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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
c'est une m....Par ou commencer???ce film n'a pas de sens,comment raconter a ses collegues de travail l'histoire de ce film puisqu'il n'en a pas.!!!pourtant la plupart des critiques de ce film etaient bonnes voir trés bonnes!!a croire qu'il n'ont pas vu le meme film que moi!!! rien de plus a ajouter si ce n'est que c'est un calvaire et j'etais a l'agonie pendant presque 2h!!la seule chose qui m'a fait rester dans la salle était le prix de la place:8e pour cette daube!!comme le disait une de mes instit,le temps perdu ne se rattrappe jamais,et bien la je viens de perdre 2 h de ma precieuse vie pour rien!!abominable reste le mot de la fin pour qualifier ce film sans aucun interet!!
Poesie, tendresse, amour et beaucoup de folie, un cocktail qui fait de ce film une pure merveille. Michel Gondry nous entraîne dans la douce folie d'un homme qui refuse de grandir et de se confronter à la réalité. Dans ce rôle Gael Garcia Bernal est parfait, de même que Charlotte Gainsbourg qui incarne la douceur et la fragilité. A voir sans hésiter.
L'idée était pourtant génial et j'aurais pu me laisser prendre à la magie du film si le réalisateur n'était pas tombé dans l'excès. Lui s'est certainement éclaté en faisant le film mais le spectateur se lasse vite des "pétages de plomb" de l'héros et du scénario finalement très bateau. Déçue...
Forcément. Forcément oui, quand on a vu et adoré "Eternal sunshine..." du même Gondry, on ne peut qu'être déçu. Ô combien! Et davantage encore, alors qu'une revue ciné encense le nouvel objet et vous incite à aller le voir illico presto et sans crainte. Je n'achète plus cette revue, c'est décidé, aussi vivante qu'elle se prétend être elle m'a souvent envoyé voir des films morts, sans âme, sans art... Mais qu'avez vous fait Monsieur Gondry de votre talent? Pourquoi nous soumettre cette chose informe, mal jouée, mal filmée qu'on oserait à peine diffuser sur une chaine de télévision un soir d'été. N'aviez vous pas assez d'argent pour faire quelque chose de soigné? La France ne vous inspirait-elle pas autant que l'Amérique pour le film précédent? Avez vous opté pour le moche et le foutraque à tout prix? On ne peut que s'interroger sur les raisons qui nous valent ce déchet. A ceux qui seraient malgré tout tentés par l'aventure d'aller voir le dernier Gondry je dis: "Tant pis pour vous. sans doute avez vous du temps et de l'argent à perdre." Après ce mauvais rêve nous attendons de Monsieur Gondry qu'il se réveille très vite.
Ok, il faut savoir que je garde mes quatres étoiles pour les films exellents car La science des rêveset vraiment très bon. On aime ou non les délires visuels de Michel Gondry qui m'avaient déjà estomaqués dans eternal sunshine of the spotless mind. Ici des dialogues très drôles et le personnage d'Alain Chabat pimentent le tout, le film nous faisant alternativement rire et pleurer. Bref, si vous en avez marre du monde obsédé par les effets spéciaux ahurissant en 3D et l'obsession pour la réalité (qu'elle soit télé ou non) foncez voir ce film rêveur qui célèbre les joies du bricolage et du film artisanale comme on a tous fait dans nos garages.
attention! Film a effet de mode!! Je suis allé voir ce film en ayant des prejuges...et ils se sont confirmes! c'est un film encensé par la critique et par les partisans de la generation "Amelie Poulain"...pourquoi? -Parce que c'est une oeuvre tres personelle. Mais les fantasmes du realisateur ne me passionnent pas. -parce que le film raconte une romance mais remplie de clichés. -parce que le film n'a pas de but et que jusqu'au generique de fin on ne voit toujours pas où il veut en venir. Bref tout les ingredients sont reunis pour faire un film a la mode qui l'epaisseur d'un papier a cigarette.
FANTASTIQUE ! Gondry réalise de nouveau un film magnifique. Les critiques ne tarissent pas d'éloges et comment ne pas être dithyrambique à propos de ce bijou. Jamais l'on ne remerciera assez Gondry de nous faire rêver ainsi. L'une des missions revendiquées du cinéma est bien celle de l'évasion, de la passion, de l'expression et de l'émotion. Gondry, féru de techniques simplissimes et efficaces, déjà appliquées dans éeternal Sunshine of Spotless Mind", nous livre un film extrêmement bien construit. La mise en scène est précise et suffisamment complexe, riche, pour restituer les logiques propres aux rêves. L'alchimie du casting, des éléments à priori disparates, incompatibles entre eux (à priori !) - à savoir Garcia Bernal, Charlotte Gainsbourg et Chabat- fonctionne à merveille. Le protagoniste est touchant de sincérité, de confusion et de mélancolie. Charlotte Gainsbourg lui répond avec brio, car sa douceur naturelle, cette timidité adolescente indécrotable qui la caractérise laisse entrevoir une femme blessée, prudente qui a elle aussi son histoire à gérer. La cohorte de camarades et autres personnages comme Miou-Miou, Chabat, rend cette équipe fort sympathique.
Les partis pris esthétiques et techniques adoptés par Gondry renforcent toujours son propos. Et la morale de l'histoire ne peut pas se résumer qu'en une incitation au rêve, il ne s'agit pas d'un énième exotisme sentimentalo-poétique... Non, la morale nous pousse à croire en l'amour. Gondry nous pousse à garder confiance en nos émotions, mais aussi en nos faiblesses, nos doutes et intuitions.
Il y a un moment que j'ai adoré dans le film, le héros se jette de désespoir sur une porte, se pète la gueule et... on éclate de rire! Voilà, c'est tout ce que j'aime : être baladé entre les rires et les larmes, ne jamais sentir qu'on m'impose une émotion. Ici, pas de surlignage stabilo boss, juste une liberté assumée et aussi le cadeau de vivre une tranche d'émotion ouverte et généreuse. Aller voir ce film c'est prendre une bonne goulée d'air frais, décoller les yeux du trottoir pour toiser l'horizon, fabriquer des objets pas si absurdes pour l'être aimé, et se dire que la vie c'est parfois compliqué mais c'est surtout bien. Merci le Gondry!
Eternal sunshine est un de mes films préfére alors j' avais très envie de voir ce film. J' ai finalement était déçue, il est moins poétique, moins ésthetique. Il reste des scenes marrantes et des moments sympa entre quelque moments d' ennuie
Un film à part qui ne doit passionner que les lecteurs de Télérama. Ce film ne peut se laisser regarder jusqu'au bout qu'en très bonne compagnie et pour se faire pardonner une invitation dans un restaurant fermé. Pour les autres, voici le résumé des épisodes de Sex and the City qu'ils auraient pu voir ce soir à la place de cette m.... : 1er épisode : Carrie et ses amies, qui se rendent à un concours organisé par les pompiers, comprennent que même les femmes fortes ont parfois besoin d'un homme fort. 2nd épisode : Tandis que Samantha rencontre un célibataire de petite taille dans un bar, Miranda et Steve, suivant leurs engagements, négocient leur «contrat de travail». Bonne nuit à tous et ne rêvez pas trop de décors en carton. Matthieu, 34.
Tout donne envie d'aller voir ce film la personnalité du réalisateur qui avait bien maîtrisé son "eternal sunshine....", plein d'acteur appréciables. Le début a l'air sympa mais ne tient pas ses promesses. L'impression la plus forte que m'a faite ce film est l'ennui. On dirait que le réalisateur a compilé une série de chouettes idées farfelues lui passant par la tête, pour en faire un film. Je trouve l'histoire très ténue et attendue: encore une histoire de gars qui est attiré par une nana et qui en séduit une autre parce que c'est plus facile. Je ne sais pas si j'ai vu cette histoire mille fois ou si je l'ai vachement entendue dans des chansons de la "nouvelle scène française". ça fait un peu beaucoup de couleurs criardes et d'hystérie pour pas grand chose. Mon étoile je la donne au formidable travail des animateurs. Pas à la caricature de travail de création artistique. Beaucoup beaucoup de clichés dans ce film issus de la culture bobos ou chaque moment doux doit être sursigné.
Bigre et dire que mon a priori était si favorable.
Magnifique, rêveur,...un bon moment passé en salle, avec des acteurs au meilleur de leur forme et des décors en papier-carton splendide. La musique ne fait que rajouter de la magie dans le monde merveilleux de Stéphane qui nous enchante avec son tendre accent espagnol...Merci Gondry, Bernal et Gainsbourg
J'ai eu envie de voir La science des rêves après avoir à plusieurs reprises vu la bande annonce... et bien j'ai été déçue, à croire que tous les bons moments, ou presque, du film sont dans cette bande annonce... on s'ennuie devant ce film qui manque de rythme et de cohérence entre les personnages dans les moments où le réalisateur filme la réalité. De plus à la fin, de nombreuses questions restent sans réponses, pourquoi cette folie douce du personnage principal, pourquoi Stéphanie veut-elle rester seule ? en deux heures ces questions auraient pu à mon sens trouver une réponse alors que certaines scènes lourdes et longues auraient pu être évitées Cependant il n'y a rien à redire aux scènes de rêves qui sont splendides et vraiment créatives, la télé de stéphane, en carton est une trouvaille, le décor des rêves est superbement fait, tout en matériaux de récupération l'interprétation de Gael Garcia Bernal est, comme toujours ?, excellente même si son personnage aurait pu être appronfondi sur de nombreux plans, de même pour Charlotte Gainsbourg On s'ennuie donc devant ce film qui manque de folie et de rythme même si certaines séquences font vraiment rêver...