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    Le Grand Bleu
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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 octobre 2007
    Besson boit la tasse ! Tout sonne faux dans ce mega clip interminable : c'est parfois filmé à la truelle, les dialogues (quand ça cause) sont à se tordre, les acteurs (...) inemployés (pauvre Rosanna Arquette). La zik d'Eric Senna remplit la salle en lieu et place de ce qui défile sur l'écran. J'appartenais pourtant à la fameuse "génération Grand Bleu" et l'ai vu à sa sortie en 1988 (je devais avoir 22 ans). Je suis sorti atterré !
    dug99
    dug99

    34 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 février 2011
    C'est marrant certaines personnes ont vu dans ce film une oeuvre poétique culte, moi j'ai eu l'impression d'être dans marineland mais à la place des dauphins des autiste en combinaisons de plongés. A la fin j'étais au bord de la noyade. Sincèrement mieux vaut aller à la plage que de s'infliger ça.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 février 2012
    un film limite irregardable!!! quand a la musique d'eric serra faut vraiment avoir les oreilles pourries pour l'apprecier!! bref du besson pur jus!
    GenveurSquame
    GenveurSquame

    6 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2013
    Chef d'oeuvre obligé pour les passionnés de plongée sous marine comme moi. Tout est superbe, calme, reposant, on a envie d'y être. Jean Reno est grand, comme toujours mais son compère Jean-Marc est plus difficile, et on arrive pas à s'y attacher. Trop discret, un peu fou mais tellement bon plongeur.
    La fin est grandiose, surtout en mangeant des bolos, on s'y croirait vraiment. Dommage pour le personnage de Jean qui clamse sans préavis. Ca fait pleurer mais c'est le jeu...
    christophe M.
    christophe M.

    10 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juillet 2015
    Voici un film mythique qui transporte entre folie rêve et réalité. La musique d'Eric Serra nous résonne plusieurs jours dans les oreilles.
    Alexdrum
    Alexdrum

    9 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2010
    Magnifique histoire, quel film ! C'est même dur d'en parler... Luc Besson a tout de même réalisé une merveille, l'image est... Et les acteurs sont tout simplement géniaux. Très grand film.
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2021
    Ça y est : EN-FIN. Oui, j'ai 33 ans, vu des milliers de films et pourtant je ne m'étais jamais plongé (métaphore subtile) dans « Le Grand Bleu », véritable phénomène commercial à sa sortie malgré une presse hostile, permettant à Luc Besson d'écrire son nom en grandes lettres parmi les réalisateurs comptant dans l'Hexagone. Et j'avoue que je suis vraiment partagé. Il y eut des moments où je n'aimais pas beaucoup ce que je regardais, m'ennuyais. En fait, je crois même que je me suis ennuyé une majorité du temps, l'œuvre souffrant de trop nombreux défauts pour viser plus haut artistiquement.

    Déjà, ces problèmes d'écriture, notamment dans les personnages, ces difficultés à enlever certaines scènes pourtant très dispensables, rendant le résultat parfois bouffi, et ce alors que l'auteur de « Léon » dit avoir taillé massivement dans le vif (peut-être aurait-il fallu en mettre d'autres à la place...). L'interprétation n'est également qu'à moitié convaincante, le duo Jean-Marc Barr - Jean Reno ne parvenant jamais vraiment à traduire la relation complexe unissant les deux hommes (pas non plus aidés par les dialogues, j'en conviens), au contraire d'une Rosanna Arquette souvent radieuse, dont on a du mal à comprendre la fascination pour cet homme n'en ayant manifestement pas grand-chose à foutre d'elle.

    Et pourtant, je peux (en partie) comprendre le succès du film. Même si je suis surpris de voir un public souvent jeune ne pas avoir été gêné par autant de longueurs (certes, ils ont vu la version de 130 minutes, mais quand même!). On peut dire ce qu'on veut de Besson, mais ce mec a le sens de l'image. Aussi maladroite soit-elle, ce dernier réussit à créer une ambiance singulière, parfois hypnotique, que ce soit à travers cette très belle photographie (élégante idée que cette introduction en noir et blanc) et surtout ce travail sur le son impressionnant (au passage, la composition d'Eric Serra se révèle parfois inspirée), cette combinaison proposant une immersion parfois totale avec la mer, ces concours de plongée, finalement (trop) peu présents, montrant des moyens techniques clairement à la hauteur du défi fixé.

    Et puis il y a cette fin, là encore grandement raccourcie au montage (pour le coup, c'est un peu dommage, mais confirme mon impression de déséquilibre), offrant des visions puissantes, fortes, laissant entrevoir un réel talent de cinéaste. Finalement (comme cela lui arrivera encore), « Le Grand Bleu » réunit le meilleur et le « pire » de Besson, une œuvre éminemment personnelle, souvent maladroite et un peu vide tant on peut y interpréter presque tout et n'importe quoi. N'empêche, lorsque j'ai enlevé mon casque et suis revenu à la réalité, j'avoue avoir eu du mal à revenir sur la terre ferme, preuve, malgré tout, que l'ami Luc a réussi une partie de son pari.
    Eselce
    Eselce

    1 390 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2015
    Un bon début, le coup de la pièce est vraiment sympa. Tous les passages avec Jean Reno sont bons. Le reste est un peu ennuyeux. Les personnages sont mous et peu attachants. C'est un film un peu passé à mon goût, même s'il est bien :) 1 pour la scène avec le belge dans le sous-marin.
    Hotinhere
    Hotinhere

    549 abonnés 4 957 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 décembre 2021
    Version romancée de la vie de Jacques Mayol, champion du monde de plongée en apnée. Un film magnifique, servi par une somptueuse mise en scène faîte de plans larges, de vertigineuses séquences sous-marines et bercé par la musique envoûtante de Serra. Culte !
    dougray
    dougray

    238 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 octobre 2014
    L’un de mes plus grands retards cinématographiques et l’un des grands classiques du 7e art français… et au final, un film particulièrement difficile à juger aujourd’hui. Car "Le Grand Bleu" a été, avant tout, une expérience cinématographique à vivre sur grand écran suivi d’un phénomène de société… soit autant de raison de rester un peu sur le bas côté, près de 25 ans après. Le problème est d’autant plus saisissant que le film est particulièrement caractéristique du cinéma des années 80. Que reste-t-il, aujourd’hui, du "Grand Bleu" ? Incontestablement, une qualité formidable de la photographie, le réalisateur Luc Besson ayant tout particulièrement soigné ses images et ses décors. La chaleur des paysages tranche, ainsi avec le froid abyssal des profondeurs marines. Cette rupture de ton et de son, à chaque fois qu’un des protagonistes plonge, est pour beaucoup dans le sentiment d’immersion du spectateur… au point qu’on ne peut que comprendre que le film ait favorisé la pratique de la plongée lors de la sortie. Idem pour la BO signée Eric Serra, d’une élégance telle qu’elle est rentrée, depuis, au Panthéon des musiques cultes. Malheureusement, une fois ses qualités rappelées, je dois admettre que j’ai, malgré tout, été plutôt déçu par "Le Grand Bleu". La mise en scène, pour commencer, ne fait pas l’économie de quelques maladresses (la mort du père aurait pu être mieux mise en exergue, la scène hot est typique des productions de l’époque…). Le scénario, pour continuer, est assez basique même si la rivalité professionnelle entre ses deux amis (et la façon si différente dont ils la vivent) est plutôt intéressante. Car, au final, et passé le côté fun des scènes d’apnée, il faut reconnaître qu’il ne se passe pas grand-chose dans le film, si ce n’est le parcours du héros, dont on peine à comprendre les motivations. Ce personnage de Jacques Mayol symbolise, à mon sens, tout le problème du film. Interprété par un Jean-Marc Barr (intronisé superstar contre son gré à la sortie du film) proche de l’autisme, Mayol décontenance par son attirance pour la mer et son incapacité à créer des liens forts avec des êtres humains, sans pour autant que ce comportement soit vraiment expliqué (si ce n’est par le biais de son traumatisme d’enfance). Ce n’est pas tant que ce parti-pris soit une erreur mais j’avoue avoir eu beaucoup de mal à ressentir une quelconque empathie pour le personnage. J’ai préféré le personnage d’Enzo Molinari, campé par un Jean Reno amusant et charismatique mais terriblement cabotin (ah cet accent !). Une fois encore, le film vaut essentiellement par la rivalité entre les deux personnages et cette volonté de dépassement de soi qui va conduire à leur perte (ou à leur salut, selon les interprétations). Quant à Rosanna Arquette, elle a beau être extraordinairement craquante, elle n’en demeure pas moins terriblement nunuche et incompréhensible dans son coup de foudre pour Mayol. Du reste du casting, on retiendra essentiellement l’excellent Paul Shenar puisque les autres seconds rôles sont franchement sacrifiés (Jean Bouise en tête). Difficile donc de juger objectivement "Le Grand Bleu" de nos jours mais, au final, et malgré tous ses défauts, le film reste l’une des rares productions des années 80 à bénéficier d’une image aussi élégante et a permis la découverte du monde méconnu de l’apnée et des profondeurs.
    mistermyster
    mistermyster

    56 abonnés 1 271 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 novembre 2020
    Voilà un film qui nous réconcilie avec le grand cinéma, alors, après temps d'année, le film n'a pas pris une ride, il est intemporel, la musique ultra pointu, que l'on connait par cœur souligne chaque plan, chaque scènes. Très rapidement contesté, le film a remporté un grand succès public, c'est vraiment jubilatoire de le redécouvrir.
    La première partie assez légère, avec des situations cocasses et un Jean Reno extraordinaire, mais le jeu de Jean Marc Barre est tout aussi époustouflant, et bien sûr, Besson sait choisir ses héroïnes, là, il ne se trompe pas avec Rosanna ARQUETTE, qui jour les Américaine ingénue et ravissante à souhait. La seconde partie sur un ton plus grave, on entre dans le monde de Barr, plus profond et sombre. Un film poétique, réussit de bout en bout.
    Dora M.
    Dora M.

    64 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 décembre 2021
    Le film raconte l’histoire (romancée) de deux amis champions d’apnée : Enzo (Jean Reno) et Jacques (Jean-Marc Barr), ce dernier étant le personnage principal. De l’enfance à l’âge adulte, les amis se retrouvent lors des compétitions d’apnée, l’occasion aussi de parler de leur rivalité, de leurs amours (notamment la relation entre Jacques et Johanna / Rosanna Arquette), du lien avec les dauphins pour Jacques.
    Le film m’a semblé d’une extrême longueur / lenteur, sans doute pour être dans l’esprit des personnages, mais le temps s’est écoulé beaucoup trop mollement.
    Je n’ai ressenti aucune empathie pour Jacques qui, même s’il a connu des drames, m’a semblé être égoïste, j’ai trouvé ridicule sa relation avec les dauphins. Le personnage de Jean Reno est caricatural en italien (!) excessif.
    Je n'ai pas accroché.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 359 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2018
    Le 11 mai 2018, « Le Grand Bleu » fêtera ses 30 ans. Projeté en avant-première sur la croisette de Cannes, le film aux dix millions d’euros s’est fait hué et sifflé par les spectateurs présents. Pourtant l’œuvre rencontrera un succès phénoménal en salle avec près de 9,2 millions de spectateurs français et reste aujourd’hui considéré comme un l’une des plus grandes réussites du cinéma français. Le film de Luc Bessoin s’inspire de la vie de Jacques Mayol, un célèbre champion de plongée en apnée. Il est ici incarné par Jean-Marc Barr et Jean Reno y joue Enzo Molinari, ami et concurrent de Jacques. « Le Grand Bleu » retrace leur enfance et ces paris fou de descendre à 60 mètres, puis 100 et enfin 105 mètres de profondeur. Grâce à une photographie époustouflante, Le Grand Bleu prend tout son sens. Avec ses 2h43 de récit, le long-métrage s’éternise néanmoins beaucoup trop sur la relation amoureuse entre Jacques et Johanna. « Le Grand Bleu » n’est pas un chef d’œuvre mais est devenu culte avec le temps et son sujet passionnant.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    351 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 août 2017
    Jacques Mayol, l'homme qui vivait avec les dauphins, amoureux de la mer et attisé par l'appel des profondeurs. Celui qui trouve la quiétude et la sérénité au fond des océans, dans l'obscurité écrasante, là où personne n'oserait séjourner. Le Grand Bleu, 1988, culte de son époque, marquant les débuts de Luc Besson. Un talent déjà plus qu'évident. Sa touche américano/française était déjà très remarquée. Cette odyssée marine met en avant deux hommes, amis et adversaires de longue date, apnéistes d'exception, lors d'une compétition de plongée. Ceci n'a rien d'un grand spectacle bourré d'effets spéciaux, c'est une expérience inédite, apaisante, et que la musique atmosphérique d'Eric Serra rend encore plus envoûtante. Jean-Marc Barr et Jean Reno sont dans la force de l'âge, leur interprétation est donc très engagée, habitée. Deux acteurs diamétralement opposées: Le côté lunaire de l'un contraste à merveille avec la fougue et la truculence de l'autre. Le cinéaste met en œuvre son talent à sublimer de magnifiques scènes subaquatiques, où les mouvements paraissent aériens et où le chant des cétacés résonne. L'amour l'emportera t'il sur le besoin de liberté, l'amitié, sur la compétition? difficile à dire lorsque l'égo est en péril. Un film qui ne vieillit pas et qui se regarde avec une joyeuse nostalgie, mais dont les longueurs effacent l’intensité de manière significative. Les 2h30 sont parfois interminables. Une défaillance qui lui coûtera sa place de chef d’œuvre. Dommage. Mais cela n'enlève rien au cinéma d'un des plus grand cinéaste français. 4/5
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2021
    Accueil critique mitigé à sa sortie en 1988 mais succès public incontesté (plus de 9 millions d’entrées en France), le face-à-face entre les apnéistes Jacques Mayol et Enzo Maiorca (mémorables Jean-Marc Barr et Jean Reno) a passionné une génération entière de spectateurs. Sortie un an plus tard, sa version longue étirait le film d’une quarantaine de minutes, le portant à une durée totale de 2h45, ajoutant surtout des séquences consacrées à l’idylle entre Jacques et Johanna – pas forcément la partie la plus réussie du long-métrage. Œuvre très personnelle de Luc Besson, qui connut bien le milieu de la plongée dans enfance, Le grand bleu est d’abord et surtout un hommage à la mer et aux dauphins, magnifié par la musique d’Éric Serra. Dans la lignée d’un Jean-Jacques Beineix – leur style, avec celui de Carax, fut un temps appelé cinéma du look – Le grand bleu est une fresque colorée au ton décalé, mais dans laquelle on peine un peu à s’intéresse à l’action et aux personnages, tant ceux-là semblent glisser sous nos yeux, sans véritable point d’accroche. Ambitieux, attachant mais un peu frustrant.
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