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    Bully
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    3,6
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    202 critiques spectateurs

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    cinono1
    cinono1

    303 abonnés 2 056 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 septembre 2018
    S'il faut reconnaitre au film les qualités de la photographie et même de l'interprétation générale, le problème est que ce que gagne Larry Clark en provocation, il le perd en empathie. Le cinéma est un vecteur qui permet l'identification et l'émotion, Il suffit de penser à la façon si gracieuse dont Gus Vans Sant a traité une affaire proche dans Elephant pour mesurer le manque de vision de Clark qui semble prisonnier de postures faciles et complaisantes (cette façon récurrente de filmer l'entre-jambe des filles). Aucune hauteur, presque aucun point de vue, juste le plaisir de filmer de beaux corps. La scène du meurtre est tout de même assez glacante. Même le final n'offre pas un moment de réflexion, à défaut de repentance. Il n'y a que quand les encarts des décisions de justices apparaissent que l'on sera pris d'effroi.
    willy holden
    willy holden

    3 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juin 2018
    Un film qui est vraiment loin d'être un chef d’œuvre. Le problème avec Larry Clark c'est que sa vision de l'adolescence, en tant que monde radicalement autre, impénétrable, irréel, fuyant , où se mélangent sexe, drogue, amitié, découvertes, dans un grand "désordonnancement" que seuls les jeunes habitants de cette planète éphémère peuvent comprendre, avait été magnifiquement mise en scène dans "Kids".
    Dans "Bully", les personnages sont également dans la fin de l'adolescence mais ils sont traités sans empathie. Le mécanisme ne fonctionne pas. Larry Clark n'essaie pas d'innover comme dans le remarquable "Paranoïd Park" de Gus Van Zant. Il se contente de renchérir dans les scènes de sexe et de drogue pour choquer le bourgeois. Et apparemment cela fonctionne vu les critiques positives de revues plutôt "pisse-froids". Il existe une catégorie de films pornos dénommée "barely legal" pour les amateurs de ce genre de scènes de sexe. Pour les autres, "Bully" est un film qui se laisse voir mais qui n'a strictement aucun intérêt.
    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2018
    C'est avec "Bully" que j'aborde pour la première fois le cinéma de Larry Clark. Je le connaissais uniquement de réputation; une réputation sulfureuse allant de paire avec les thématiques de ses films. "Bully" correspond parfaitement à l'image que je m'étais faite du réalisateur. Ce dernier applique le triptyque "Sex, drugs & Rock' N' Roll" à une jeunesse américaine en perte de repères. Son cinéma dérange, ne se fixe aucune limite, aucune contrainte morale, et cela nous bouscule nous en tant que spectateur. Il réussit même à nous rendre sympathiques ces jeunes tueurs qui planifient pourtant longuement un meurtre de sang-froid. Larry Clark ne donne pas de leçons. Il filme de manière sobre, quasi-documentaire par moments, cette histoire tirée d'un fait réel. Il y a un aspect "punk" dans sa démarche et dans ses personnages. Un très bon film que je recommande vivement pour tous ceux qui aiment se sentir secoué par une oeuvre cinématographique.
    mx13
    mx13

    245 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2018
    Un super film de Larry Clarke qui montre la descente aux enfers d’un petit groupe d’ados, causée par la persécution qu’émet l’un d’entre eux. Bien efficace et mis en scène. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 4/5
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    133 abonnés 216 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 septembre 2017
    Le vrai Marty Puccio n'avait pas la beauté, la fragilité ni la grâce émouvante de Brad Renfro, dont le personnage a, je trouve, bien des circonstances atténuantes. Par le choix de l'acteur et de la psychologie qu'il choisit de donner au personnage de Puccio, Clark fausse les données. Le spectateur ne peut par conséquent que manquer d'objectivité sur cette affaire de meurtre au premier degré.
    Alexis D.
    Alexis D.

    106 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 juin 2021
    Dans la lignée de "Kids", le premier long-métrage qui l’avait révélé en 1995, Larry Clark poursuit son exploration d’une adolescence désœuvrée, filmant sans concessions ni fioritures le quotidien de cette tranche d’âge y compris dans ses aspects les plus crus. Le scénario est des plus passionnants. Été 1993, en Floride. spoiler: Bobby et Marty sont deux adolescents. Ils sont amis depuis toujours. Bobby est un garçon méchant et violent qui harcèle et roue de coups Marty. Celui-ci découvre l’amour sous les traits de Lisa, qui s’éprend de lui et ne supporte plus le comportement atroce et sans gêne de Bobby
    ... "Bully" est un drame réalisé par Larry Clark en 2001. Il s’agit de l’histoire du spoiler: meurtre sauvage d’un adolescent perpétré par ses camarades en 1993, en Floride du sud
    . "Bully" a eu un grand succès critique avec une présentation dans des festivals majeurs de cinéma comme le Festival du film américain de Deauville, La Mostra de Venise ou encore le Festival du Film International de Stockholm. Larry Clark trouve des bons sujets à filmer, le tout dans une débauche la plus totale et sous les yeux de parents qui essayent de faire de leur mieux sans succès. Mais le cinéaste délaisse le côté glauque et naturaliste de "Kids" pour adopter, en apparence du moins, le ton et les situations de nombreux teen movies de l’époque, d’autant plus que le scénario dépeint le milieu de la classe moyenne de Floride et adapte un fait divers criminel qui défraya la chronique judiciaire. Larry Clark a donc sans doute voulu casser son image de réalisateur underground pour toucher un public plus vaste. "Bully" n’est pas un film de multiplexe mais une véritable œuvre d’auteur, tout en proposant la radioscopie d’une certaine Amérique coincée dans la contradiction entre l’affirmation de ses valeurs fondamentales (bonheur, réussite) et l’absence de conscience morale qu’elles occasionnent. Les adolescents de "Bully" sont en effet assez déconnectés de la réalité, sans aucune conscience morale. Mais Larry Clark ne se la joue pas moralisateur, on s’en doute, d’autant plus qu’il semble éprouver une indulgence (plus qu’une véritable fascination) pour ces êtres déboussolés. Le réalisateur semble émailler son film de références à d’autres classiques sur la jeunesse. Il faut souligner ici l’intelligence du casting. Brad Renfro trouve ici son meilleur rôle à l’écran. Ses partenaires sont impeccables. Mais seuls les "bad guys" Michael Pitt et Nick Stahl (magistraux) connaîtront une carrière honorable par la suite. Entre sexe, drogues et innocence, on a des jeux de rôle où chacun expérimente la drogue, le sexe, la colère puis la vengeance. Le passage à l’âge adulte, on réalise qu’ils ont encore tous un pied dans l’enfance. Pour cette petite bande Bobby Kent (Nick Stahl) est le seul responsable de leur mal-être, c’est sûr que c’est un sale gosse, cruel et pervers. Son spoiler: meilleur pote Marty (Brad Renfro) subit chaque jour les conséquences de sa domination et de sa méchanceté et il s’en accommode plus ou moins jusqu’à sa rencontre avec Lisa (Rachel Miner), jeune fille passionnée qui veut Marty pour elle toute seule. La machination contre Bobby prend forme, elle réunit quelques paumés et les persuade de la nécessité de supprimer l’incarnation du mal. Personne ne prend conscience une seconde des conséquences, on n’a pas forcément le sens des responsabilités à cet âge-là. Seulement la justice tranche différemment et c’est 7 jeunes qui vont payer le prix fort
    . Ainsi "Bully" c’est tout d’abord un fait divers qui met mal à l’aise, une histoire de meurtre d’adolescents qui est bien plus complexe qu’elle n’y paraît. Larry Clark filme une fois de plus une jeunesse perdue qui se cherche à travers la drogue et le sexe. Les images sont brutes, choquantes, et on assiste à beaucoup de scènes nues. "Bully" montre également de nombreuses scènes sexuelles peu orthodoxes qui traitent de l’homosexualité, du viol et d’autres sujets tabous. La véritable force de ce film est de se contenter de montrer sans jamais tenir un discours moralisateur. Larry Clark propose son film et laisse le public libre d’en tirer ses propres conclusions. Comme pour son premier film, "Kids", on est à la limite du documentaire tant le réalisme est bluffant. Il n’y a jamais d’arguments pour excuser, comprendre ou pardonner les actes. Il s’agit juste de faire comprendre au travers d’un fait divers le mal qui ronge toute une génération, ensuite c’est au spectateur de trouver les clés de cette escalade de violence. La réalisation est propre. La conduite de l’intrigue, de la narration mais surtout des temps morts est très efficacement gérée. Les jeunes acteurs sont impressionnants et leurs personnages très réalistes. Brad Renfro qui joue Marty le meilleur ami de la victime est un personnage effacé qui se laisse maltraiter par son frère de sang. A ses cotés, on retrouve l’excellent Nick Stahl, l’interprète de Bobby Kent, la victime, un individu des plus odieux et détestables, tyrannique, totalement perdu, cruel, pervers, vicieux, sadique et très violent (c'est quand même spoiler: un violeur
    ), que l’on détestera longtemps pour au final éprouver une véritable compassion pour lui lors de spoiler: la scène du meurtre, où il essaiera en vain d'obtenir une rédemption
    . La scène du meurtre est quant à elle impressionnante avec une tension à son paroxysme et une noirceur monumentale qui nous emporte dans un crime dont on reste bouche bée. Le film permet de faire réfléchir davantage sur l’horreur de ce qu’on regarde et le sentiment de mal-être en est démultiplié. C'est vraiment un film choc, un film "coup de poing", très noir et profondément tragique, violent et cruel, et qui fait véritablement froid dans le dos (le plus choquant est de découvrir que spoiler: ce film est inspiré de faits réels
    …). A la fin du film, on est vraiment sous le choc de l'horreur dont le film fait preuve. Bref, au-delà d'un film renversant sur l’adolescence avec d’excellents comédiens et une réalisation irréprochable, ce film est aussi la préparation d' spoiler: un des meurtres les plus noirs, sanglants et violents
    de l'histoire du cinéma. Une véritable claque mais aussi un chef d'œuvre renversant qui ne laissera personne indifférent, à voir au moins une fois dans sa vie, ce film vaut amplement le détour
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    289 abonnés 3 116 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 mai 2017
    Je ne sais trop pourquoi je me suis mis devant ce film à vrai dire...Avec Larry Clark il faut toujours s'attendre au pire et bien le voici...Autant j'avais aimé Kids (parce que ça avait du sens autour des scènes trash !!!) autant là je n'ai pas aimé du tout !!! Il ne se passe absolument rien...ah si pardon du sexe, du sexe et encore du sexe !!! Le scénario est creux et voir des ados se défoncer et coucher ensemble pendant près de 2 heures, c'est vite lassant !! Bref, de la violence et du sexe gratuits sans aucun intérêt réel !! L'horreur...
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 153 abonnés 5 137 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2017
    La vision quelque peu horrifiante d'une jeunesse décadente qui parfois laisse parler ses instincts les plus vils. Même si l'on croit voir au début un éternel film sur la séduction (enfin plutôt la non-séduction) qui mène très facilement au sexe, le film nous entraîne doucement vers l'horreur.
    Vraiment bien maîtrisé et choquant évidemment.
    Vinz1
    Vinz1

    182 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Tiré d’une histoire vraie, ce film raconte le meurtre organisé d’une brute épaisse (le « Bully » du titre) qui moleste sans cesse son meilleur ami Marty, ainsi que d’autres amis du groupe. En plus, de dresser un portrait sans concession de ces jeunes livrés à eux-mêmes, Larry Clark (qui s’attribue d’ailleurs un petit rôle) reste lucide par rapport aux actes de ces ados qui agissent comme dans un jeu vidéo, sans avoir vraiment conscience de leurs agissements. Sexe, violence et utilisation de stupéfiants sont alors banalisés à l’extrême sous l’objectif très (trop ?) rapproché de la caméra du réalisateur. Après une première partie qui dépeint leur quotidien qu’on pourra trouver un peu longue, on enchaîne directement sur la décision du meurtre puis s’en suit une longue séquence de paranoïa générale pour terminer sur un final passionnant car haletant. Très bon métrage de Clark donc sur une jeunesse en perdition, mais parfois dur à regarder.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 juillet 2016
    Au début je pensait a un film a la Battle Royal, puis quand j'ai vu la boite de mon DVD (Difficile a trouver d'ailleurs j'ai du y mettre le prix) et au final j'ai vraiment aimer, certe le film dispose de scène très hot mais ça fait son charme pour l'intrigue. J'ai reconnu beaucoup d'acteur qui joue dans ma série préféré Sons Of Anarchy comme '"leo fitzpatrick qui fait une jeune recru S3" et "Rachel Miner qui joue Dawn Tragger" La préparation de meurtre est bien orchestrer et la scène du meurtre et glauque et assez choquante et réaliste sans passer par le gore même si je comprends pas le comportement du personnage principale pour donner un message a son pote au lieu de dire ouai je vais le tuer. La fin est angoissante avec le bruit stressant et les visages des jeunes qui savent qui vont prendre perpette sa j'ai vraiment aimer ! 16/20
    konika0
    konika0

    27 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juillet 2016
    Larry Clark, LE spécialiste des maux adolescents et des désordres de la jeunesse américaine. Bully, c'est le portrait d’une jeunesse paumée, sans valeur à laquelle se raccrocher. Une fois n'est pas coutume, Clark abandonne (un peu) le champs du sexe pour se focaliser sur la banalisation de la violence. spoiler: En gros, des gamins (pour faire le vieux grincheux) échafaudent un plan en vue de se débarrasser d'un des leurs.
    On oublie la notion de Bien et de Mal et même la logique du vivre ensemble. Ces ados s'ennuient, ne voient pas d'avenir et ne vivent pas dans le même monde que leurs parents. Le miroir tendu par Clark à son pays est peu flatteur. En 2001, il rappelle que la lutte contre le Mal ne passe pas par le bombardement d'obscures barbus utiles. Quant à l'image, celui qui aime le style de Clark y trouvera son compte. On oscille entre gros plans intimes (très) et magnifiques portraits, la caméra se place parmi le groupe. Ce groupe fratricide, le spectateur y prend place. Alors certes, le film n'a pas la force de désespoir de Kids ou Another Day In Paradise et il y a parfois des longueurs mais il cogne et ça c'est bien.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 février 2016
    J'en ai vu des trucs glauques et malsains, mais jamais un qui m'a autant fait réagir. J'ai passé tout le long du film à transpirer sur mon canapé et hurler "Mais nooooooon pas comme ça !!!" Vraiment super.
    ferdinand75
    ferdinand75

    551 abonnés 3 872 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2016
    Une ouvre très forte de Larry Clark, plus construite, plus « classique » que certaines autres, car il s’inspire directement d’un fait divers, adapté ensuite dans un roman, et de fait le récit est plus linéaire, plus structuré . Mais on retrouve bien sûr la « patte » et le talent brut de Larry Clarke . Il s’agissait d’une bande de jeunes de la middle class de Floride. Deux copains sont inséparables, mais avec des rôles très caractérisés. L’un , Marty, d’un milieu plus modeste est le souffre douleur de l’autre, Bobby,d’un mileu plus aisé. Il subit des brimades physiques et psychiques à longueur de journée, que lui prodigue son, pourtant, meilleur copain, mâle dominant type. Pourtant Bully trouve une copine et celle- ci ne supporte plus les agressions que subit son chéri. Petit à petit elle va amener le groupe à se révolter et à monter un traquenard au mâle dominant. Mais ils sont tous très jeunes, un peu looser, peu expérimentés et leur plan machiavélique va tourner au fiasco. Le scénario est solide et intéressant mais on notera surtout la maestria de Clark à la réalisation , quelques plans d’anthologie, comme ce plan séquence, panoramique circulaire, où la caméra fait plusieurs fois la ronde à l’intérieur du groupe de copains, qui s’expriment chacun à leur tour, quand la caméra arrive sur eux, absolument diabolique et envoutant. Quelques scènes de rapports sexuels superbement filmés, comme sait si bien le faire Clark, avec la jeune fiancée ( très belle Rachel Miner) qui se regarde dans le miroir, ( évanescente et lumineuse , à la poitrine toute juvénile émouvante) . La direction d’acteurs est comme d’habitude impeccable, les jeunes sont poussés dans leur retranchement, et se donnent à fonds, Larry Clark les « tord » et arrive à chacun de ses films à nous émouvoir au plus profond.Superbe prestation de Michael Pitt qui fera une belle carrière par la suite , ou de la jeune Bijou Philipps, petite diablesse , instigatrice du complot, mais fourbe et veule au final. Les personnages sont bien vus, ils ne sont ni bons, ni méchants, Clarke ne jugent pas , mais nous décrit une situation hors norme, mais qui refléte en même temps le quotidien « très normal »de la vie d’un groupe d’ados , leur sexualité, et de leur relation avec leur paretns, encore une fois magifiquement décrite . Larry Clark , le plus doué pour décrire le côté noir de l’adolescence, le côté « no future », le spleen Beaudelairien. Un film bouleversant et fort.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 septembre 2015
    Je sais pas trop quoi penser de se film, j'ai pas trop aimé, j'ai trouvé l'avant meurtre trop long et j'aurais peu être préférais que l’après meurtre soit plus détaillé. il y a mieux, ma note 2/5
    jthuil
    jthuil

    13 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 septembre 2015
    Quand il réalisait Kids, Larry Clark travaillait un minimum l'image et soignait ses cadrages. Dans Bully, il se contente de filmer à l'arrache à peu près la même chose, à savoir des ados qui passent le plus clair de leur temps à se shooter, à s'envoyer en l'air, à s'injurier et à se taper dessus. Rien de neuf donc, si ce n'est des personnages caricaturaux qui manquent autant de cervelle que de personnalité. La plupart d'entre eux ne sont là que pour aligner des scènes de sexe complaisantes dont le seul effet est de rallonger un film déjà très long. En prétexte à ce gentil bordel, Clark brandit un fait divers des années 90 : des lycéens se vengent de la brutalité d'un de leurs camarades en le supprimant. C'est un peu gros...
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