Votre avis sur L'Echelle de Jacob ?
4,5
Publiée le 9 juillet 2024
Développant une histoire extrêmement riche, L'Echelle de Jacob peut être abordé sous de multiples grilles de lectures. Abordant entre autres les thématiques de la guerre, du trauma ou du deuil, le film reste assez fin et mérite d'être visionné plusieurs fois. La mise en scène et le découpages sont impeccables et instaurent une atmosphère étouffante, oscillant entre l'onirique et la terreur, à l'instar de son personnage brillamment interprété par Tim Robbins. Un film culte, à voir et à revoir
4,5
Publiée le 14 avril 2024
Ce film fait partie des 30 meilleurs films que j'ai vus.
Je ne ferais jamais de classement.
La réalisation est majestueuse
Tim Robbins est magnifique.
Au delà de cette idée de drogue que l'ont pouvait donner aux marines, il y a cette idée de la mort et de la de souffrance, de la perte des êtres aimés et de l'horreur de la guerre.
J'ai été surpris par ce film car Adrian Lyne est un réalisateur quelconque mais là il a réalisé un chef d'oeuvre
4,0
Publiée le 26 décembre 2023
Une sacrée péloche que voilà ! J'en avais un souvenir très vague et l'ayant vu trop jeune je n'avais strictement rien compris. Aujourd'hui, le métrage de Adrian Lyne prend tout son sens, un voyage métaphysique aux confins de la folie avec en toile de fond le syndrome post-traumatique de l'après guerre. On navigue en eaux troubles tout du long en tentant de mettre bout à bout les indices laissés ici et là dans une atmosphère bien glauque et sous pression, aussi paumé que notre personnage principal, lui même interprété par un Tim Robbins exceptionnel. Ce n'est donné à tout le monde d'accrocher à l'Échelle de Jacob et encore moins d'en saisir toute la substance, le scénario étant bien tordu mais ça vaut le coup d'aller au bout ne serait-ce que pour le twist final, sacrément original à l'époque. Une belle œuvre, très maîtrisée et qui a bien des choses à raconter.
4,0
Publiée le 1 novembre 2023
Un bon thriller horrifique qui surprenant à été réalisé par adrian lyne pas coutumier de ce genre de film.
Le film a un peu vieillit concernant les images et les effets spéciaux mais avec un scénario en béton ou l on voit un homme vétéran du vietnam à cause de ce qu il a vécu s enfonce peu à peu dans la folie ou au contraire poursuivi par des entités surnaturelle.
La fin du film est une scène de toute beauté et émouvante
A voir.
4,0
Publiée le 14 mars 2023
Ce film nous scotche à notre canapé, une claque visuelle, une mise en scène maîtrisée et une histoire forte. Aujourd'hui culte.
4,0
Publiée le 14 janvier 2023
D'un bout à l'autre, le film de Lyne nous transporte. On est véritablement pris dans cette histoire glauque et étrange, et comme le personnage de Tim Robbins on veut démêler le vrai du faux.
4,5
Publiée le 17 août 2022
L’échelle de Jacob est un film assez exceptionnel, surtout compte tenu de son réalisateur qui a plutôt la réputation d’être l’homme derrière un grand nombre de nanar.

Ce qui saisit directement, c’est le scénario du film mi-rêves mi réalité, couplé à une esthétique très crue et réaliste, bien que le grain utilisé sur l’image et la colorimetrie générale du film nous fasse plus penser à un cauchemar. Tim Robinson est absolument incroyable dans le rôle de Jacob. Je ne vous en dis pas plus, mais l’échelle de Jacob est une œuvre qu’il faut impérativement voir dans son entièreté, avec les sous textes qui le compose, remplis de références biblique, l’échelle de Jacob et très riche en information, et saura vous émouvoir, vous terrifiez et vous faire travailler les méninges à coup d’allégories et ce plus qu’il ne le faut.

Le seul bémol du film spoiler: c’est l’histoire de « l’échelle » qui n’est pas clairement réglée à la fin, bien qu’on apprécierait en savoir plus. De plus, si l’échelle est bien réel, comment Jacob peut-il le savoir et rêver qu’on lui raconte cette histoire de drogue, alors qu’il est attaqué sans n’avoir jamais su avoir été drogué


Sommes toute, un très bon film à voir, malgré ce très léger hic.
4,5
Publiée le 22 juillet 2022
Passé un peu inaperçu à sa sortie, "l'échelle de Jacob" a ensuite peu à peu obtenu un statut culte fort mérité pour pas mal de monde.
On ne sent pas forcément compte de la profondeur et de l'intelligence du scenario lors du premier visionnage, peut-être trop captivé par l'aspect purement fantastique et les scènes angoissantes particulièrement marquantes. Mais le récit, à plusieurs lectures, tient véritablement du génie.
C'est très étonnant qu'un réalisateur assez "lambda" comme Adrian Lyne nous ponde un film aussi profond et abouti.
4,0
Publiée le 21 juin 2021
Aussi perturbant qu'habile, ce thriller d'Adrian Lyne use de ses effets fantastiques avec malice pour générer un climat angoissant, qui s'insinue subtilement dans la tête du spectateur. Appuyé sur la performance colossale de Tim Robbins, le film est construit sur une impeccable mécanique de précision scénaristique, multipliant les parallèles très symboliques pour mieux confondre l'hallucination et le réel, avec un casting solide et une mise en scène très inspirée. Un film puissant et qui interpelle.
4,5
Publiée le 28 décembre 2020
Attention ce film contient un twist final mémorable. Je vais donc m'efforcer à travers cette critique de rester allusif et d'en dire le moins possible mais dans le doute et au cas où vous tenez à ne rien savoir avant de visionner ce film, je vous invite à vous abstenir de lire les lignes qui suivent.

Jacob Singer est un jeune employé des postes, vivant à New York. Vétéran du Vietnam, il reste hanté par son passé, son divorce et la mort accidentelle de son jeune fils dont il s'estime responsable. Ancien professeur, il vivote désormais dans un emploi qui lui importe peu et partage sa vie avec la séduisante Jezebel. Bientôt, il est victime de terrifiantes hallucinations au quotidien, qui le replonge à la fois dans le trauma de la guerre et dans sa culpabilité de père. Il apprend très vite que ses anciens frères d'armes sont tous victimes des mêmes symptômes et se convainc peu à peu de vivre les effets d'un produit toxique, le Benzoate, dispersé par l'état-major sur le delta du Mékong.

En 1990, Bruce Joel Rubin, scénariste talentueux de son état, s'ouvre les portes d'Hollywood avec le carton planétaire du film adapté de son scénario Ghost de Jerry Zucker. Très vite, les producteurs s'intéressent à son potentiel. Rubin déterre alors un de ces plus vieux scripts, oublié au fond d'un tiroir depuis une dizaine d'années. Il y laissait déjà transparaître ses obsessions sur le deuil et le bonheur perdu, bien avant l'écriture de Ghost.
Les producteurs s'intéressent alors au potentiel de ce script fantastique et en confie contre toute attente la réalisation à un cinéaste sans aucun précédent dans le cinéma de genre, Adrian Lyne. Mais celui-ci aura cartonné par trois fois durant les années 80 avec coup sur coup "Flashdance", "9 semaines 1/2" et "Liaison fatale". Rien à voir avec la filmographie d'un Carpenter donc et Lyne accepte sans aucun complexe la tâche de mettre en scène ce qui deviendra rétrospectivement à la fois son meilleur film (il ne reviendra curieusement jamais au fantastique) et une oeuvre majeure et séminale dans le genre dont elle transcende habilement les codes.

Pourtant à sa sortie, le film est un échec commercial. Son statut d'oeuvre culte viendra, comme bon nombre d'autres films, avec le temps. "L'échelle de Jacob" a la particularité d'être une oeuvre aux circonvolutions complexes dont le dénouement apporte une réponse "choc" à toute l'intrigue qui l'aura précédée, un coup de théâtre déstabilisant appelant un second visionnage pour mieux appréhender l'oeuvre, ce qu'on appelle désormais plus communément un twist.
Le procédé du twist n'est pourtant pas nouveau. Le premier film d'horreur de l'histoire "Le cabinet du docteur Caligari", exposait déjà un twist final étonnant. Le procédé sera utilisé par Alfred Hichcock notamment dans "Le grand alibi" et "Psychose". Sergio Leone, entre autres,s'en souviendra pour emmener son climax de "Il était une fois dans l'ouest" tout comme Franklin J. Schaffner dans "La planète des singes". Dans les années 80, Terry Gilliam estomaque ses spectateurs avec la conclusion de "Brazil", tandis qu'Alan Parker s'y essaie lui aussi avec succès pour "Angel Heart". Mais il faudra attendre la fin des années 90, pour que le procédé scénaristique prenne véritablement son essor au travers de la révélation finale de "Usual suspects" dans lequel Bryan Singer et son complice Christopher McQuarrie révèlent une duperie qui surprendra la totalité de leur public. Suivront quantité de films utilisant le twist final avec plus ou moins de succès ("L'armée des douze singes", "Fight club", "Memento", "Old boy", "Ace Ventura", "Les bronzés 3", etc...) Notons aussi que certains "retournements de situation" se font en milieu de métrage, comme une sorte de point de bascule, voir "The secret" ou "L.A. Confidential" (remember Rollo Tomasi).
Un bon twist final c'est donc une manière d'emmener le récit vers un dénouement que le spectateur ne peut prévoir et qui l'emmènera à réinterpréter le film tout entier en fonction de la révélation qui lui sera faite en bout de métrage.

Mais ce serait une erreur de croire que tout l'argument du long-métrage de Lyne se trouve dans son climax.
Impossible de nier aujourd'hui l'influence qu'aura eu "L'échelle de Jacob" sur d'autres oeuvres.
Des films bien sûr, lui reprennent un twist rétroactif quasi-similaire comme "Sixième sens" ou "Shutter island". Mais au-delà de ça, la série de jeux vidéos "Silent hill" et plus particulièrement le second opus, véritable joyau vidéoludique, "emprunte" un nombre considérable d'éléments au film de Lyne que l'on peut considérer comme son véritable pendant cinématographique. Ainsi dans "Silent hill 2", James Sunderland, le personnage que le joueur incarne, porte les mêmes fringues que Jacob Singer. Ils ont en outre les mêmes initiales, se retrouvent coincés dans une station de métro aux grilles cadenassées, sont rongés par la culpabilité et le deuil, et refusent la vérité pour lui préférer un quotidien cauchemardesque.

A l'origine, le scénario original de Rubin versait plus encore dans l'imagerie religieuse que le résultat à l'image. Plusieurs images d'Epinal telles les démons cornus seront gommées par Adrian Lyne qui lui préférera une atmosphère moins ouvertement fantastique mais plus proche du sensoriel propre à son cinéma.
Ainsi, après la traumatisante première scène en "flash-back" au Vietnam, Lyne brise déjà les repères du spectateur en enchaînant sur une scène se passant à New York. Jacob se trouve dans une rame de métro et se réveille subitement. La première scène était donc un cauchemar ou un souvenir de son passé. Le personnage semble dès le départ désorienté. Les premiers éléments de déphasage se font dès cette scène (la queue du démon, les affiches publicitaires aux slogans prophétiques). Puis c'est le personnage qui se perd et semble un temps dans l'incapacité de remonter à la surface.
Car le personnage entreprend bel et bien une ascension tout le long du métrage basée sur le modèle de "La divine comédie" de Dante, à savoir endurer l'enfer, connaître le purgatoire et atteindre le paradis.

Ainsi de manière formelle, pour mieux désorienter le spectateur, Lyne accentue le déphasage progressif du héros via une alternance entre des séquences cohérentes et d'autres abstraites. Il s'appuie en outre sur l'intrusion de créatures déshumanisées via des visions terrifiantes qui débordent sur le quotidien de Jacob. Des monstres à la morphologie humaine dérangeante, aux faciès sans visages, animés de réflexes saccadés et dont l'esthétique renvoie aux travaux de Bacon et influenceront le bestiaire des "Silent hill".
Plus audacieux encore, le réalisateur brouille subtilement les frontières spatio-temporelles du récit en égarant son protagoniste dans plusieurs époques et lieux de son existence sans continuité logique évidente au premier visionnage. Ainsi Jacob revivra-t-il le trauma du Vietnam, retrouvera sa famille dont son défunt fils avant de se réveiller à nouveau aux côtés de cette Jezebel dont il réalise qu'elle lui est totalement inconnue. Dès lors, le calvaire du héros, c'est de croire qu'il perd la raison dans un quotidien où il ne se reconnait pas et où tout lui devient hostile.
Face aux dérèglements cauchemardesques de la réalité qui l'entoure, Jacob apparaît comme contraint à subir et à rester témoin de ce que lui seul peut voir (il n'apparaît d'ailleurs jamais dans le même plan de ses visions, ce qui renforce l'identification du public avec le personnage). Son itinéraire convoque alors ce sentiment d'inquiétante étrangeté chère à Freud, où l'angoisse s'insinue sans raison évidente dans le quotidien jusqu'à en rendre sa banalité terrifiante. La paranoïa s'insinue insidieusement et le spectateur finit par s'interroger tout autant que le héros sur ces manifestations que Jacob s'évertue à essayer d'expliquer.
Ainsi, la théorie du complot n'est abordée que comme une tentative de réponse logique par Jacob à toute cette étrangeté. Pourtant, Lyne parsèment son métrage de plusieurs pistes et d'éléments aidant le spectateur à se préparer au coup de théâtre final : le passage de l'hôpital, le personnage bienveillant du chiropracteur, les photos de famille présentées comme celles d'une vie révolue.
On peut dresser un parallèle entre le final de "Jacob's ladder" et celui de "Brazil". Dans les deux cas, le pouvoir de l'onirisme et de la subjectivité est presque absolu, jusqu'à permettre à l'individu de s'affranchir de la réalité de sa condition. La différence étant que là où le héros de "Brazil" se servait de l'imaginaire comme d'une échappatoire à la terrible expérience physique et où il finissait par prendre une part active à son propre fantasme, Jacob lui subit son périple plus qu'il n'y participe. Sa passivité en font une victime tragique et désemparée tout le long du film et le rapproche d'un équivalent littéraire, Joseph K, le protagoniste du "Procès" de Kafka (Jacob en viendra même à engager un avocat qui refusera de le représenter contre l'état-major vu le caractère inextricable de l'affaire).

Si aujourd'hui le concept éculé du twist, de retournement de situation, ne surprend plus personne au point que les spectateurs les plus blasés s'évertueront sans cesse à vouloir trouver une conclusion à n'importe quel film (bon ou mauvais) avant même son dénouement plutôt que de se laisser porter par le spectacle, celui de "L'échelle de Jacob" ne surprendra évidemment pas tout le monde. Mais force est de constater qu'il est remarquablement amené et que l'ultime scène à la fois sobre et déchirante, d'une cohésion parfaite avec l'émotion de la séquence précédente, résonne comme une triste libération et apporte une réponse définitive à tout le cauchemar qui l'aura précédé.
"L'échelle de Jacob" est donc, à mon sens, une oeuvre indispensable à la culture de tout fantasticophile tant les oeuvres qui s'en sont inspirées sont aujourd'hui légion. Un classique du thriller paranoïaque et du film d'angoisse, un réquisitoire de plus contre la guerre et une réflexion sur le deuil, la solitude et l'aliénation de l'homme moderne en plus d'une dénonciation de la déshumanisation grandissante de la société dans laquelle il évolue. Bouleversant.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 5 janvier 2020
C’est lentement intéressant, on ne s’ennuie pas pour rien au monde, une mise en scène lumière sur des jouets d’ombre, pour nous faire peur de temps à autre, du moment dans cette histoire déformée en scénario de jeux vidéo, courbant la vérité jusqu’à un final songeur.
Ça fait comme un épisode d’au-delà du réel, la rivière du hibou n’acceptant la fatalité dans l’âme et d’en faire face au bout des convictions, c’est excellent de voir plein de cours théorique comploteur, on a crû à la schizophrénie, maladie mentale, en faite ce sera non.

C’était la guerre du Vietnam qui marque à jamais la conscience américaine, l’utilisation à des fins militaires de drogues dures hallucinogènes LSD hippie en vogue, pour soulager violemment des produits gaz chimiques toxiques néfaste pour l’homme guerrier, comme éternelle réponse négative message final.
Des crimes de guerre enfouis puis déterrée par cette réalisation, ce n’est pas la seule à pousser des cris protestataires anti-guerre, ailleurs révélant la part des choses nécessaires au cinéma levant le voile sur la politique interventionniste, pointée du doigt l’ingérence injustifiée.

Du déni de reconnaissance à l’égard des soldats vétérans affectés perturbés, taisant pour toujours la douleur, s’enfonçant en profondeur, baignant glaçant fiévreusement soutenu endormi, définitivement dans la folie par de flash-back familiale trouble, n’aurait survécu dans cet enfer puisque l’affaire est de l’irréel inconscient.
Des épuisés, fatigués GI matricules numéros, naviguent vers des parallèles où se croisent des créatures humanoïdes, lieux et destinations adresses inconnus, une courbature difformité étrange ignoble inimaginable, là où le rêve bizarre commence, le cauchemar glauque se termine paisiblement, amen.....
4,0
Publiée le 7 août 2018
Assailli par ses démons, un vétéran de la guerre du Vietnam va être amené à fouiller dans son passé et mettre à jour des secrets bien gardés. Malgré un twist un peu facile, les cauchemars de Jacob parviennent à nous hanter et on plonge dans sa folie et ses traumatismes.
4,5
Publiée le 17 août 2018
Un film dont j’avais beaucoup entendu parler et lu pas mal de choses avant de le voir. Sûrement trop d’ailleurs car je m’attendais à un monument et j’ai vu un film excellent. L’échelle de Jacob traite de manière onirique le massacre et le sacrifice de ses propres hommes par une nation à la guerre. Parfaitement interprété par Tim Robbins perdu dans ce cauchemar auquel il ne semble pas pouvoir échapper, le film bénéficie d’une réalisation soignée, de la mise en scène en passant par la photo. Je reprocherais juste au film une vraie chute de tension et de rythme sur la moitié du métrage avant de solidement se reprendre. Les scènes de guerre sont les plus cauchemardesques au final d’un film prenant au caractère assez unique ce qui en fait notamment son intérêt.
4,0
Publiée le 17 octobre 2016
Critique de "Jacob's ladder".
Super film qui nous plonge dans le cauchemar d'un ancien combattant après la guerre du Vietnam. J'ai bien aimé ce film grâce à la bonne prestation de son protagoniste Tim Robbins et son ambiance glauque, les scènes de terreur sont bien menées. Il tient beaucoup le spectateur en haleine, on se demande pourquoi et comment cela va se terminer... Et le twist final vient nous retourner le cerveau. 4/5
4,0
Publiée le 13 février 2016
Excellent film de Adrian Lyne qui nous avait habitué à un cinéma plus superficiel. Avec "L'echelle de Jacob" il donne de l'action mais aussi une juste réflexion sur le pouvoir de manipulation des autorités sur tous individus.Oscillant constamment entre cauchemars (sobrement illustré )
et réalité le spectateur peut parfois se sentir lui aussi manipulé, mais c'est pour la bonne cause, celle du cinema. Un des meilleurs films des années 90.
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