Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Positif
par P. S.
Une oeuvre forte et parfaitement maîtrisée, avec le concours de l'émérite Gérard Brach, scénariste de Polanski, Ferreri, Antonioni...
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Une quête d'identité douloureuse pleine de tendresse, d'émotion et de vérité.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce film est remarquable par la force de son interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Zurban
par Claire Vassé
Un film parfois maladroit, mais toujours vivant et attachant.
Chronic'art.com
par David Vincent
Rien que pour l'étrangeté de l'atmosphère qui s'en dégage, La Guerre à Paris, malgré ses faiblesses, reste une oeuvre d'une qualité trop rare pour être négligée.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par M. Merlet
Des hommes, arrêtés par l'armée allemande, sont alignés contre un mur. (...) Alors que l'on entend les coups de feu, le cadre reste fixé sur les visages de ceux qui attendent leur tour. Les morts seulement perçues par l'ouïe n'en sont que plus puissantes, tragiques. Pourtant Yolande Zauberman ne peut s'empêcher de casser ce dispositif. Elle montre les corps. Elle rend finalement visible ce qui, quelques minutes plus tôt, s'était déjà inscrit dans nos esprit par l'imaginaire. Et tout s'écroule.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Il en va ainsi de cette guerre menée vaillamment par ses différents protagonistes, à commencer par les comédiens, mais qui semble d'autant plus vaine que la constellation des "grands sujets" qui l'enserrent ne résonne avec rien de contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Annie Coppermann
A moitié convaincant, parce qu'hybride et un peu nonchalant, mais suffisamment perturbant pour ne pas se laisser oublier.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Camille Brun
Hélène Lapiower, dans le rôle de la mère qui ne saisit jamais vraiment l'enjeu de la situation, Grégoire Colin et Jérémie Rénier ont beau être parfaits, on reste un peu sur sa faim.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
(...) faute de moyens, probablement, on ne sent pas vraiment la guerre et on ne voit presque pas Paris. Ce pourrait être un parti pris intéressant. Seulement, contrairement à Gilles Bourdos qui l'avait réussi dans Disparus, la réalisatrice ne parvient pas à maîtriser totalement l'épure d'une mise en scène, qui, à la longue, apparaît artificielle et forcée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
On est même surpris qu'avec des sentiments aussi forts, le film soit aussi fade. C'est sans doute que la réalisatrice n'arrête son regard sur rien. (...) Jusqu'à la fin, le film se déroule ; et nous, on attend toujours qu'il commence.
Cahiers du Cinéma
par Benjamin Esdraffo
Yolande Zauberman noie ostensiblement les personnages et leurs actes, (...) et égare son propos dans un modernisme grande pompe.
Cine Libre
par Marielle Gaudry
Peu de mots sont entendus, une économie de dialogue qui ne favorise pas (...) l'appréciation du film. Si ce dernier était voué à rendre témoignage à l'Histoire, il ne marquera sans doute pas celle du cinéma, hélas.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Olivier De Bruyn
Restent quelques scènes envoûtantes, insuffisantes pour sauver le film.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guérand
On comprend qu'une réalisatrice qui n'ose pas demander à un interprète d'aller chez le coiffeur n'aura jamais les moyens de ses ambitions.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Positif
Une oeuvre forte et parfaitement maîtrisée, avec le concours de l'émérite Gérard Brach, scénariste de Polanski, Ferreri, Antonioni...
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Une quête d'identité douloureuse pleine de tendresse, d'émotion et de vérité.
Le Parisien
Ce film est remarquable par la force de son interprétation.
Zurban
Un film parfois maladroit, mais toujours vivant et attachant.
Chronic'art.com
Rien que pour l'étrangeté de l'atmosphère qui s'en dégage, La Guerre à Paris, malgré ses faiblesses, reste une oeuvre d'une qualité trop rare pour être négligée.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Des hommes, arrêtés par l'armée allemande, sont alignés contre un mur. (...) Alors que l'on entend les coups de feu, le cadre reste fixé sur les visages de ceux qui attendent leur tour. Les morts seulement perçues par l'ouïe n'en sont que plus puissantes, tragiques. Pourtant Yolande Zauberman ne peut s'empêcher de casser ce dispositif. Elle montre les corps. Elle rend finalement visible ce qui, quelques minutes plus tôt, s'était déjà inscrit dans nos esprit par l'imaginaire. Et tout s'écroule.
Le Monde
Il en va ainsi de cette guerre menée vaillamment par ses différents protagonistes, à commencer par les comédiens, mais qui semble d'autant plus vaine que la constellation des "grands sujets" qui l'enserrent ne résonne avec rien de contemporain.
Les Echos
A moitié convaincant, parce qu'hybride et un peu nonchalant, mais suffisamment perturbant pour ne pas se laisser oublier.
MCinéma.com
Hélène Lapiower, dans le rôle de la mère qui ne saisit jamais vraiment l'enjeu de la situation, Grégoire Colin et Jérémie Rénier ont beau être parfaits, on reste un peu sur sa faim.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) faute de moyens, probablement, on ne sent pas vraiment la guerre et on ne voit presque pas Paris. Ce pourrait être un parti pris intéressant. Seulement, contrairement à Gilles Bourdos qui l'avait réussi dans Disparus, la réalisatrice ne parvient pas à maîtriser totalement l'épure d'une mise en scène, qui, à la longue, apparaît artificielle et forcée.
Aden
On est même surpris qu'avec des sentiments aussi forts, le film soit aussi fade. C'est sans doute que la réalisatrice n'arrête son regard sur rien. (...) Jusqu'à la fin, le film se déroule ; et nous, on attend toujours qu'il commence.
Cahiers du Cinéma
Yolande Zauberman noie ostensiblement les personnages et leurs actes, (...) et égare son propos dans un modernisme grande pompe.
Cine Libre
Peu de mots sont entendus, une économie de dialogue qui ne favorise pas (...) l'appréciation du film. Si ce dernier était voué à rendre témoignage à l'Histoire, il ne marquera sans doute pas celle du cinéma, hélas.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Restent quelques scènes envoûtantes, insuffisantes pour sauver le film.
TéléCinéObs
On comprend qu'une réalisatrice qui n'ose pas demander à un interprète d'aller chez le coiffeur n'aura jamais les moyens de ses ambitions.