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    Crocodile Dundee
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    156 critiques spectateurs

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    Roub E.
    Roub E.

    957 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 novembre 2021
    Ça c’est ce qu’on appelle une madeleine. Crocodile Dundee c’est une des VHS que j’ai usée gamin et que je redécouvre plus de 20 ans après. Celui ci a plutôt bien encaissé les affres du temps. On s’amuse toujours du décalage entre Mike l’homme de la brousse australienne qui a tout de l’homme des cavernes et Sue la journaliste New Yorkaise fille à papa. Comme il est dit dans le film il y a un côté Tarzan et Jane bien sympa. On va d’abord s’amuser de Sue perdue dans une nature qu’elle n’a vue qu’à la télé ou évoquée dans les cocktails. Puis de Mike découvrant New York son individualisme, ses travestis, sa fausseté et ses bidets. Le film laisse un peu en plan, visiblement à court d’idée il se rabat sur la bluette entre Mike et Sue et donne un dernier quart d’heure bâclé alors que le reste du film se (re)découvre avec plaisir.
    Objectivons
    Objectivons

    315 abonnés 2 938 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2021
    Crocodile Dundee est un film plaisant, et le choc prétendu des cultures, mêlé d'un peu de surnaturel et d'une bonne dose d'humour, le rendent d'autant plus agréable à suivre.
    Paul Hogan y tient le rôle de sa vie, celui d'une caricature d'aventurier de la brousse australienne au cœur simple, naïf et gentil.
    Crocodile Dundee nous fait vivre des émotions pures, vraies, avec pendant plus de la moitié des paysages magnifiques. C'est en partie une promotion pour l'Australie.
    Évidemment, la caricature de l'australien faite par les américains n'est pas vraiment crédible, mais malgré tout, avec la gentillesse du personnage, celle-ci passe.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    195 abonnés 2 511 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2021
    Crocodile Dundee est un film plutôt plaisant et original des années 80. Le succès et le statut culte de ce film n'est pas complètement surprenant dans la mesure où ce film sort pas mal du lot.
    Véritable publicité non-dite d'une heure trente de la part du Ministère du Tourisme Australien, le film dépeint des décors absolument magnifiques du pays des kangourous et les décors sont un point fort du film. Toute l'Australie dans tout ce qu'elle a de plus sauvage est montrée à l'écran.
    Les deux acteurs sont plutôt bons et l'alchimie entre les deux personnages marchent très bien (Paul Hogan et Linda Kozlowski étant en couple dans la vraie vie, cela se ressent à l'écran).
    Après, le film n'offre pas forcément beaucoup de surprise sur l'évolution de la relation entre les deux personnages, mais cette relation reste attachante.
    Film assez sympa.
    matt240490
    matt240490

    83 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 août 2012
    Premier film d'une trilogie culte, Crocodile Dundee, avec Paul Hogan et Linda Kozlowski, peut aisément se découper en 2 parties : le monde sauvage en Australie et la découverte du monde moderne en Amérique. S'intéressant premièrement à la légende de Mike Dundee, dit le tueur de crocodile, la première partie se déroule en pleine jungle, avec ses animaux dangereux, ses nuits à la belle étoile et la découverte entre Dundee et Sue. Une complicité bien retranscrite qui montre ce que l'on attend principalement du film. Renversant complètement la tendance, la seconde est bourrée de comiques de situation, causée par la découverte de la ville par Dundee, un peu à la manière des Visiteurs. A travers un très bon humour, des scènes inoubliables et un personnage fort charismatique, cette seconde partie ne fait qu'accentuer la première, déjà très bonne. En somme, il s'agit là d'une excellente surprise.
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    66 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 octobre 2014
    L'exemple typique du film sur le choc des cultures, avec le péquenaud de service qui vit dans les grandes étendues (ici le bush australien) et ne connaît rien des mondanités, et la femme qui vient du monde "civilisé", plein de préjugés et d'a priori sur la vie sauvage. Même à l'époque où il est sorti, "Crocodile Dundee" véhiculait déjà un certain nombre de clichés sur le genre, si bien qu'il est difficile d'adhérer pleinement à cette comédie par ailleurs plaisante et satirique. Mais ne vous méprenez pas : cette comédie possède pas mal d'atouts qu'elle fait rapidement valoir, à savoir : le duo d'acteurs principaux (et particulièrement Paul Hogan), une légèreté pas désagréable, une fraîcheur due aux nombreux comiques de situations et aux évènements improbables qui surviennent, et une mise en scène qui n'en fait pas trop et ne pousse pas l'intrigue dans le grand-guignolesque inutile. Agréable.
    Last Action Zero
    Last Action Zero

    71 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 novembre 2023
    Bah. Ce n'est pas le film du siècle, c'est sur. D'autant plus qu'il a quand même bien bien vieilli sur le fond. Et que aujourd'hui, deux trois trucs ne passeraient carrément plus l'auto-censure morale. Mais bon, c'est juste une gentille comédie truculente et superficielle, pleine de candeur et sans vrai prise de tête existentielle. New York City Girl rencontre Tarzan, et le fossé culturel entre les deux est abyssal. Il est aussi plein de petite séquence aussi savoureuse que culte, mainte fois reprise et parodier à l'infini. Un petit popcorn à l'ancienne, qui conserve le plus gros de son efficacité. La bande-son me file toujours quelques frissons. Les tenues de la "géraldine" paraissent encore plus extraordinaire et sophistiqué qu'en 86. L’Australie y est très belle. Et c'est toujours un plaisir de revoir le vrai New-York des années Ghostbuster. Avec son esthétique charmante et pittoresque, ainsi que les défauts des séries B caricaturale de son époque, après un succès commercial inespéré, dû à un bouche à oreille enchanté par une petite originalité du moment assez rafraichissante, avec le temps, il est devenu un vrai petit classique aussi attachant que gentiment borderline. Une solide et toute petite pierre, apporté à ce gigantesque monument imaginaire, qu'on appelle aujourd'hui pop culture. Et moi qui l'ai vu en salle à sa sortie, ça me fait toujours un petit quelque chose de le revoir dans sa VF d'époque. En particulier ce final romantique dans le métro. Par contre, ses deux suites n'ont malheureusement que peu d'intérêt. En particulier le troisième, qui n'en a aucun. Ils ont loupé le coche avec un deuxième film, surement trop précipité à sortir. Mais le dernier, si vous trouvez les négatifs originaux, brûlez les. Pour votre bien, faite comme si ces suites n'avez jamais existé. 3/5 d'une affection sincère mais lucide.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 décembre 2018
    Le choc des cultures au tour à tour, le Australian Countryman fait son touriste dans la célèbre cité américaine que l’on ne présente plus, New York et ses hot-dogs qui n’a rien à envier à la cuisine nutritive ancestrale des aborigènes natifs. Leurs cartes au menu humoristique, ses insectes tropicaux de tout sauf les kangourous, animaux sacrés et pourchassés, des reptiles vertébrés et prédateurs du vaste désert aride d’Australie, le redoutable crocodile comme mascotte. Une scène tombée nez à nez sur des voyous, un peu surréaliste et trop fastoche à mon goût, il y a des anecdotes pas trop bête. Derrière le cliché précautionneux à l’egard de l’escalator, ce pequenot dans la salle de bain découvre une cuvette de toilette accompagné de son petit frère, le bidet. Pour l'utilité de ce dernier, j’avais toujours pensé au lavage des pieds, maintenant j’en sais plus, comme substitut de papier toilette au temps des richards. C’est fun et un scénario romantique sympa, la population New-yorkaise est cool.
    T800
    T800

    28 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juin 2008
    Un choc des cultures réussi. Paul Haugan nous offre un Indiana Jones des cavernes, très attachant et décalé. Les deux parties du film (l'autralie et les US) sont bonnes, et on suit les péripéties de ces tarzans et Jane des temps modernes sans bailler. Les personnages secondaires sont attachants, bref, tout ce qu'il faut à une bonne comédie des années 80 sans prétentions aucune. De loin le meilleur de la trilogie.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 335 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2014
    Bon alors moi déjà, rien que pour la bande originale de Peter Best je suis déjà aux anges avec ce Crocodile Dundee ! Certes, avec ce film, on n’échappe pas à la structure basique de ce genre de film, calibré sur les standards US, mais bon : j’adooooore le personnage de Paul Hogan qui sait parfaitement s’adapter à ce genre d’histoire convenue. Pourquoi ? Parce que justement il est en décalage avec la caricature du héros sauvage, et parce qu’il est en auto-dérision constante, montrant à quel point son identité relève de la pure construction pour séduire les belles minettes des villes qui (comme nous) sommes attirés par ce côté sauvage. Mais ça marche quand même me concernant, parce que justement Mike Dundee sait y faire pour nous séduire, et parce qu’il sait se montrer incroyablement « Bad ass » quand il le veut. Et puis, aussi classique puisse-t-il être dans ses ressorts, il faut quand même louer ce film pour sa capacité à savoir jongler entre deux mondes sauvages, celui de la brousse et celui de la mégapole. Le regard est simple, mais amusant et séduisant. Qui plus est, cerise sur le gâteau, ce spectacle aussi simple soit-il maîtrise aussi parfaitement son rythme, ce qui en fait au final un spectacle que je ne me lasse pas de voir. Non, décidemment non, je ne peux pas m’empêcher d’adorer ce film…
    ygor parizel
    ygor parizel

    241 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 septembre 2012
    Une plutôt cool comédie d'aventures. Le début se déroule dans le Bush australien et la fin dans la jungle new yorkaise. Souvent drôle de par le décalage du personnage principal avec le monde qui l'entoure, Deux ou trois répliques cultes.
    Parkko
    Parkko

    160 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 octobre 2010
    Assez déçu, je m'attendais à quelque chose de plus frais, de plus divertissant. Or Crocodile Dundee est pas vraiment une comédie super passionnante ni même super intéressante. On a du mal à s'intéresser à cette histoire assez convenue, à ses personnages assez stéréotypés, et même si certains gags sont sympas, le tout manque franchement de punch pour arriver à passionner tout du long.
    A noter tout de même une séquence finale assez sympathique, qui laisse ainsi le spectateur sur une bonne impression.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    184 abonnés 2 270 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 avril 2018
    J’ai revu à la télévision avec beaucoup de plaisir cette variation moderne de Tarzan. Certains dialogues prennent encore plus de saveur avec le recul spoiler: (par exemple, quand la journaliste demande à cet homme, élevé parmi les aborigènes, son avis sur des sujets de société très compliqués par un lapidaire « êtes-vous pour ou contre ? »)
    et certaines situations, finement observées, sont toujours aussi drôles. C’est un humour intemporel et de bon niveau qui contraste avec celui de « Taxi 5 » vu dans la même journée. A voir de temps en temps pour retrouver la fraîcheur d’antan d’un Mike Dundee inimitable. Les deux suites de ce film n’ont pas eu la qualité de l’original.
    DarkgothBTZ
    DarkgothBTZ

    53 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2008
    On ne présente même + Crocodile Dundee. Film culte, son humour n'a pas pris une ride, scénario original.
    Biertan64
    Biertan64

    49 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 février 2021
    Un "western" australien (durant la première partie), avec ce Mike "Crocodile" Dundee au visage buriné qui possède les traits de caractère du cowboy traditionnel: bagarreur, séducteur et viril.
    Le film veut jouer essentiellement avec le choc des cultures et les stéréotypes: cette journaliste américaine (Linda Kozlowski) en vadrouille dans le bush sauvage puis ce chasseur de crocos (Paul Hogan) débarquant dans la mégalopole de New York.
    Bon, même si Wikipedia n'existait pas encore en 1987, on a tout de même du mal à croire à l'innocence et à l'inculture de cet Australien imaginant qu'il faut saluer tous les piétons dans la Grande Pomme, qui demande à son chauffeur noir de quel tribu il vient et autres décalages qui arrachaient peut être des sourires dans les années 80 mais moins aujourd'hui.
    A été un grand succès à sa sortie, moins enthousiasmant trente quatre ans plus tard. Trente quatre ans comme la moitié de la vie moyenne d'un crocodile marin d'Australie.
    OMTR
    OMTR

    18 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 août 2024
    Philosophie australienne

    Sue Charlton, une journaliste new-yorkaise se rend à Walkabout Creek, une petite ville du Territoire du Nord de l'Australie, pour rencontrer Michael J. « Crocodile » Dundee, un bushman qui spoiler: a survécu à l'attaque d'un crocodile marin en rampant sur des centaines de kilomètres pour survivre
    .

    Lorsqu'elle demande à « Mick » quand il est né, « Crocodile » Dundee spoiler: lui demande en quelle année se trouve le monde, avant de répondre que les Anciens de la tribu de Bushmen qui l'ont élevé lui ont simplement dit qu'il était venu au monde « en été »
    .

    Une introduction à la sagesse aborigène, qui caractérise la philosophie de Mick, qui se focalise sur son environnement direct en faisant corps avec lui, sans laisser des problèmes, qui n’existent pas ou qui sont hors de sa portée, lui polluer l’esprit et le corps.

    Par des paroles et des actes perspicaces, Mick spoiler: remet tout en place et sauve Sue Charlton alors qu'elle pensait pouvoir survivre, sans réelle expérience et seule, dans cette contrée dont la beauté sauvage n'a d'égal que l'hostilité d'une large partie de sa faune mortelle. Y compris quelques idiots locaux, qui tuent des kangourous pour le simple « plaisir » de détruire
    .

    Après l’effort le réconfort spoiler: au bord d’un lac à l’eau cristalline, dans lequel Sue et Mick peuvent se baigner et pêcher en toute sécurité. En trois jours, Sue est tombée amoureuse de Mick et de son charme contagieux et décontracté. Elle lui demande alors s’il aimerait aller à New York avec elle. Ce qu’il accepte car il est également tombé sous le charme de Sue et n’est jamais allé nulle part ailleurs dans le monde
    .

    Dans la Grosse Pomme, les rôles s’inversent. Mais, pas autant qu’il ne pourrait y paraitre à première vue. Car Mick a une capacite d’adaptation phénoménale, qui fait ressortir le meilleur des bonnes personnes et remet en place les mauvaises personnes.

    Paul Hogan, qui a imaginé l'histoire et co-écrit le scénario avec Ken Shadie et John Cornell, tire le meilleur parti de ce brillant personnage de poisson hors de l'eau.

    Parfaitement écrit, réalisé par Peter Faiman, photographié par Russell Boyd, monté par David Stiven et composé par Peter Best, "Crocodile Dundee" bénéficie également de la performance de Paul Hogan, né pour incarner Michael J. « Crocodile » Dundee.

    Linda Kozlowski, Mark Blum, David Gulpilil, Michael Lombard et John Meillon excellent également dans leur rôle respectif.

    Des performances qui ont justement été récompensées par un succès public phénoménal –film le plus rentable de tous les temps en Australie, film australien le plus rentable au monde, deuxième film le plus rentable aux Etats-Unis en 1986 – et des nominations aux Oscars, aux BAFTA, aux Golden Globes, aux Saturn Awards, aux BMI Film & TV Award, aux Golden Screen et MPSE Awards. Remportant le Golden Globe du Meilleur Acteur pour Paul Hogan, le BMI Film & TV Award de la Meilleure Musique pour Peter Best et le Golden Screen du plus grand succès australien de tous les temps.

    5/5
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