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Observator84
7 abonnés
103 critiques
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2,0
Publiée le 6 mars 2020
Pour moi c'est essentiellement le "Grand rien" qui domine dans ce film ! Il m'a fortement ennuyé, à un degré presque abyssal, ce qui est plutôt approprié en l'occurrence. Je fus totalement hermétique à la subtilité de ce film, le dépassement de soi, les défis à la raison, etc. Tout cela me semble tellement mal traité dans le film que cela en devient anesthésiant. La musique d'Eric Serra, plutôt belle au demeurant, rattrape le coup, en insufflant une touche onirique à cette mise en scène extraordinairement apathique. En outre le récit ne me touche absolument pas, et le film reflète bien ce manque d'intérêt. Un retour à un état embryonnaire pour ce film qui m'a effectivement donné envie de retrouver les paisibles sommeils de l'indigence. Restent quelques jolies prises de vue...
Un film que j'ai revu dernièrement La génération Grand Bleu et mes 20 ans quand le film est sorti. Je connais bien l'île d'Amorgos et les endroits du tournage Le film a laissé des suites incroyables C'est comme ceux qui rêvent d'escalader l'Everest avec tous les dangers que cela comporte Les profondeurs des abysses ne pardonnent pas. c'est de la philosophie et un état d'esprit. Le film est dramatique et accompagné d'une musique qui vous donne envie de plonger. De jouer avec les dauphins. Beaucoup de plongeurs ont perdu la vie après le film. Une déception énorme que vit l'acteur Jean Marc BARR après le visionnage de Génération Grand Bleu Chacun a son Grand bleu , le mien est en Grèce Sans pour cela faire des compétitions ou autres La mer me suffit, les tortues de mer et des fois des dauphins qui ne sont jamais trop loin. et pas seulement Amorgos qui reste le symbole du film mais toutes les autres îles. Ma rencontre avec un plongeur d'éponge à Kalymnos m'a fait revenir dans le film. Il a eu des séquelles graves et m'a raconté son histoire pour faire vivre sa famille. Mon Grand Bleu se mélange avec toutes ses expériences que j'ai connu. Sans caméras et répétitions Amorgos n'a pas changer, sauf l'asphalte sur les routes
L'ayant vu à sa sortie, j'avais gardé le souvenir final du type qui s'envoie en l'air dans les fonds, aspiré par l'inconnu apaisant, sur une superbe musique! Évidemment, étant plus vieille peut-être, je n'ai pas retrouvé ce plaisir, j'ai trouvé les scènes "d'amour" inutiles avec des nunuches qui ne pensent qu'à faire des babys, avoir un chien et s’occuper de la maison, voulant retenir à terre des hommes qui ont la passion de la plongée et qui plus est trouvent dans leur amitié testostéronnée un lien beaucoup plus profond! C'est myso à souhait en plus de ne rien apporter au scénario. Pour la grande scène finale ma mémoire avait concocté un truc plus grandiose, c'est sans doute que la beauté de ce film tient du sujet, de la musique et des images.
Film d'une génération, sorti sans doute à la bonne époque, images et musique prenantes, bon jeu d'acteurs, a voir avec un super son pour bien profiter.
Malgré ses trente ans le film n'a pas vieilli, grâce à une réalisation soignée, le film nous transporte toujours à travers les paysages idylliques des îles grecques et de Sicile, un univers sous-marin poétique qui emporte le spectateur aux cotés des plongeurs.Avec Le Grand Bleu, Luc Besson réalise une oeuvre profondément poétique, un film qui a marqué toute une génération par sa beauté et son casting parfait, Le Grand Bleu a opposé le public et la critique, toujours aujourd'hui le troisième long-métrage de Luc Besson déchaîne les passions, quoi qu'il en soit, Le Grand Bleu est et restera un chef-d'oeuvre. La critique complète à lire ici : https://crazyduckmovies.blogspot.com/2018/05/le-grand-bleu.html
Les dauphins jouent bien, la mer aussi.L'eau est bleue, très bleue, JM Barr est aussi expressif qu'une conque et Jean Reno grande gueule.Le film est long aussi long qu'il a été surestimé en 1988.A j oubliais, j étais ado quand il est sorti et je dois faire partie des 5 pour cents qui considèrent ce film comme une totale imposture depuis 30 ans.
Toujours plus loin dans les couleurs, puis la profondeur, et finalement les ténèbres, de la « grande bleue », telle est la raison d’exister de Jacques « le petit Français » et de son cher ami et rival Enzo « le grand Italien », depuis leur enfance passée au bord de la mer en Grèce spoiler: ; où le père de Jacques perdit tragiquement la vie lors d’un accident de plongée sous-marine.
Une tragédie qui affectera toute la vie de Jacques, plus attiré par le calme et la plénitude de la vie sous-marine que le bruit et le jeu de celle des humains. Homo delphinus, Jacques finira par rejoindre son éternel aquatique, après qu’Enzo y ait lui aussi trouvé la paix et que Johana, sa compagne enceinte de leur enfant (son héritage à la vie terrestre), l’aime assez pour le laisser partir à jamais, guidé par son ange-dauphin, vers cet infini qui est la source de la vie sur Notre Terre-Mère.
Un film d’une beauté sublime qui fit l’évènement à Cannes l’année de sa sortie, avant de devenir l’un des plus grand succès du cinéma français de tous les temps et un film culte de sa génération. Plus de trente ans après, la magie intemporelle de ce chef-d’œuvre opère toujours, et l’on ne se lasse jamais de se laisser attirer, à nouveau, par « Le Grand Bleu ».
Quelle claque ! Ce film n'est pas du tout de ma génération et j'ai évolué dans le monde de la mer totalement indépendamment à ce film que j'ai visionné tard. Lorsque que je l'ai vu, j'étais stupéfait. L'ambiance de l'apnée et de la passion pour l'univers marin est représenté comme aucun film ou documentaire n'a su le faire. Les deux personnages représentent exactement les plongeurs en général: un côté compétitif ,challenger et démonstratif et un autre côté plus poétique, introverti et sensible. L'être et le paraître. Il n'y a qu'en plongeant en bouteille et en apnée que l'on peut mettre du sens à la dernière scène du film; spoiler: en effet, Jacques se laisse mourir à une profondeur ou peu d'être humain ont accès, le dauphin représentant le monde marin auquel il voue une passion sans limite (contrairement à la relation amoureuse qu'il a avec Johanna) et abandonne tout ce qu'il a à la surface, car à cette profondeur, plus rien ne compte à part le bien être ressenti dans son corps et son esprit. Cette sensation est tellement réelle pour nous plongeur (et encore plus pour les apnéistes) que l'on ne peut que comprendre ce magnifique suicide qui liera à jamais Jacques et la mer. On en sourirait presque tellement cette scène est belle et pleine de sens. C'est la seule chose qui compte pour lui, et lorsqu'il est à la surface, il ne pense qu'à replonger . L’interaction que Jacques a avec les autres personnages, très maladroite et parfois étrange n'est juste que la démonstration de sa non aptitude à appartenir à l'espèce humain. Jacques une créature marine à l'apparence humaine totalement incompris. Johanna quant à elle représente bien l'évolution logique de la Femme en générale et est dans l'impossibilité de mettre du sens à la motivation de Jacques pour la vie. Le seul qui arrive à peine à discerner l'essence même de Jacques et son ami de longue date, Enzo, qui partage la même passion mais au sein d'un univers intérieur totalement opposé (ces univers se croise d'ailleurs à certains moment du film, de manière volontaire pour relier les deux personnages). Un film excellent, qui a ses longueurs, mais utiles à la bonne évolution des personnages. Les paysages terrestres et marins sont sublimes. Regardez le si ce n'est pas déjà fait, ce n'est pas une perte de temps!
Excellentissime. Deux êtres incompris des autres par leurs obesssion pour la mer. Leurs mère. Une passion pour la nature quitte a en perdre la vie. Acteurs géniaux et cette bande son qui nous envoûte si loin ... si relaxante. Apaisante. Très beau film de me Besson.
Et bien je ne comprends pas l'engouement autour de ce film. Je me suis ennuyé à mourir et pourtant l'envie et l'excitation étaient là à l'heure de visionner ce prétendu chef d'oeuvre. Je m'attendais à une claque, j'ai eu de l’incompréhension ! L'histoire est archi nulle, il n'y a aucun enjeu. L'action est inexistante, autant regarder un reportage sur le monde marin. Et puis la musique maritime lancinante donne un aspect très bizarre au tout.
Le grand bleu, c'est le rêve d'un frenchy en Grèce ayant connu le drame d'enfance, où a commencé depuis une rivalité amicale avec le grand frère italien, mamamia al dente spaghetti bolognaise. L'instant des années 60 pour le côté rudimentaire sous un soleil ensoleillé marin, la larme facile à verser pour ce super-héros en apnée qui retient son souffle et notre respiration s'estompe jusqu'aux instruments de plongée des années 80. Son cœur bat anormalement fort pour la belle New-Yorkaise, follement amoureuse de cette âme adolescente, un esprit fleurette larmichette du petit frère envers l'Italie. Ça fait carte postale et un billet aller-retour vers ces destinations méditerranéennes, pas de transcendance passé de 1988 à 2019.
Le grand bleu est un film culte de tout une génération ! Et il porte bien son statut, l'histoire est originale, le cast est bon, et le spectateur a envie de suivre l'histoire. Le seul petit couac est que le film est un peu trop long et qu'il aurait pu être raccourci