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Un visiteur
1,0
Publiée le 14 mars 2008
Charlotte Gainsbourg est radieuse dans ce rôle, tout comme les deux autres personnages principaux d'ailleurs, mais cela n'a pas suffit pour m'emballer. Il faut dire que cet universe loufoque, voir un peu grotesque peut ne pas plaire à tout le monde, dont je fais malheureusement parti. Malgré une réalisation correcte je ne partage pas l'avis général.
Je n'ai pas aimé et me suis ennuyé devant cette fioriture de n'importe quoi. L'idée de mettre en scéne les réves de quelqu'un couplé a une histoire d'amour pouvais sembler originale mais au final je n'ai pas compris où on voulais en venir. De plus je n'aime pas les graphismes et les effets spéciaux. Ridicule, faudrait que je le revois pour capter toutes les subtilités. Dommage car le casting semblait alléchant
Je sais que ma critique va être diffcile à comprendre pour ceux qui ont aimé ce film, mais j'ai vraiment eu du mal à rentrer dedans. L'idée est géniale, et gael garcia joue très bien, mais au final, on tourne en rond sans jamais vraiment savoir le but du film.
Cet univers que construit Gondry est particulièrement original. L'histoire change des trames habituelles. L'aspect graphique est plutôt impressionant. On peut également noter la bonne prestation de Bernal. Malheureusement l'ensemble connait quelques longueurs et le côté délirant/excentrique finit par s'essouffler.
Un univers onirique, poétique, ultra-inventif, tendre et aussi complètement absurde : en un mot génialissime. A mourir de rire mais aussi d'émotion parfois. Une grande bouffée d'air frais.
Heu....Il a fumé la moquette ou quoi??? C'est totalement barré, rafraichissant et vraiment spécial. Moi personnelement je n'ai pas adoré mais je ne peux pas dire que c'est nul. On vit à la fois dans le cerveau, les rêves et cauchemars d'un homme, tout autant que dans sa vie réelle. Bizarre mais bien à l'image de ce réalisateur plutôt hors normes!
Ce film est très touchant. L'histoire de ce jeune homme resté enfant qui mélange rêve et réalité et qui a du mal à nouer des relations avec les autres et cette fille à l'esprit vagabond qui se rencontrent et éssayent de s'accorder m'a beaucoup touché, et les pitreries de Chabat ajoutent un plus à ce film. Et je veut dire à tout ceux qui disent être partient avant la fin qu'ils ont fait une erreur car c'est dans les dernières 20min que le film prend tout son sens.
J'ai été particulierement touché par ce film, pas parce que c'est triste, mais parce que je ne voulais pas quitter l'univers ennivrant qu'il apporte. C'est un film trés particulier a qui je dois beaucoup de chose: la decouverte de Gael Garcia Bernal, une redécouverte de la poesie artistique et un enorme sourire accroché a mes levres en sortant. On entre dans l'univers ou on entre pas mai ca ne peut pas devenir chiant rien que pour l'originalité du scenario et de la realisation. Une perle rare...
Chaque film de Michel Gondry est une bouffé d'air frais.. Ca rechauffe le coeur et ca vous enveloppe comme baisé doux et romantique. Tout simplement un chef d'oeuvre pour les rêveurs, les romantiques, les illuminé, les grands enfants...
Et certainement comme on a pu le lire un grand moment d'ennuie pour les autres.. Autres que je plains dailleurs! Vive l'amour, vive la mélancolie, vive le Beau et vive Michel Gondry!
Pourvu qu'il ne change jamais et nous ponde encore beaucoup d'autres films comme ça! Maintenant on attend Be Kind Rewind... <3<3
Hyper original. Michel Gondry a son style à lui et ça le fait. On fusionne complètement avec le personnage au point de ne plus distinguer le rêve de la réalité.
c'est le grand drame des années ultra libérales: même l'"originalité" est completement formatée...on pense beaucoup à amélie poulain pour ce film: même souci de plaire à la planète entière (plusieurs langues dans les dialogues), filme "frenchie" à vendre partout dans le monde comme un gadget touristique , naiveté simulée (regardez moi je suis un doux reveur, mais.. je sais quend même "me vendre" attention), et en fin de compte une grande banalité et une mièvrerie assez horripilante. Michel Gondry se débrouillait bien avec les scénarios de Kaufmann, plus sincère dans son travail. A soulever: comparez les acteurs américains (ou mexicains ds le cas de ce film) avec les acteurs français ,dirigés par le même réalisateur. Suis-je le seul à remarquer à quel point les acteurs français contemporains jouent completement faux? leur jeu fait parfois ressembler le truc a un film d'étudiant de première année.
Un film qui nous plonge tout droit au fond l'imagination de Stéphane, un artiste décalé qui ne distingue plus le rêve de la réalité. Il va très vite faire la connaissance de Stéphanie, une fille elle aussi très manuelle qui vient d'emménager dans son immeuble. Mais cette rencontre va bientôt révéler que leurs deux vies coïncident de façon très absurde. L'histoire va alors tourner de l'amitié au désespoir pour Stéphane lorsqu'il prendra conscience qu'il est amoureux d'elle. On retrouve la tournure d'esprit de Michel Gondry et son esthétique qui lui est propre – son côté enfantin, sa naïveté, son innocence persévérée. On ne se lassera décidement jamais d'admirer la simplicité dont il fait preuve dans son processus. Il n'y a aucun travail d'infographie, juste une tâche manuelle à la portée de tout le monde, entre bricolage et illusions d'optique. Des effets sans prétentions, juste pour l'amour de la création. C'est finalement ce pourquoi ce film nous est si personnel ; en mélangeant le rêve à la réalité aussi maladroitement – et c'est d'ailleurs ce qui fait tout le charme du film – Gondry nous offre dans un style encore jamais égalé chez un autre réalisateur un improbable chemin vers l'inconscient. Après avoir vu ce film, on y repense de la même façon que l'on se remémorerait un rêve. C'est ce qui fait toute l'intensité du film, on y voit les rêves du protagoniste de la même façon que l'on vivrait les nôtres. La Science des rêves est finalement l'histoire d'un amour impossible qui ne pourra perdurer qu'enfermé dans un songe. Une idylle condamnée à s'épanouir dans la frustration du subconscient d'un artiste malgré lui insociable. Une belle œuvre naviguant entre rêve et réalité où l'on fini par ne plus savoir faire la part du vrai et du faux. Un véritable retour à l'enfance... [mon blog de critiques ciné : http://redross.skyblog.com]