Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
A l'opposé de la plupart des films sur les cités, le scénariste Bibi Naceri et le réalisateur Manuel Boursinhac renouent avec la quintessence du film noir, en créant des personnages, qui, comme les héros de tragédie, sont l'instrument de leur perte.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Ce polar donne donc une juste idée de la réalité et tient du document.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Le scénario imaginé par Bibi Nacéri, le frère de Samy, sert de base à un thriller efficace.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Novaplanet.com
par Alex Masson
De La Mentale à la morale, il n'y a pas forcément qu'un faux pas à franchir : le scénario, même convenu, ayant pourlui la force de personnages écrits dans une certaine rigueur, associé à une mise en scène pas toujours heureuse, mais évitant la flambe.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Ouirock.com
par Pascale Lagahe
(...) si la première partie du film traîne un peu en longueur (et en paroles inutiles), on se laisse vite prendre dans le tourbillon fatal des règlements de compte et des casses spectaculaires. Contrairement à certains films où les méchants peuvent paraître sympathiques, LA MENTALE ne fait rien pour rendre ces gangsters moins cruels qu'ils ne le sont.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
MCinéma.com
par Grégory Caulier
Le pari de Manuel Boursinhac (...) de réaliser un film noir et sans concessions n'est qu'en partie réussi et l'on reste froid devant cette succession de meurtres de sang-chaud.
Première
par Christophe Narbonne
Portée pendant des années par Bibi Naceri, l'histoire est nourrie de ces influences mais aussi d'un vécu qui transpire à l'écran (...). Les quelques maladresses sont surtout à mettre au compte de la production.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
En ligne de mire ambitieuse : le cinéma de JeanPierre Melville. (...) Pour le style, La Mentale ressemble autant à un film de l'auteur du Samouraï qu'une méduse à un homard. Le style de Melville, c'est l'épure, le trait, le silence, la rigueur jusqu'au rigorisme pour exprimer une morale de droiture et d'honneur. La Mentale, tout le contraire. Ça bouge dans tous les sens pour faire film d'action, mais ça ne signifie rien.
Brazil
par Hervé Deplasse
La Mentale, c'est tout sauf du cinéma.
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Hélas, même ce pseudo-brio se dégonfle d'emblée comme une baudruche : emphatique jusqu'au bout des ongles, Boursinhac s'avère incapable de signer un plan digne et s'acharne plutôt à suivre le trajet saint-sulpicien de Dris dans une sorte de ragoût douteux où les protagonistes les plus détestables bénéficient d'une trouble fascination, comme érigés en modèles téméraires d'un univers dépourvu de toute morale.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Avec Samuel Le Bihan en fils aîné d'une famille maghrébine et Clotilde Courau dans le rôle d'une Gitane sulfureuse, le film manque cruellement de crédibilité. Mais c'est surtout le lyrisme qui fait défaut. Aucune beauté n'émane des mouvements de cette bande de décérébrés obsédés par l'argent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Fathi Beddiar
Se voulant lourdement tape-à-l'oeil, avec ses dialogues prémâchés, des scènes d'action rivalisant de justesse avec des téléfilms allemands, et sa description fantaisiste du milieu de la pègre, le film ne provoque rien, si ce n'est qu'un long et lourd ennui.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jacques Morice
Un film boursouflé mais promis à cartonner, drappé dans l'authentique et sonnant authentoc.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
TéléCinéObs
A l'opposé de la plupart des films sur les cités, le scénariste Bibi Naceri et le réalisateur Manuel Boursinhac renouent avec la quintessence du film noir, en créant des personnages, qui, comme les héros de tragédie, sont l'instrument de leur perte.
Le Figaroscope
Ce polar donne donc une juste idée de la réalité et tient du document.
Le Parisien
Le scénario imaginé par Bibi Nacéri, le frère de Samy, sert de base à un thriller efficace.
Novaplanet.com
De La Mentale à la morale, il n'y a pas forcément qu'un faux pas à franchir : le scénario, même convenu, ayant pourlui la force de personnages écrits dans une certaine rigueur, associé à une mise en scène pas toujours heureuse, mais évitant la flambe.
Ouirock.com
(...) si la première partie du film traîne un peu en longueur (et en paroles inutiles), on se laisse vite prendre dans le tourbillon fatal des règlements de compte et des casses spectaculaires. Contrairement à certains films où les méchants peuvent paraître sympathiques, LA MENTALE ne fait rien pour rendre ces gangsters moins cruels qu'ils ne le sont.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Le pari de Manuel Boursinhac (...) de réaliser un film noir et sans concessions n'est qu'en partie réussi et l'on reste froid devant cette succession de meurtres de sang-chaud.
Première
Portée pendant des années par Bibi Naceri, l'histoire est nourrie de ces influences mais aussi d'un vécu qui transpire à l'écran (...). Les quelques maladresses sont surtout à mettre au compte de la production.
Aden
En ligne de mire ambitieuse : le cinéma de JeanPierre Melville. (...) Pour le style, La Mentale ressemble autant à un film de l'auteur du Samouraï qu'une méduse à un homard. Le style de Melville, c'est l'épure, le trait, le silence, la rigueur jusqu'au rigorisme pour exprimer une morale de droiture et d'honneur. La Mentale, tout le contraire. Ça bouge dans tous les sens pour faire film d'action, mais ça ne signifie rien.
Brazil
La Mentale, c'est tout sauf du cinéma.
Chronic'art.com
Hélas, même ce pseudo-brio se dégonfle d'emblée comme une baudruche : emphatique jusqu'au bout des ongles, Boursinhac s'avère incapable de signer un plan digne et s'acharne plutôt à suivre le trajet saint-sulpicien de Dris dans une sorte de ragoût douteux où les protagonistes les plus détestables bénéficient d'une trouble fascination, comme érigés en modèles téméraires d'un univers dépourvu de toute morale.
Le Monde
Avec Samuel Le Bihan en fils aîné d'une famille maghrébine et Clotilde Courau dans le rôle d'une Gitane sulfureuse, le film manque cruellement de crédibilité. Mais c'est surtout le lyrisme qui fait défaut. Aucune beauté n'émane des mouvements de cette bande de décérébrés obsédés par l'argent.
Mad Movies
Se voulant lourdement tape-à-l'oeil, avec ses dialogues prémâchés, des scènes d'action rivalisant de justesse avec des téléfilms allemands, et sa description fantaisiste du milieu de la pègre, le film ne provoque rien, si ce n'est qu'un long et lourd ennui.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Un film boursouflé mais promis à cartonner, drappé dans l'authentique et sonnant authentoc.