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    Croix de fer
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    135 critiques spectateurs

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    trinitron
    trinitron

    22 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 janvier 2016
    Un must, un des trois ou 4 films qu'ils faut avoir vu sur la seconde guerre mondiale. Pas du tout dans l'esprit hollywoodien des films actuels. blood and guts !
    cylon86
    cylon86

    2 544 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2015
    Budget serré, tournage qui faillit être interrompu, "Croix de fer" ressemble à un nouveau chemin de croix pour Sam Peckinpah, déjà habitué à certains problèmes lors de la réalisation de ses films. Ici, il nous amène du côté allemand en 1943, sur le front Russe. C'est l'une des rares (mais tout de même pas la seule) fois où le cinéma américain s'aventure du côté de l'ennemi pour nous montrer un film de guerre qui prend aux tripes et qui décrit la réalité du front avec réalisme et violence. Face au sergent Steiner, baroudeur méprisant les nazis et les officiers mais faisant son devoir se trouve le capitaine Stransky, aristocrate prussien prêt à tout pour avoir la Croix de Fer mais qui n'est qu'un lâche. La confrontation de deux idéaux dans ce contexte violent où les Allemands envisageaient la défaite est passionnant et ne manque pas de donner à ce film une certaine beauté mélancolique malgré toute la violence qu'il recèle. Parmi ce casting impressionnant (Maximilian Schell, James Mason, David Warner), on retiendra surtout James Coburn, dont la gueule buriné fatiguée n'est pas prêt de se laisser oublier.
    Incertitudes
    Incertitudes

    210 abonnés 2 321 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 avril 2013
    Unique film de guerre du grand Sam Peckinpah que l'on connaît surtout pour ses westerns, Croix de fer est un film marquant à plus d'un titre. Déjà par sa genèse. Peu de moyens, scénario maintes fois remanié, tournage en Yougoslavie, Peckinpah est, en outre, à la fin de sa carrière, rongé par la drogue et la colère. Pour le film, le cinéaste de la violence n'a pas usurpé son titre. Les balles pleuvent, les corps tombent, même des enfants sont abattus. Nulle complaisance de la part de Peckinpah qui filme la guerre comme elle l'est : boue des tranchées, corps qui finissent dans des barbelés, écrasés par des tanks, crasse, maladie, diarhée, peur, solitude, viols. Et de manière étonnamment authentique (des armes d'époque ont été utilisées, pareil pour les chars) et moderne pour un film datant de 1978, tourné souvent caméra à l'épaule. Et toujours les fameux ralentis durant les scènes d'actions, le sang qui gicle, procédé que reprendra Kubrick 10 ans plus tard pour Full Métal Jacket. Donc au vu de cette violence présente dans tout l'ensemble de l’œuvre de Peckinpah, d'ailleurs Croix de fer est sans doute le plus violent de ses films, on pourrait penser que le cinéaste était en faveur de la guerre. Et non, c'est tout le contraire. Conscient que les premières victimes sont les soldats et les populations, à travers du chef de peloton Steiner (James Coburn), il en dresse toute l'absurdité : des soldats n'en ayant plus rien à faire du führer mais se battant pour leurs survies ou pour gagner une récompense. Croix de fer est un grand film de guerre, violent, éprouvant, sale, d'une qualité qui va de pair avec la dureté du film.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mai 2020
    En 1977, Sam Peckinpah est au plus mal avec les studios hollywoodiens et il éprouve de plus en plus de difficultés à monter ses projets. Il ne lui reste que deux films à réaliser et sa santé est déjà très chancelante. C'est donc un homme amer et en révolte qui s'envole avec son équipe de tournage en Yougoslavie pour cette "Croix de fer" qui fera la somme de toutes ses préoccupations . Si son cinéma est réputé violent, Peckinpah est viscéralement contre la guerre qui est la pire invention de l'homme. Il va l'illustrer brillamment malgré le peu de moyens dont il dispose en se plaçant délibérément du côté des vaincus, ce qui reflète sans doute son état d'esprit du moment alors même que son combat contre les moguls l'a rendu presque exsangue. Dans le bourbier du front russe qui sonne le glas de la macabre aventure nazie, pendant que chacun lutte pied à pied pour sa vie , certains continuent à mener des combats personnels. A travers ce paradoxe, Peckinpah résume toute la vacuité de l'âme humaine qui spoiler: conduit un capitaine à venir sur un front qui s'écroule pour récolter la "Croix de fer" qui lui permettra de rentrer dans sa famille d'aristocrates la tête haute. S'engage alors entre le Sergent Steiner (James Coburn) et le capitaine Stansky (Maximilien Schell) une opposition qui traduit toute l'immensité du gouffre qui sépare la classe dirigeante des classes laborieuses. Steiner peu convaincu de l'idéal nazi, tente au-delà de sa propre survie de préserver celles des hommes dont on lui a confié le commandement,
    mais la guerre et l'aura qu'elle lui procure lui font repousser les limites de son humanité . Stansky lui aussi assez éloigné de la doctrine et persuadé de la supériorité de sa condition fait peu de cas du sort des hommes de troupes au nom de sa quête inutile. Peckinpah n'oublie rien de tous les sentiments qui peuvent animer les hommes en temps de guerre, des plus nobles aux plus vils. Eloigné du front pour blessure, Steiner n'a plus d'autre horizon que celui du front où sont encore ses hommes et la belle Santa Berger ne pourra rien faire pour le retenir. Ce désarroi des hommes au retour du front aura été souvent décrit par la suite dans les films évoquant la déroute yankee au Vietnam. On ne fait jamais la guerre pour de bonnes raisons c'est la leçon tirée par Peckinpah. Le grand réalisateur illustre son propos par la vision de la chute des corps au ralenti selon le procédé qu'il inaugura avec "La horde sauvage". La démonstration avait déjà commencé dès le générique avec le contraste saisissant des images d'archives sur fond de comptine enfantine montrant les dignitaires nazis en parade face au résultat morbide de leur politique. Au combat les barrières sociales finissent par tomber, c'est par cette maxime que Peckinpah conclut son film en laissant ses deux héros partir ensemble vers la mort pour chercher cette fameuse "croix de fer" dérisoire. Les acteurs sont tous sublimes au service du maître, de James Coburn minéral à souhait en passant par James Mason en colonel pétri de l'honneur prussien jusqu'au sublime Maximilien Schell jouant merveilleusement ce capitaine de pacotille à l'homosexualité refoulée, sans parler de la très sensuelle Santa Berger qui ne parviendra pas à raisonner le sous-officier démobilisé.
    kibruk
    kibruk

    149 abonnés 2 579 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 novembre 2023
    "Croix de fer" m'avait fait très forte impression quand je l'avais découvert il y a quelques années. Sa trame narrative est passionnante. Elle oppose des soldats démoralisés d'une armée en pleine débâcle et ne cherchant plus qu'à sauver leur peau, à un officier lâche voulant trouver la gloire personnelle dans tout ce cahot, quitte à l'usurper. Excellentes aussi certaines scènes qui restent gravées dans les mémoires (et ont sans doute fortement inspirées des films plus récents comme "Il faut sauver le soldat Ryan"), comme celle de l'attaque des chars, ou celle plus troublante de la "rencontre" avec des femmes soldats russes. Le propos est donc très riche, surtout pour un film de guerre pur et dur qui laisse une place très conséquente aux scènes de combats. Comme à son habitude, Peckinpah fait un film très violent, surtout pour l'époque, et cette violence est représentée de façon très réaliste mais aussi très graphique avec bon nombre de ralentis. Et cette façon de réaliser, qui a ouvert des portes au début des années soixante dix, se révèle quelques années plus tard quelque peu vieillotte et dépassée (pour mémoire "Apocalypse Now" est sorti en salle l'année suivante), donnant le sentiment de voir un film daté. Malgré cela, le spectacle de furie et de sang est si impressionnant, le scénario tellement bien écrit, que "Croix de fer" est placé dans mon top trois des films de guerre (avec "Apocalypse now" et "Full metal jacket").
    Stardust 46
    Stardust 46

    2 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2022
    Des scènes de combat très réalistes donc réussies ainsi qu'un Coburn charismatique suffisent déjà à passer un bon moment mais je n'ai pas ressenti ce truc en plus. Rajouté à celà le fait qu'on s'ennuie par moment et qu'on a une impression d'une spoiler: fin pas terminée
    , cela donne un très bon film de guerre qu'il faut avoir vu mais pas un chef d'œuvre même si un petit quelque chose en plus aurait pu en donner un.
    Béatrice G.
    Béatrice G.

    86 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2014
    En bon film de guerre digne de ce nom, on ne nous épargne pas les images chocs -mais attention: réalisées de main de maître- ça tire, ça explose, ça charge, ça poignarde, bref c'est violent, brut, fort et les amateurs de bidoches saignantes apprécieront, mais ce n'est pas gratuit. En effet, Croix de Fer offre un message, une idée se demarquant par sa pertinence et son originalité et c'est bien là toute sa force. Alors oui, on critique l'absurdité et l'horreur de la guerre et de ses exactions (enrôlement d'enfants, massacres de prisonniers, viols des femmes,...): à l'Est rien de nouveau -quoique ça a sans doute rarement été fait avec un tel pessimisme voire nihilisme! Déjà il faut noter qu'ici les "gentils" ce sont les allemands, chose assez rare, et on en profite donc pour établir au passage qu'apparemment tous les soldats de l'armée allemande (du trouffion de base à l'officier supérieur) n'étaient pas de vils nazillons zélés (dingue hein?!). Mais bien sûr ce qui occupe le centre des débats c'est cette opposition formidable entre un officier aussi ambitieux que pleutre et un sous-officier désillusionné presqu'anarchiste, compétent et respecté de ses hommes, opposition qui donne une dimension plus personnelle, sorte de petite histoire dans la grande Histoire, même si sa portée transcende à n'en pas douter aussi bien les frontières que les époques (car malheureusement le supérieur hierarchique incompétent est universel). Croix De Fer c'est donc un grand casting, un grand réalisateur, un grand film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 septembre 2014
    Le capitaine Stransky (Maximilien Schell) est un officier de l'aristocratie allemande, muté à sa demande sur le front russe. Son arrogance et son ambition sont démesurées. Son autorité n'a d'égal que sa vanité. Son seul souci est de gagner la croix de fer et il s'attire vite l'animosité de ses hommes, en particulier, celle du caporal Steiner (James Coburn). Voilà deux hommes que tout oppose, un vrai soldat expérimenté au caractère bien trempé mais humain (Steiner) face à un officier présomptueux aux principes rigides. Sam Peckinpah est un habitué des confrontations musclées avec quelques mises en scènes violentes comme l'attaque des russes sur le retranchement allemand. Il ne faut pas s'attendre à du grand spectacle avec des batailles impressionnantes, le scénario reposant principalement sur le comportement d'un combattant courageux. Le devoir et le patriotisme n'ont pas le même sens selon les individus. Peckinpah s'attache à montrer également le désarroi des hommes dans des conditions inhumaines. Citons James Mason dans un rôle secondaire, mais non négligeable, en incarnant un colonel juste mais aux ordres. Excellent film.
    Buzz063
    Buzz063

    79 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2010
    Compte tenu du pessimisme de Peckinpah et de sa description continue de la part de violence hinérente à l'homme, il n'est pas surprenant que le metteur en scène se frotte au film de guerre. Film ambitieux, nihiliste et brûlot antimilitariste, le film suit une unité de l'arméé allemande sur le front russe en 1943. Le fait qu'aucun des personnages ne soit américain est d'ailleurs exeptionnel dans un film de guerre US. Le personnage principal, campé par un imposant James Coburn, est interessant par sa psycholgie complexe. Désabusé, il méprise ses supérieurs hiérarchiques sans s'en cacher et ne peut pourtant s'empêcher, par devoir envers ses hommes, de retourner au front après un séjour dans un hôîtal militaire. Sa rivalité avec son supérieur, officier issu de l'aristocratie, prêt à toutes les bassesses pour obtenir la croix de fer que Coburn, pourtant simple segent, a obtenu, rend le film passionant. Peckinpah offre des séquences de combats très réalistes par leur violence et leur cruauté et dont la force est amplifiée par la mise en scène du réalisateur qui filme au plus près de ses personnages, parfois même caméra à l'épaule. Le cinéaste capte quelques images inoubliables par leur puissance visuelle, et la dernière scène du film reste encore aujourd'hui la meilleure description de l'absurdité de la guerre qu'on est eu l'occasion de voir au cinéma.
    carbone144
    carbone144

    94 abonnés 775 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2014
    Un très bon film de guerre d'un point de vue assez rare (allemand). Le style Peckinpah est toujours présent, notamment avec ses ralentis, l'abondance de violence et de mort qui rôde dans ces films, une noirceur impressionnante. Il n'est question ici que de psychologie humaine à travers la boucherie de front de l'ouest ce qui diffère des films de guerre-histoire racontant diverses batailles, que l'on retrouve encore jusqu'à cette époque.
    Rémi V
    Rémi V

    10 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 décembre 2012
    un chef d'oeuvre absolu, de la première à la dernière image... les dernières sont d'ailleurs absolument bouleversantes... beaucoup plus qu'un film de guerre, un grand film moral, éthique... une grande leçon contre les puissants, tous ceux qui légitiment la guerre pour de bonnes ou de mauvaises raisons (aucune raison ne justifie la guerre); un grand film contre l'héroïsme, contre la connerie humaine, contre l'humanité qui ne pense qu'à anéantir l'humanité. un grand rire sarcastique qui fait froid dans le dos, parce qu'après cette guerre "qu'est-ce qu'on fera ? une autre guerre" et parce que "quand on enlève un uniforme, il y a toujours un autre uniforme"... merci sam
    Antn D
    Antn D

    11 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 octobre 2009
    Croix de Fer est tout simplement l'un des meilleurs films de guerre jamais filmés, ainsi qu'un instant de grâce dans la carrière de Peckinpah, qui toujours lorgna du côté de ce genre. Visionnaire dans tous les aspects de sa réalisation - ralentis, zooms, répétitions, analepses, jeux sur les intérieurs et les extérieurs, ruptures contrôlées dans le montage - Croix de Fer offre au genre un scénario véritablement simple et orignal. Ici, pas de discours sur les horreurs de la guerre, sur l'inhumanité du nazisme, sur la barbarie ordinaire des soldats au front; pas de concepts; pas de didactisme à la noix: tout passe dans le mouvement de l'histoire, dans la lâcheté, le découragement, la nausée des personnages. L'affrontement de Coburn et de Schell, jusqu'à la folie, sous le regard de James Mason s'inscrit de plein droit dans la légende dorée du cinéma de guerre. Croix de Fer restera une oeuvre géniale jamais égalée par qui que ce soit. A voir et à méditer toute sa vie...
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2023
    Un film de guerre pas si facile. Nombre de scènes de bataille longues et sanglantes.
    Le genre n'est pas du tout ce que j'aime mais il faut reconnaître une histoire tendue et une réflexion intéressante sur la guerre.
    Redzing
    Redzing

    1 145 abonnés 4 494 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 janvier 2021
    « Cross of Iron » fait partie, encore aujourd’hui, des rares films de guerre se déroulant sur le front Est, et des (encore plus) rares films anglophones à se dérouler exclusivement du côté des Allemands ! On s’intéresse ainsi à quelques militaires de la Wehrmacht en 1943, alors que l’Allemagne est en pleine débâcle face à l’URSS. S’opposeront Steiner, un sous-officier excellent soldat mais complètement désabusé, et Stransky, capitaine issu de l’aristocratie prussienne qui ne cherche qu’à gagner facilement la Croix de Fer, prestigieuse distinction allemande. Sam Peckinpah livre là un film viscéral, violent, et réaliste, véritable uppercut en 1977, qui fait encore largement son effet de nos jours. Photographie teintée de vert évoquant des combattants pataugeant dans la crasse, gros travail sur les armes et les costumes, violence graphique prononcée montrant la barbarie du conflit, évocation des exactions commises (viols, exécutions de prisonniers) : le film traite sans gant blanc des difficultés du front russe. Sans compter une mise en scène inspirée. Le réalisateur utilise ses effets de montages chéris (ralentis entrecoupés avec des contre-champs…) et occasionnellement une caméra à l’épaule (procédé original à l’époque !) pour monter la confusion et l’ébullition qui règne au sein des combats. Peckinpah est par ailleurs très loin de choquer pour choquer, s’intéressant réellement à ses personnages. On retrouve une excellent James Coburn en soldat dont l’efficacité cache ses relents d’humanité, et dont le cynisme trouve son paroxysme dans ce conflit qui n’a plus de sens politique. Maximilian Schnell semble quant à lui s’amuser en interprétant cet officier hautain et sûr de lui, qui aboie de la propagande pour masquer des ambitions purement personnelles… et son incompétence flagrante. A travers sa volonté d’avoir la Croix de Fer à tout prix, le scénario évoquera le sens des décorations dans une guerre où la survie prime sur tout le reste, quitte à faire preuve de sauvagerie. Le scénario traite également du sujet de l’Allemagne au bord de la défaite, dont les militaires s’interrogent sur la manière de reconstruire un pays ayant causé tant de mal. « Cross of Iron » est ainsi un classique percutant du film de guerre.
    Yetcha
    Yetcha

    894 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2015
    Même si un coup de vieux est à noter sur la réalisation, la photographie et le jeu d'acteurs pour la plupart des personnages, on a ici un pamphlet anti-guerre très acéré et qui prend la dimension psychologique du conflit, et cela côté allemand. Intéressant, libre et dur.
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