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videoman29
246 abonnés
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2,0
Publiée le 27 janvier 2014
J'ai eu soudainement envie de revoir ce film culte des années 80 ; je n'en gardais que peu de souvenirs et je comprends pourquoi à la faveur de cette redécouverte. Pour dire la vérité, je me suis copieusement ennuyé pendant le visionnage et je me suis même endormi sur la fin, je crois. Pourtant il y avait matière à faire beaucoup mieux, la vénérable « High School of Performing Arts » est le cadre rêvé pour une comédie musicale et le réalisateur Alan Parker n'a plus besoin de faire ses preuves. Les acteurs sont bons pour la plupart, visiblement impliqués et charismatiques... Mais voilà, la mayonnaise ne prend pas. L'histoire manque de punch, d'émotion et de rythme. La première moitié est assez agréable avec en point d'orgue une très belle chorégraphie pour le titre phare du film, mais ensuite on tombe lentement mais sûrement dans l'ennui jusqu'à la scène finale. Cette dernière redonne bien un peu de peps à l'ensemble mais c'est trop tard. Il faudrait que je revoie la série pour mieux me rendre compte mais peut-être que je serais déçu également !
J'ai vraiment trouvé ce film exceptionnellement nul, c'est une suite de scènes sans liaisons !!! Les seuls passages que j'ai aimés sont les séquences chantées car la BO est vraiment très bien.
Trop long pas assez de danses et en plus assez vulgaire lourd , on ne peux pas considérer Fame comme une comédie musicale , la série est largement mieux,
Trop peu de danses mais bien trop long. La série était tellement mieux. Une déception de la part d'un réalisateur (Alan Parker) dont on attendait beaucoup plus...
Contrairement à "La fièvre du samedi soir" ou à "Grease", Alan Parker disposait pour ce film d'un matériau de départ intéressant et intelligent. Mais, en choisissant d'en faire un film choral, il prenait le risque de la dispersion et on saute effectivement sans arrêt du coq à l'âne sans que le film arrive à nous passionner, quelques trop rares morceaux musicaux arrivent à nous sortir de l'ennui mais ça ne fait pas le compte. Une déception, donc
Je n'avais jamais vu ce film, il était temps. Mais quelle déception, ce film est chiant, les chorégraphies sont très moyennes, et à part la chanson "Fame", le reste ne vaut pas grand chose. Les acteurs ne sont pas extraordinaires non plus, comment ce film a-t-il pu devenir culte? Un mystère pour moi...
Fame est un film sympa sans plus. Finalement pas très emballé par cette comédie dramatique, mêlant aussi film musical. J'ai trouvé l'ensemble un peu fouillis, avec quelques longueurs, une mise en place et une fin moyenne. Seul la B.O accompagne très bien le film et reste l'élément fort de ce dernier. Malgré que ce film est assez diversifié et que l'on passe par tous les états, la joie, la tristesse, la danse, j'ai trouvé que ça manquais de maîtrise pour que cela fonctionne mieux. Hormis les scènes de danses assez bonnes dans l'ensemble. Les acteurs ne sont pourtant pas si mauvais que ça. Petite déception donc bien que ça soit à voir une fois et les musiques cultes restent en tête. Ma note : 5.5/10 !
Malgré le fait que "Fame" prenne désormais une connotation différente depuis le déferlement de TV show genre Star Ac' ou Pop Stars,il n'en reste pas moins un des musicals existants parmi les plus appréciables.En tout cas,bien plus fouillé et réfléchi qu'un "Flashdance" ou un "Footloose".Alan Parker,auteur du très percutant "Midnight Express",nous plonge au coeur de cette école d'art dramatique dans le New York de 1980.Numéros chantés et dansés époustouflants,parfaitement exécutés,avec une direction artistique impeccable.La BO toute entière est entrée au panthéon des musiques cinématographiques cultes,avec le hit "Fame",le fédérateur "What a feeling",l'emballant "Hot Lunch Jam" ou l'émouvant "Out here on my own".Irène Cara illumine l'ensemble de sa grâce et de sa ferveur.Les caractères de ces jeunes idéalistes,bien qu'archétypaux,sont assez approfondis,prenant souvent leurs sources dans leurs difficultés à grandir.Surtout,Parker montre sans détours l'envers du monde du spectacle:réalisateurs lubriques,public récalcitrant,insécurité de l'emploi.Bien moins naïf qu'on pourrait le penser,et souvent enthousiasmant,"Fame" a marqué sa génération,et représente une sorte d'ode aux rêves les plus fous,et à l'esprit de troupe.
Alan Parker s’est fait connaître grâce à son virulent Midnight Express (1978) et a acquis une renommée internationale avec l’excellent Fame (1980) et le sublime Pink Floyd - The Wall (1982). Fame, véritable explosion musicale, tant au niveau des nombreuses chorégraphies (celle du début à la cafétéria, celle dans la rue et la dernière séquence du film) qu’au niveau des chansons (d’où sa récompense : l’Oscar de la Meilleure Chanson !). Une mise en scène soutenue qui nous plonge au cœur de New York, dans les années 80, dans une école artistique publique où tous les milieux sociaux se côtoient. Entre la joie et les nombreux clashs, on suit ces élèves durant leurs quatre années d’étude et de dur labeur, jusqu’au concours final (superbe représentation qui conclut admirablement cette œuvre devenue mythique). Fame vous entraîne dans la danse, et ce jusqu’au générique de fin, sans jamais vous perdre en route.
J'ai vu le remake il y'a trois ans, une horreur ! L'original est beaucoup mieux, dans tout les aspects. Une des meilleures comédies musicales que j'ai vu. Les personnages sont attachant, Ralph notamment.
Etrangement affilié au genre du musical niaiseux style "Flashdance" ou "Dirty Dancing", la faute sûrement aux rares numéros dansés ou chantés (dont la cultissime scène de danse en pleine rue) et à la piètre série télé qui suivie, le "Fame" original est pourtant bien éloigné de sa réputation un peu gnan-gnan de simple comédie musicale pour gamine de quatorze ans. Filmé avec peu de fioritures, dans un style proche du documentaire, le film suit le parcours d'une poignée d'aspirants artistes, certes très typés (le rebelle, le comique torturé, l'introverti, le geek, la vierge...) mais profondément humains et attachants, incarnés par de jeunes comédiens talentueux dont la plupart tomberont malheureusement dans l'oubli (hormis Paul McCrane et, dans une moindre mesure, Irène Cara). Incroyablement lucide, le film d'Alan Parker ne cache jamais la dure réalité d'un milieu précaire et incertain, n'hésitant pas non plus à peindre le New York de l'époque comme une cité tentaculaire, brisant les rêves des moins endurcis. L'ensemble ne tombe cependant jamais dans le pathos ni dans un misérabilisme facile, faisant preuve d'un certain humour et s'achevant tout de même avec une lueur d'espoir, le tout au son d'une bande originale entraînante.