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Stéphane S
40 abonnés
29 critiques
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5,0
Publiée le 3 décembre 2024
Chefs-d'œuvre de la comédie à la française. J'ai tellement vu que je ne compte plus. Trio inoubliable. Scénario ultra bien foutu. Répliques cultes. Musique excellente. J'ai lu les critiques négatives, elles sont consternantes. Bon après c'est 10 personnes. Osé dire que c'est mal joué et pas drôle. Aller mater Les Tuche lol. J'ai les 3 eh Blu-ray et je l'ai revoit en ce mois de décembre 2024.
Ce premier volet est très réussi. Les aventures et mésaventures de ces soldats français sont savoureuses et regorgent de gags et situations cocasses. Pierre Mondy Jean Lefevre et Aldo Maccionne sont tellement naturels dans leur interprétation que ça rend le film encore plus savoureux. Une vraie bonne comédie familiale à voir et revoir.
Une bande de soldats franchouillards en pleine débâcle de juin 40 en viennent à faire la guerre et à devenir des héros malgré eux. Un régal grâce au casting : Aldo Maccione, Jean Lefebvre Pierre Mondy, Pierre Tornade et Robert D'Alban. Et aussi au scénario de Robert L'amoureux.
Le premier volet d'une trilogie de la fameuse septième compagnie. Film simple, efficace pour cette histoire de la France sous l'occupation Allemande, aventure et humour au menu avec le casting que je ne citerai pas, il est si connu.
De l’humour potache à la française autour d’une poignée de soldats français perdus dans les lignes allemandes durant la seconde guerre mondiale. Ne cherchez pas la subtilité ni des qualités esthétiques dans ce film, c’est juste un film populaire comique sans prétention comme le cinéma français en faisait régulièrement dans les 70’s. Des gags bien sentis et un scénario bien construit avec peu de temps morts, çà reste toujours un bon spectacle familial, léger et digeste. A revoir sans déplaisir, on rit toujours. tout-un-cinema.blogspot.com
Cela faisait longtemps que je devais voir "La 7ème compagnie" car j'en ai toujours entendu parler comme étant un film drôlissime. En me renseignant, je me suis aperçu que ce n'était pas un film mais une trilogie et que le 1er film s'intitulait en réalité "Mais où est donc passée la 7ème compagnie ?".
Et après l'avoir vu, je ne comprends pas pourquoi il est devenu si culte. Je n'ai pas vraiment ri, hormis à 2 vannes. J'étais loin d'être écroulé par terre. Pourtant je suis le public cible puisque j'aime beaucoup l'humour sur l'armée.
Mais là, il n'y a rien de vraiment original. Le film se traîne même un peu en longueur. On est loin d'un "Papy fait de la résistance", par exemple.
Gentillet, un peu longuet, pas vraiment drôle, "Mais où est donc passée la 7ème compagnie ?" a au moins pour lui d'avoir un aspect sympathique qui nous retient jusqu'au bout. Peut-être est-ce dû au fait que l'équipe technique ne semble pas se prendre la tête et que les acteurs ont l'air contents de travailler sur ce projet ?
Je ne sais pas. Toujours est-il qu'il ne m'a pas suffisamment convaincu pour que je perde plus de temps à regarder les 2 autres films de la trilogie.
Que de situations cocasses et des dialogues ciselés dans ce film d'aventure, dans un contexte difficile, sur la seconde guerre mondiale, que de trouver de quoi rire, mais pour le réalisateur, ça été à son aise. Tous comme Pierre Mocky, Jean Lefrevre, Aldo Maccione. Aussi drôle. Un bon vaudeville.
Grand classique de la comédie française, "Mais où est donc passé la 7e compagnie ?" n’est pas seulement l’un des films du patrimoine audiovisuel français les plus diffusés à la télé depuis sa sortie. C’est également une petite merveille de drôlerie qui a réussi l’exploit de s’affranchir des films de bidasses qui pullulaient à l’époque (et dont la qualité était franchement indigne) grâce au talent du bien trop méconnu Robert Lamoureux. Tout le génie comique du réalisateur se retrouve dans le film, que ce soit la pertinence de ses piques (la réflexion sur l’incompétence de l’état-major français assez cinglante), à la subtilité de son humour (pas de blagues scatologiques ou de vannes franchouillardes ici) et surtout le rythme avec lequel il distille ses gags. Les seules moments où l’on ne rient pas dans le film ne sont d’ailleurs pas perdus puisqu’ils sont l’occasion d’une dénonciation souvent pertinente des comportements en temps de guerre (l’épicier collabo ou les soldats allemands déguisé en Français). Le respect dont Robert Lamoureux fait preuve vis-à-vis du sujet (la reconstitution historique est irréprochable) donne tout son crédit au film et lui apporte sa plus-value, à tel point que le film s’avère le plus sérieux de la série. Il ne manquait plus qu’un casting attachant pour parfaire le chef d’œuvre. Et qui de plus indiqué que Pierre Mondy en sergent frimeur, Jean Lefebvre en soldat naïf et admiratif, Aldo Maccione en soldat gaffeur, Pierre Tornade en capitaine empathique, Erik Colin en lieutenant séducteur ou encore Robert Lamoureux lui-même en colonel dépassé qui réussissent tous à dépasser leur statut d’acteur de nanars pour s’offrir leur meilleure prestation ? Enfin, n’oublions pas la musique, entrée depuis au Panthéon du 7e art français. Une petite merveille donc, à l’origine d’une saga culte et riches en dialogues devenus des classiques ("j’ai glissé, chef", "un p’tit bain pour le chef", "souris, tu gagnes la guerre, nom de dieu", "vous avez du à l’ail ?"…) et en scènes inoubliables (Chaudart qui nage à l’indienne, l’explication de la technique de la tenaille, la scène avec l’épicier…) que les multi-rediffusions télévisuelles n’ont pas encore réussi à altérer.
Le première opus de la célèbre trilogie. Une comédie qui est toujours aussi géniale à voir et à revoir. Avec le célèbre trio : Jean Lefebvre, Pierre Mondy et Aldo Maccione qui marche à merveille. Et que dire des célèbres scènes et répliques cultes du film : « Un lapin chef », « j'ai glissé chef ! », « attention je vais me fachire », « Feu, il faut attendre un peu »… Une trilogie qui restera culte comme les Fantômas ou encore les Gendarmes.
Certains ont pu s'offusquer de l'esprit du film, de la complaisance avec laquelle robert Lamoureux montre comment la débrouillardise française a raison de l'austérité teutonne. Mais, en définitive, la plupart des comédies relatant l'Occupation ne procèdent-elles pas de cette même disposition. D'ailleurs, Lamoureux ne se montre pas très révérencieux quant à la compétence de l'armée française et ironise régulièrement sur ses retraites successives et paniquées au terme de la drôle de guerre. En réalité, la comédie repose surtout sur la personnalité des trois "héros" de la 7ème compagnie, Chaudard, Pitivier et Tassin, trois soldats pas très courageux ni bien malins, le plus souvent dépassés par les évènements. Leur interprétation est amusante, sympathique, et Pierre Mondy, dans le rôle du chef Chaudard, à peine plus doué que ses deux soldats, fait un petit festival de français moyen avec ses expressions de mauvaise humeur, de supériorité ou d'incapacité. Dans les aventures de ce premier épisode, qui manquent un peu d'envergure, Mondy et quelques dialogues sauvent le film d'une certaine facilité.
Robert Lamoureux signait en 1973 son grand retour à la réalisation avec "Mais où est donc passée la septième compagnie ?", 13 ans après "Ravissante" et "La brune que voilà" (avec Françoise Fabian), qui fit carton plein au box-office. Alors oui, si l'on met de côté la mise en scène et l'aspect cocardier de l'intrigue (basée sur les souvenirs de Lamoureux), il faut bien avouer que les situations, toutes plus marrantes les unes que les autres (avec des dialogues tous plus croustillants les uns que les autres), s'enchaînent et se déchaînent rien que pour nos mirettes et nos oreilles. Merci à tous les comédiens qui nous font de drôles numéros d'acteurs. Les désopilants Lefebvre, Mondy, Maccionne et Lamoureux s'en donnent à coeur joie pour notre plus grand bonheur. Ils pimentent ce film portant bien la sauce d'un Lamoureux en pleine forme. La musique, elle aussi, tout le monde la connaît. Devenu succès populaire à force de rediffusions, la troupe de nos joyeux compagnons de guerre nous invitent encore et toujours à l'amusement et au dépaysement. Engageons nous, comme qu'y disaient. Succès en son temps, "Mais où est passée la eptième compagnie ?" se verra doté de deux suites : "On a retrouvé la septième compagnie" et "La septième compagnie au clair de lune". Attention, film culte !
Ca n'est pas un grand film mais il est devenu culte, tout simplement car il a porté à l'écran cet art de la lose typiquement français, ce charme bien illustré par le personnage de Pitivier. A voir et revoir pour apprécier l'humour cocasse et gaulois, comme le fameux coup de la "t'naille".
Ce film est extraordinaire , c'est un chef d'oeuvre, le debut d'une trilogie tellement marrante! Les scènes sont tous devenues cultes, les acteurs sont incroyables, j'ai vraiment aimé ces films depuis mon enfance et il m'accompagne encore au quotidien, le j'ai glissé chef est culte, du a l'air aussi... rien a dire 4,5/5
'Mais où est donc passée la septième compagnie ?' est un film des années 70 qui se laisse suivre, mais l'humour laisse à désirer (les gags sont répétitifs et rarement efficaces). L'interprétation des acteurs m'a aussi peu convaincus, ainsi que la bo... après on peut apprécier le côté kitsch de ce long-métrage, mais dans le même genre je préfère largement "La Grande vadrouille", ce film a pas réussi à m'accrocher et à me "parler" ! A voir une fois, pour quelques scènes et quelques bonnes répliques.
Film culte comique sur la guerre où aucun des camps n'est épargné : Français comme Allemands, collabos comme résistants. Les trois compères éclaireurs de la 7e compagnie (le Chef Chaudard, Pitivier et Tassin), longtemps en embuscade, en tenaille, vont vivre des péripéties pour le plus grand bonheur de nos zygomatiques. Chacun son caractère, ils se complètent à merveille : Chaudard le bourru incompétent aux principes dérisoires mais prétendument guerriers, Pitivier le fatigué de nature et pessimiste qui passe sa vie à glisser et se plaindre, et enfin Tassin le gros nounours benêt mais attachant car toujours la banane. Bon an mal an et grâce à l'arrivée salvatrice du un peu plus guerrier Lieutenant Duvauchel, ils vont arriver à bout de leur objectif : délivrer la 7e compagnie !