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Fabios Om
52 abonnés
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1,0
Publiée le 4 mars 2022
Crocodile durée ou l'on des film les plus culte , les plus connue des années 80 dont tous le monde . Je m'attendais donc à quelque chose d'extraordinaire maos finalement totalement déçu et je trouve même que c'est nul mais à un point un des plus nul des année 80 . Un film l'on pas toujours compréhensible , hisotre pas du tout intéressante , casting nul qui n'a aucun talent pratiquement, film pénible à regarder et d'une lourdeur infinie . Aventure qui n'est pas du tout au rendez vous car si ça c'est de l'action ou aventure alors que c'est n'est pas le cas il ne faut pas mettre Indiana Jones dans le terme aventure car sinon sa sera trop bon pour eux. Le film n'est pas non plus une comédie car c'est pas drôle , lourde , misogyne aussi alors vraiment pas du tout passer un bon moment . Peut être un des pire des année 80 je ne comprend décidément pas tous le tapage médiatique autour de ce film, et pourquoi tous le monde en parle tous les film du monde sont pratiquement mieux .
résumer :
Crocodile Dundee alias Michael J. est un aventurier qui hante les vastes étendues du Bush australien : repas de lézards, larves et fourmis, rencontres inopinées avec des serpents et crocodiles... Elevé par une tribu d'aborigènes, il "zone" dans ces terrifiantes contrées comme un poisson dans l'eau. Sue Charlton, ambitieuse journaliste américaine, découvre l'homme sauvage et veut à tout prix faire un scoop. Elle finit par le rencontrer, l'emmène à New York, succombe à ses charmes et le suit pour le meilleur et pour le pire...
Un film sympathique et dépaysant dans sa première partie, qui bénéficiera surtout du travail de ses comédiens (pleins de fraîcheur et de décontraction) plus que d'une écriture qui joue la carte de la facilité dans ses gags, tout comme le scénario qui s'avère des plus limités. Il y a un je ne sais quoi de charmant qui conserve son attrait au film, malgré les années et la relative légèreté dans le traitement de son sujet.
Le film fut un triomphe au box office l'année de sa sortie. Depuis il est devenu culte. C'est une oeuvre typique des années 80 qui a vraiment bien vieilli. Le personnage de "crocodile dundee" est très réussi, campé par un Paul Hogan parfait en baroudeur intrépide. Son arrivée à New York donne lieu à de bons moments fort drôle. C'est un vrai bon divertissement familial. A voir ou revoir.
Un film plutôt sympathique, qui nous fait penser à une sorte de Tarzan, l'histoire de Mick Dundee qui est rescapé d'une attaque de crocodile, suscite l'intérêt d'une journaliste de New York. Quand elle arrive sur elle découvre les paysages et les cultures locales. Puis elle propose par la suite à Mick de venir à New York avec elle. Quoi de plus classique comme histoire, mélangeant même l'amour. Paul Hogan a ce côté attachant avec son personnage. Les notes d'humour rajoute encore plus de sympathie. Un bon film où on en prend plein les yeux.
C'est très faiblard ce film. Cet énorme succès surprise des années 80, presque oublié aujourd'hui. Et ça se comprend un peu vu la pauvreté du scénario, des gags et du rythme sous Valium. Quelques clichés inévitables et une fin convenue. Reste quelques rares bonne idée mais trop peu nombreuses pour sauver ce film de la médiocrité.
Nanar culte pour certains. Perso je trouve qu'il a terriblement mal vieilli malgré le côté divertissant dans l'ensemble : des gags lourds et qui ne fonctionnent plus trop aujourd'hui, une ambiance très kitsch ancrée dans les années 80, etc.
Crocodile Dundee est un film plutôt plaisant et original des années 80. Le succès et le statut culte de ce film n'est pas complètement surprenant dans la mesure où ce film sort pas mal du lot. Véritable publicité non-dite d'une heure trente de la part du Ministère du Tourisme Australien, le film dépeint des décors absolument magnifiques du pays des kangourous et les décors sont un point fort du film. Toute l'Australie dans tout ce qu'elle a de plus sauvage est montrée à l'écran. Les deux acteurs sont plutôt bons et l'alchimie entre les deux personnages marchent très bien (Paul Hogan et Linda Kozlowski étant en couple dans la vraie vie, cela se ressent à l'écran). Après, le film n'offre pas forcément beaucoup de surprise sur l'évolution de la relation entre les deux personnages, mais cette relation reste attachante. Film assez sympa.
Grand succès public à sa sortie, cette version moderne du sauvage (même s’il s’agit ici d’un aventurier) parachuté dans la Grande Pomme n’a pourtant rien de formidable. Durant une première partie qui cherche son rythme, son ton mais aussi ses personnages (Mike Dundee, on ne comprend pas bien pourquoi, paraît aussi bien un vrai baroudeur qu’un affabulateur), seuls les superbes paysages australiens surnagent. La deuxième partie qui envoie notre héros aux États-Unis est tout aussi bancale mais un peu plus amusante. Passé le choc des civilisations (la découverte, par exemple, du bidet dans l’hôtel de luxe où on l’a placé), on creuse le sillon ouvert par « Tarzan à New York » tout en s’essayant à une gentille critique de la civilisation urbaine. Quelques répliques ou situations prêtent à sourire mais l’ensemble reste tout de même très paresseux et, au fur et à mesure de son avancée, le film se révèle être simplement une romance entre l’aventurier du bout du monde et la journaliste pétée de thunes (quelle surprise !). Si le film était très divertissant à sa sortie, force est de reconnaitre que des décennies plus tard, le résultat est vraiment très faible. L’aventure n’est pas au rendez-vous, c’est trop peu drôle et la romance est convenue. Cela se regarde car le personnage principal est très sympathique mais c’est totalement inoffensif.
Un "western" australien (durant la première partie), avec ce Mike "Crocodile" Dundee au visage buriné qui possède les traits de caractère du cowboy traditionnel: bagarreur, séducteur et viril. Le film veut jouer essentiellement avec le choc des cultures et les stéréotypes: cette journaliste américaine (Linda Kozlowski) en vadrouille dans le bush sauvage puis ce chasseur de crocos (Paul Hogan) débarquant dans la mégalopole de New York. Bon, même si Wikipedia n'existait pas encore en 1987, on a tout de même du mal à croire à l'innocence et à l'inculture de cet Australien imaginant qu'il faut saluer tous les piétons dans la Grande Pomme, qui demande à son chauffeur noir de quel tribu il vient et autres décalages qui arrachaient peut être des sourires dans les années 80 mais moins aujourd'hui. A été un grand succès à sa sortie, moins enthousiasmant trente quatre ans plus tard. Trente quatre ans comme la moitié de la vie moyenne d'un crocodile marin d'Australie.
Un film qui m'a surpris que j ai apprécié à ma grande surprise car sait film en principe m attire pas trop mais j ai passé un bon moment dans l ensemble
Crocodile Dundee est un film plaisant a regarder en famille. Il mélange comme à pu le faire Tarzan, le coté sauvage au monde moderne.
Mich Dundee, chasseur de crocodile dans son Australie natale, voit arrivée une belle journaliste de New York afin de l'interviewer.
L'apprentissage de la faune local, et du mode de vie très particulier de notre aventurier par notre journaliste, donne un flm séquencé par de nombreux sketchs très cliché.
J'ai fais voir à mon fils de 8 ans ce film ainsi qu'a ma femme qui ne l'avait pas vu à l'époque, ils ont adoré.
Nous avons du coup fait trois soirées avec les deux suites.
Je recommande ce film qui permet de passer un bon moment en famille, il est à l'image de ces films des années 80, ou l'aventure, la comédie et les clichés font bon ménage.
Il mérite une place dans votre vidéothèque année 80
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18 103 critiques
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1,0
Publiée le 1 décembre 2020
Les années 1980 ont été une période où la cupidité et l'égoïsme ont atteint un sommet historique tandis que le goût a atteint un creux historique. Ce film reflète parfaitement cette situation. Riez des tenues ridicules et grimacer devant le désir d'être ostensiblement écœurant par tous les moyens mais ce film a un côté beaucoup plus sombre. Le héros est un tyran arrogant, égoïste et chauvin qui tue des animaux illégalement pour gagner sa vie. Comme il s'agit clairement d'un véhicule pour Paul Hogan on se demande pourquoi il l'a fait. Peut-être est-il fier de ce personnage je n'en ai aucune idée mais si c'est l'australien typique alors je ne comprends pas l'attrait. Dundee prend ce qu'il veut sans penser aux conséquences et la notion d'altruisme lui est totalement inconnue. Tant qu'il peut avoir ce qu'il veut tout va bien. Il n'est probablement pas conscient de l'existence d'autres âmes et ce qu'il veut il le prend généralement avec force. Personnellement je trouve que l'abattage d'animaux pour leur peau ou pour le sport est odieux. En outre il glorifie la brutalité et la puissance des traits de caractère qui ne sont pas très sympathique...
Crocodile Dundee (1986), un film culte des années 80. Une comédie romantique plus qu'une comédie d'action. Un film australien qui met en scène l'acteur Paul Hogan, connu pour ces débuts en tant qu'humoriste dans la série télévisée des années années 70 "The Paul Hogan Show". Un choc culturel plutôt sympathique qui confronte un bush-man australien à la vie New-Yorkaise. Un duo Paul Hogan / Linda Kozlowski qui fonctionne bien au cinéma, mais aussi dans la vie puisque les deux étaient mariés lors du tournage. Le duo jouera dans les deux suites du film, crocodile Dundee 2 (1988) et 3, en 2001.
Un bon divertissement à voir en famille. Le rapport de l'homme aux crocodiles australien face à la ville de New York. Beaucoup d'humour, un peu de romance et une sorte de pseudo morale. J'ai autant aimé qu'à mon enfance, on passera plutôt un bon moment sans prise de tête.
Comédie de 1986 qui comme dans un "indien dans la ville" huit ans plus tard nous fait rire du décalage qu'il y a à placer un gars de la cambrousse dans "la jungle urbaine d'une grade ville" et où on fini par découvrir que le plus sauvage n'est pas celui qu'on croit... Quelques scènes cocasses dans un flot de conventions.... ennuyeux à la longue.
Le pire dans l'affaire c'est de découvrir que le personnage est basé sur un australien qui a réellement existé (et qu'on surnommait réellement Crocodile Dundee) et s'est fait piquer son histoire par les majors de cinéma qui lui ont rien versé des royalties de la franchise.. Le gars il a tellement eu les fois qu'il a sombré dans la drogue et s'est fait descendre dans une opération de police... bad karma le gars... S'il a pu tuer à mains nues un crocodile, le gars il a rien pu faire contre les requins du cinéma... Et tout ça sans être allé à Hollywood...