Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Express
par Marie Marvier
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par François Forestier
(...) Le climat est poisseux à souhait. le film tient. Par ses acteurs surtout, que le réalisateur aime et sait cadrer de près. Au premier rang desquels il faut citer Robinson Stévenin, dont la performance fera date.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Alain Grasset et Marion Sauvion
Le nouveau long métrage de Francis Girod (...) dépeint avec générosité une communauté marginale et attachante. La trame policière, en revanche, se révèle maladroite et n'évite pas les clichés. Au final, on est surtout sous le choc de la prestation du jeune Robinson Stévenin, très touchant dans le rôle de Bo.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Isabelle Danel
scénario (...) , lourdaud et mal ficelé, parsemé de symboles et d'indices gros comme des camions (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Edwige Audibert
L'idée de départ est plutôt bonne (...). Mais le film s'embourbe dans une intrigue tortueuse et une mise en scène de série B (revendiquée ?) (...). Ce chassé-croisé de vies bousillées a le mérite de faire apparaître un étonnant Robinson Stévenin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Stéphanie Thonnet
Un vrai polar français aux airs rétro, au scénario parsemé d'incohérences, et dont l'énigme se résout dans un imbroglio guère crédible. Mais MAUVAIS GENRES a un atout de taille : Robinson Stévenin, déroutant au début, puis étonnant dans tous les plans, remarquablement juste.
Télérama
par Louis Guichard
Robinson Stévenin (...) tient ce rôle périlleux de Bo, le garçon en jupe et talons hauts. Sa composition est magnifique : simple, exempte de clichés, évitant aussi bien le ridicule que le pathétique, d'autant que Francis Girod le filme avec une empathie exemplaire. Dès lors, on regrette de voir cette empathie trahie par le récit (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
C'est surtout cette mécanique scénaristique plaquée sur du vivant, cette impossibilité de faire des personnages autre chose que des fonctions qui font de Mauvais genres un téléfilm sans surprises.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
par Yann Tobin
Le film manque son objectif sur les deux tableaux : l'intrigue criminelle est confuse sans vertige, handicapée par des dialogues embarrassants (...). La vision du monde est défaite par un décourageant simplisme.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) Le climat est poisseux à souhait. le film tient. Par ses acteurs surtout, que le réalisateur aime et sait cadrer de près. Au premier rang desquels il faut citer Robinson Stévenin, dont la performance fera date.
Le Parisien
Le nouveau long métrage de Francis Girod (...) dépeint avec générosité une communauté marginale et attachante. La trame policière, en revanche, se révèle maladroite et n'évite pas les clichés. Au final, on est surtout sous le choc de la prestation du jeune Robinson Stévenin, très touchant dans le rôle de Bo.
Les Echos
scénario (...) , lourdaud et mal ficelé, parsemé de symboles et d'indices gros comme des camions (...)
Libération
L'idée de départ est plutôt bonne (...). Mais le film s'embourbe dans une intrigue tortueuse et une mise en scène de série B (revendiquée ?) (...). Ce chassé-croisé de vies bousillées a le mérite de faire apparaître un étonnant Robinson Stévenin.
MCinéma.com
Un vrai polar français aux airs rétro, au scénario parsemé d'incohérences, et dont l'énigme se résout dans un imbroglio guère crédible. Mais MAUVAIS GENRES a un atout de taille : Robinson Stévenin, déroutant au début, puis étonnant dans tous les plans, remarquablement juste.
Télérama
Robinson Stévenin (...) tient ce rôle périlleux de Bo, le garçon en jupe et talons hauts. Sa composition est magnifique : simple, exempte de clichés, évitant aussi bien le ridicule que le pathétique, d'autant que Francis Girod le filme avec une empathie exemplaire. Dès lors, on regrette de voir cette empathie trahie par le récit (...)
Chronic'art.com
C'est surtout cette mécanique scénaristique plaquée sur du vivant, cette impossibilité de faire des personnages autre chose que des fonctions qui font de Mauvais genres un téléfilm sans surprises.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
Le film manque son objectif sur les deux tableaux : l'intrigue criminelle est confuse sans vertige, handicapée par des dialogues embarrassants (...). La vision du monde est défaite par un décourageant simplisme.