AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,8
166394 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Le Grand Bleu ?
5
265 critiques
4
187 critiques
3
78 critiques
2
76 critiques
1
50 critiques
0
29 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Fêtons le cinéma
The Big Blue présente l’originalité de ne jamais céder le pas au spectacle d’une rivalité entre les deux champions pour lui préférer une camaraderie qui, au-delà des clichés relatifs aux lieux topiques qui scandent leur relation, partage un même langage secret faisant d’eux des créatures hybrides, mi hommes mi poissons, à l’image du dauphin en somme. Luc Besson investit l’étrangeté de deux êtres qui convertissent leur malheur terrestre tantôt en démesure – le personnage interprété par Jean Reno cabotine, semble lui-même acteur lancé dans un numéro : ses réactions débordent l’entendement, sa gestuelle est exagérée, il a le verbe haut – tantôt en repli intérieur – c’est le cas de Jacques Mayol.
Le cinéaste explore cette communication ineffable par le prisme des textures de couleur bleue, transformant les espaces traversés par les plongeurs en un univers maritime en puissance : volets d’un bois couvert de peinture bleue, filtre bleu lors des scènes de sexe durant lesquelles la caméra parcourt le corps des amants de la tête au pied comme si elle effectuait un mouvement de descente puis de remontée, costume bleu d’Enzo Molinari etc.
The Big Blue s’affirme telle une œuvre aussi inclassable et maladroite que ses protagonistes, alternant lourdeurs d’écriture et moments de bravoure dans la mise en scène – voir à ce titre le rêve final de Jacques, séquence surréaliste saisissante – mais portée par des acteurs charismatiques et par la musique onirique d’Éric Serra. Une anomalie réjouissante dans le paysage cinématographique français et international.
Le cinéaste explore cette communication ineffable par le prisme des textures de couleur bleue, transformant les espaces traversés par les plongeurs en un univers maritime en puissance : volets d’un bois couvert de peinture bleue, filtre bleu lors des scènes de sexe durant lesquelles la caméra parcourt le corps des amants de la tête au pied comme si elle effectuait un mouvement de descente puis de remontée, costume bleu d’Enzo Molinari etc.
The Big Blue s’affirme telle une œuvre aussi inclassable et maladroite que ses protagonistes, alternant lourdeurs d’écriture et moments de bravoure dans la mise en scène – voir à ce titre le rêve final de Jacques, séquence surréaliste saisissante – mais portée par des acteurs charismatiques et par la musique onirique d’Éric Serra. Une anomalie réjouissante dans le paysage cinématographique français et international.
Le film raconte l’histoire (romancée) de deux amis champions d’apnée : Enzo (Jean Reno) et Jacques (Jean-Marc Barr), ce dernier étant le personnage principal. De l’enfance à l’âge adulte, les amis se retrouvent lors des compétitions d’apnée, l’occasion aussi de parler de leur rivalité, de leurs amours (notamment la relation entre Jacques et Johanna / Rosanna Arquette), du lien avec les dauphins pour Jacques.
Le film m’a semblé d’une extrême longueur / lenteur, sans doute pour être dans l’esprit des personnages, mais le temps s’est écoulé beaucoup trop mollement.
Je n’ai ressenti aucune empathie pour Jacques qui, même s’il a connu des drames, m’a semblé être égoïste, j’ai trouvé ridicule sa relation avec les dauphins. Le personnage de Jean Reno est caricatural en italien (!) excessif.
Je n'ai pas accroché.
Le film m’a semblé d’une extrême longueur / lenteur, sans doute pour être dans l’esprit des personnages, mais le temps s’est écoulé beaucoup trop mollement.
Je n’ai ressenti aucune empathie pour Jacques qui, même s’il a connu des drames, m’a semblé être égoïste, j’ai trouvé ridicule sa relation avec les dauphins. Le personnage de Jean Reno est caricatural en italien (!) excessif.
Je n'ai pas accroché.
Un clip océanique sous la musique d'Eric Serra. Derrière les images envoutantes de ce grand bleu, l'histoire nous plonge dans le monde des apnéistes, avec la rivalité fraternelle entre Jacques Mayol (Jean-Marc Barr) et Enzo (Jean Reno), et résonne comme une ode aux profondeurs (et aux dauphins).
Les personnages sont très bien dessinés, celui nos deux plongeurs de l'extrême à la recherche de records ainsi que celui de la journaliste américaine (Rosanna Arquette), image inversée de la sirène mythologique, à savoir une sirène terrestre cherchant à retenir dans son univers quelqu'un attiré par la mer.
Film avec une atmosphère poétique faite de silence et de lenteur, et inévitablement de quelques longueurs, devenu classique des années 80.
Les personnages sont très bien dessinés, celui nos deux plongeurs de l'extrême à la recherche de records ainsi que celui de la journaliste américaine (Rosanna Arquette), image inversée de la sirène mythologique, à savoir une sirène terrestre cherchant à retenir dans son univers quelqu'un attiré par la mer.
Film avec une atmosphère poétique faite de silence et de lenteur, et inévitablement de quelques longueurs, devenu classique des années 80.
A sa sortie, il avait conquis le titre de « film d’une génération ». A l’époque, je ne me reconnaissais pas dans cette génération, j’avais trouvé le film joli mais somme toute assez pauvre dans son contenu. Il imitait bien, marque de fabrique Luc Besson, les grosses productions américaines insipides de l’époque. Cette histoire d’amour impossible entre un apnéiste et une belle américaine accouche d’une fin qui a beaucoup fait parler à l’époque ; un finish ouvert. Et il est vrai que le final est audacieux, mais il ne faut pas non plus lui accorder plus de valeur qu’une fin ouverte non conventionnelle ; dans un film qui lui l’est jusqu’à plus soif. Tout y passe en matière de poncifs, de facilités et de raccourcis ; ce film ne joue pas dans la finesse. La photo est jolie, la musique au diapason des images et l’histoire se suit sans déplaisir malgré tout. Vu en famille avec mon fils de 13 ans, il a rempli le minimum légal de nous intéresser tous.
TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
Je l'avais vu enfant, et je ne l'avais jamais revu parce qu'en grandissant je me suis quand même rendu compte que Besson est un réalisateur qu'il ne faut pas trop regarder passé ses 15 ans, donc je me disais que ce film serait forcément une déception. Mais finalement je l'ai revu et je n'ai pas été détrompé: c'est un effet un beau nanar. Heureusement que le personnage de Reno est vraiment drôle et bien joué parce que le reste... Les scènes de plongée sont bien, et le drame autour de ces scènes est bon, sauf qu'elles prennent quoi, 20 minutes? Et le reste c'est une histoire d'amour mièvre au possible et de l'humour très premier degré racontés avec un mollesse peu commune par des acteurs qui de plus n'y ont pas tous. Mais bon, je suis content de l'avoir revu malgré tout, c'est un film à part, même s'il est très en-dessous de sa réputation.
33 ans après la sortie du film, je le regarde enfin. Que dire, somptueux, tant dans ses images que dans la musique ou le jeu des acteurs. Une pépite.
Caine78
Ça y est : EN-FIN. Oui, j'ai 33 ans, vu des milliers de films et pourtant je ne m'étais jamais plongé (métaphore subtile) dans « Le Grand Bleu », véritable phénomène commercial à sa sortie malgré une presse hostile, permettant à Luc Besson d'écrire son nom en grandes lettres parmi les réalisateurs comptant dans l'Hexagone. Et j'avoue que je suis vraiment partagé. Il y eut des moments où je n'aimais pas beaucoup ce que je regardais, m'ennuyais. En fait, je crois même que je me suis ennuyé une majorité du temps, l'œuvre souffrant de trop nombreux défauts pour viser plus haut artistiquement.
Déjà, ces problèmes d'écriture, notamment dans les personnages, ces difficultés à enlever certaines scènes pourtant très dispensables, rendant le résultat parfois bouffi, et ce alors que l'auteur de « Léon » dit avoir taillé massivement dans le vif (peut-être aurait-il fallu en mettre d'autres à la place...). L'interprétation n'est également qu'à moitié convaincante, le duo Jean-Marc Barr - Jean Reno ne parvenant jamais vraiment à traduire la relation complexe unissant les deux hommes (pas non plus aidés par les dialogues, j'en conviens), au contraire d'une Rosanna Arquette souvent radieuse, dont on a du mal à comprendre la fascination pour cet homme n'en ayant manifestement pas grand-chose à foutre d'elle.
Et pourtant, je peux (en partie) comprendre le succès du film. Même si je suis surpris de voir un public souvent jeune ne pas avoir été gêné par autant de longueurs (certes, ils ont vu la version de 130 minutes, mais quand même!). On peut dire ce qu'on veut de Besson, mais ce mec a le sens de l'image. Aussi maladroite soit-elle, ce dernier réussit à créer une ambiance singulière, parfois hypnotique, que ce soit à travers cette très belle photographie (élégante idée que cette introduction en noir et blanc) et surtout ce travail sur le son impressionnant (au passage, la composition d'Eric Serra se révèle parfois inspirée), cette combinaison proposant une immersion parfois totale avec la mer, ces concours de plongée, finalement (trop) peu présents, montrant des moyens techniques clairement à la hauteur du défi fixé.
Et puis il y a cette fin, là encore grandement raccourcie au montage (pour le coup, c'est un peu dommage, mais confirme mon impression de déséquilibre), offrant des visions puissantes, fortes, laissant entrevoir un réel talent de cinéaste. Finalement (comme cela lui arrivera encore), « Le Grand Bleu » réunit le meilleur et le « pire » de Besson, une œuvre éminemment personnelle, souvent maladroite et un peu vide tant on peut y interpréter presque tout et n'importe quoi. N'empêche, lorsque j'ai enlevé mon casque et suis revenu à la réalité, j'avoue avoir eu du mal à revenir sur la terre ferme, preuve, malgré tout, que l'ami Luc a réussi une partie de son pari.
Déjà, ces problèmes d'écriture, notamment dans les personnages, ces difficultés à enlever certaines scènes pourtant très dispensables, rendant le résultat parfois bouffi, et ce alors que l'auteur de « Léon » dit avoir taillé massivement dans le vif (peut-être aurait-il fallu en mettre d'autres à la place...). L'interprétation n'est également qu'à moitié convaincante, le duo Jean-Marc Barr - Jean Reno ne parvenant jamais vraiment à traduire la relation complexe unissant les deux hommes (pas non plus aidés par les dialogues, j'en conviens), au contraire d'une Rosanna Arquette souvent radieuse, dont on a du mal à comprendre la fascination pour cet homme n'en ayant manifestement pas grand-chose à foutre d'elle.
Et pourtant, je peux (en partie) comprendre le succès du film. Même si je suis surpris de voir un public souvent jeune ne pas avoir été gêné par autant de longueurs (certes, ils ont vu la version de 130 minutes, mais quand même!). On peut dire ce qu'on veut de Besson, mais ce mec a le sens de l'image. Aussi maladroite soit-elle, ce dernier réussit à créer une ambiance singulière, parfois hypnotique, que ce soit à travers cette très belle photographie (élégante idée que cette introduction en noir et blanc) et surtout ce travail sur le son impressionnant (au passage, la composition d'Eric Serra se révèle parfois inspirée), cette combinaison proposant une immersion parfois totale avec la mer, ces concours de plongée, finalement (trop) peu présents, montrant des moyens techniques clairement à la hauteur du défi fixé.
Et puis il y a cette fin, là encore grandement raccourcie au montage (pour le coup, c'est un peu dommage, mais confirme mon impression de déséquilibre), offrant des visions puissantes, fortes, laissant entrevoir un réel talent de cinéaste. Finalement (comme cela lui arrivera encore), « Le Grand Bleu » réunit le meilleur et le « pire » de Besson, une œuvre éminemment personnelle, souvent maladroite et un peu vide tant on peut y interpréter presque tout et n'importe quoi. N'empêche, lorsque j'ai enlevé mon casque et suis revenu à la réalité, j'avoue avoir eu du mal à revenir sur la terre ferme, preuve, malgré tout, que l'ami Luc a réussi une partie de son pari.
"Le grand Bleu" est un film ultra culte et à juste titre, je trouve ce long métrage quasiment parfait. L'introduction nous met directement dans l'ambiance, cette vue au dessus de la mer nous faisant avancer vers le petit Jacques Mayol et son village grec est absolument sublime. Pour couronner le tout, la musique de Eric Serra absolument grandiose nous plonge dans l'univers maritime, une BO aux sons qu'on croirait venus du fin fond des abysses. "Le Grand bleu" est une histoire de confrontation entre deux géants de la plongée: Jacques Mayol (Jean Marc Barr) et Enzo Molinari (Jean Réno). Ces deux hommes ont une relation assez bizarre à la fois amicale mais aussi en compétition permanente pour le record de plongée en apnée. Une histoire d'amour de Jacques Mayol avec Johanna (Rosanna Arquette) vient rajouter un peu de piment à cette ambiance qui semble idyllique en apparance. Les plans filmés sous l'eau où Jacques nage avec les dauphins sont absolument superbes. "Le grand bleu" est un monument du cinéma français et le chef d'oeuvre incontestable de Luc Besson.
film magnifique et mélancolique
petite anecdote marante
"ce film est chiant, n'allez pas le voir" marqué sur la jaquette de la version longue qui dur plus de 3h.
petite anecdote marante
"ce film est chiant, n'allez pas le voir" marqué sur la jaquette de la version longue qui dur plus de 3h.
Je ne peux que m'inscrire en faux contre ces allégations de film culte qualifiant le grand bleu, ce film est simpliste et infantile, il a été désavoué par la personne inspirant le héros (un comble) il n'a eu du succès qu'en France et pas du tout en Italie alors qu'il était censé en avoir, une seule classe d'âge l'a vue, à savoir les 10-15 ans, personne en dehors de cette classe d'âge ne parlait de ce film et dans les 9.2 millions de spectateurs, combien de parents accompagnants et tout simplement de jeunes se sont royalement fait ch... à voir ce navet parce que d'autres leur avaient dit d'aller voir absolument ce chef d'oeuvre!!!
Accueil critique mitigé à sa sortie en 1988 mais succès public incontesté (plus de 9 millions d’entrées en France), le face-à-face entre les apnéistes Jacques Mayol et Enzo Maiorca (mémorables Jean-Marc Barr et Jean Reno) a passionné une génération entière de spectateurs. Sortie un an plus tard, sa version longue étirait le film d’une quarantaine de minutes, le portant à une durée totale de 2h45, ajoutant surtout des séquences consacrées à l’idylle entre Jacques et Johanna – pas forcément la partie la plus réussie du long-métrage. Œuvre très personnelle de Luc Besson, qui connut bien le milieu de la plongée dans enfance, Le grand bleu est d’abord et surtout un hommage à la mer et aux dauphins, magnifié par la musique d’Éric Serra. Dans la lignée d’un Jean-Jacques Beineix – leur style, avec celui de Carax, fut un temps appelé cinéma du look – Le grand bleu est une fresque colorée au ton décalé, mais dans laquelle on peine un peu à s’intéresse à l’action et aux personnages, tant ceux-là semblent glisser sous nos yeux, sans véritable point d’accroche. Ambitieux, attachant mais un peu frustrant.
C'est l'histoire de deux amis d'enfance qui grandissent au bord de la mer et développent une obsession pour elle. Ils sont incapables de se lier à des personnes réelles ils deviennent champions du monde de plongée en apnée et ce film raconte essentiellement leur compétition pour le record du monde. Ce pourrait être un film intense car il est magnifiquement tourné mais il finit par être long, sinueux et absurde. J'ai trouvé Jean Reno formidable dans ce film cependant les autres personnages étaient complètement pour moi invraisemblables. Ces choix de personnages sont également ridicules les femmes étant réduites à des stéréotypes sexistes qui les poussent à devenir facilement obsédées par l'engagement et à courir après les hommes sans raison ou presque. Il y a beaucoup de belles images de dauphins et de lieux océaniques mais si vous voulez voir cela vous pouvez regarder Discovery Channel car il n'y a pas besoin de faire une excuse de 3 heures pour cette histoire. C'est d'ailleurs l'un des seuls films de Luc Besson que je n'aime pas car c'est un peu trop new-age pour moi...
C’est un des films le plus mou que j’ai jamais vu, et il est dans mon top 15 des films favoris !
Le Grand Bleu est un super film qui reste le meilleur film de Luc Besson.
Un film avec une musique tellement éblouissante !
Un jeu d’acteur magistral !
Une Mise en scène extraordinaire ! Le jeu des couleurs est magnifique.
En regard le film, on se relaxe, et même s'il est très lent, c’est voulu.
On veut le revoir encore et encore.
Un film à ne surtout pas manquer !
Les personnages sont attachants, Enzo, joué par Jean Reno (comme par hasard dans un film de Luc Besson🧐🧐)
A pour moi son meilleur rôle. Son autorité et ses manières le représentant tellement.
Jack jouait par Jean-Marc Barr a aussi son meilleur rôle (après, je n'ai pas vu beaucoup de film avec lui) et Johanna joue magnifiquement bien aussi.
spoiler: En le regardant, j’étais persuadé qu'Enzo ou Jack allaient mourir.
spoiler: Et j’ai eu raison malheureusement. Même si ma mort de Jack est superbe, j’étais un peu déçu de celle d'Enzo. Déjà car la scène a un faux Raccord et qu’elle n'est pas super.
spoiler: Par contre celle de Jack... C’est la première fois où je suis sorti d’un film avec tellement d’interrogations. Le choix qu’il fait et la manière est incroyable.
spoiler: Franchement, sa mort est dans mon top 5 des plus belles morts du cinéma. Dernière Mufasa, Jack Dawson et Anakin Skywalker.
Je ne vais pas rester plus longtemps sur ce film, mais pour vous donner envie de le voir, vous devez avoir le temps, être détendu et pas énervé. Concentré et être sur de le regarder en entier.
Il faut le voir, c’est un film culte quand même !
Bref un bijoux Français !
10/10
Publié le 05/03/21
Le Grand Bleu est un super film qui reste le meilleur film de Luc Besson.
Un film avec une musique tellement éblouissante !
Un jeu d’acteur magistral !
Une Mise en scène extraordinaire ! Le jeu des couleurs est magnifique.
En regard le film, on se relaxe, et même s'il est très lent, c’est voulu.
On veut le revoir encore et encore.
Un film à ne surtout pas manquer !
Les personnages sont attachants, Enzo, joué par Jean Reno (comme par hasard dans un film de Luc Besson🧐🧐)
A pour moi son meilleur rôle. Son autorité et ses manières le représentant tellement.
Jack jouait par Jean-Marc Barr a aussi son meilleur rôle (après, je n'ai pas vu beaucoup de film avec lui) et Johanna joue magnifiquement bien aussi.
spoiler: En le regardant, j’étais persuadé qu'Enzo ou Jack allaient mourir.
spoiler: Et j’ai eu raison malheureusement. Même si ma mort de Jack est superbe, j’étais un peu déçu de celle d'Enzo. Déjà car la scène a un faux Raccord et qu’elle n'est pas super.
spoiler: Par contre celle de Jack... C’est la première fois où je suis sorti d’un film avec tellement d’interrogations. Le choix qu’il fait et la manière est incroyable.
spoiler: Franchement, sa mort est dans mon top 5 des plus belles morts du cinéma. Dernière Mufasa, Jack Dawson et Anakin Skywalker.
Je ne vais pas rester plus longtemps sur ce film, mais pour vous donner envie de le voir, vous devez avoir le temps, être détendu et pas énervé. Concentré et être sur de le regarder en entier.
Il faut le voir, c’est un film culte quand même !
Bref un bijoux Français !
10/10
Publié le 05/03/21
histoire classique des rivalités passées, histoire bien ficelé bien monté, paysages superbement filmé, Luc besson maitrise le sujet avec perfection, cela se voit. il " connait', c'est limite sa vie qu'il filme à travers les deux plongeurs. j'en ai connu un en travaillant sur marseille, dans des boutiques de plongée bien connu et il degageait un certain charisme qui ressort bien dans le film. jean Reno joue et surjoue à merveille le ritale, mais le film est trop long, et y a deux trois choses à revoir avec le héros trop obsédé par la mer, et quelques scènes pourries, la musique est magnifique par contre, 5/5
film à voir, apres si vous êtes fan de blockbuster uniquement et que vous avez grandi avec un iphone en main avec peu d''intéret pour le monde qui vous entoure, les odeurs, les senteurs, le bruit des cigales, si vous n'aimez pas la mer, la plongée, la rivalité amicale, les blondes à frange, passez votre tour.
film à voir, apres si vous êtes fan de blockbuster uniquement et que vous avez grandi avec un iphone en main avec peu d''intéret pour le monde qui vous entoure, les odeurs, les senteurs, le bruit des cigales, si vous n'aimez pas la mer, la plongée, la rivalité amicale, les blondes à frange, passez votre tour.
Le décor est magnifique, le film se déroule principalement en Gréce et en Italie, c'est à dire en duex pays maravilleux. Il dure beaucoup mais il est tres interessant le regarder. Un film avec beaucoup de rebondissements puisque les spectateurs ne peuvent pas predire préalablement que est-ce qui va passer. Par ailleurs, "Le Grand Bleu" est une succession d'événements inattendus et les spectateurs vont ressentir differentes sentiments comme amour ou terreur qui change souvent et soudainement.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse