviter les clichés et autres niaiseries habituelles. Et même si "Ghost World" manque parfois de souffle et a tendance à tourner un peu en rond, on a affaire à un beau petit film.
Un autre film conceptuel que j’adore ; l’aspect collection de disques vinyles me plait beaucoup ; le personnage de Seymour me ressemble un peu ; quelque peu passéiste dans l’âme, collecteur de vinyles et autres affiches des années 50 en plus des multitudes de pin up ! Le film est une belle référence aux musiques qui ont marqués l’époque, et on voit bien l’esprit US dans ce film. Très agréable à regarder, on se le refait avec plaisir.
Étrange mais assez sympathique comédie, atypique et décalée !
Malgré le charme de l'heroïne ce film est d'un ennui terrible. 10/20
Pas mal... Tiré d'une bande dessinée qui se trouve à 1000 lieues des super héros, le fim est plaisant à regarder malgré quelques longeurs. On suppose que l'histoire se déroule dans les années 80, (pas de portables, l'ambiance de la ville..) . Amusant sans être hilarant, cette réalisation vaut le coup d'oeil.
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