Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cinopsis.com
par Eric Van Cutsem
Seule la fin du film parvient à réellement distiller un peu de suspense, pour le reste il faudra vous contenter de voir des images, encore des images et toujours des images... C'est vrai qu'au cinéma c'est important mais pas suffisant...
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Les comédiens se démènent avec énergie mais n'ont pas grand-chose à défendre dans cette bande-dessinée camionneuse. SUEURS n'atteint pas la tension et le souffle du film de Clouzot ou de l'univers de Sergio Leone. Heureusement, il y a quelques secondes de répit : la drôlerie d'Hubert Saint-Macary et la beauté de Nozha Khouadra.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
La bêtise de Sueurs autant que sa mise en scène hideuse le rendent caduc au bout d'un quart d'heure.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Résultat : une séance de torture qui donnerait envie de revoir tous les films de Romain Goupil en boucle. Pas le moindre des effets nocifs engendrés par une telle atrocité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un camion dans le désert conduit par un Jean-Hugues Anglade sur-halluciné ayant la tête de Florent Pagny. Dommage qu'on ait oublié en route un élément important : le scénario. (...) Sorti de là, c'est un festival de cadrages et d'angles biscornus, où le réalisateur, spécialiste des publicités d'autos, s'amuse comme un fou. Pas nous.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le scénario de Sueurs ressemble à un projet expérimental, ou à un pari stupide : enfermer durant cent minutes quatre crétins mal rasés dans un camion chargé d'or et traversant le désert. Et alors ? Alors, rien. Pourtant, que la montagne est décorative, le Sahara propice aux virtuosités de caméra, et le camion cinégénique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Au final, "Sueurs" fait surtout beaucoup de bruit pour pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Laurianne De Casanove
Sueurs n'est qu'un long clip ennuyeux, entrecoupé de quelques pathétiques touches d'humour.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Stéphane Moïssakis
Que les personnages présentés soient déjà de fieffés idiots qui n'en manquent pas une pour horripiler le spectateur (...) passe encore. Mais les enjeux sont limités par une mise en image parfaitement incongrue, dans laquelle les scènes d'action sont filmées en gros plans (pour la plupart) et les scènes dites d'expositions sont cadrées larges.
Obejctif-Cinema.com
par Gilles Lyon-Caen
Sueurs, pas un film de genre, presque un genre de film. Juste rien.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Première
par Sophie Grassin
Loin, très loin du Salaire de la peur et de Mad Max dont il se revendique clairement, le premier film de Louis-Pascal Couvelaire, (...) sombre dans l'esthétique carcérale et toc du clip surléché.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par François Gorin
Ca commence par un remake du Salaire de la peur sans explosifs, ça se poursuit par un remake du Boulet (déjà) sans comique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cinopsis.com
Seule la fin du film parvient à réellement distiller un peu de suspense, pour le reste il faudra vous contenter de voir des images, encore des images et toujours des images... C'est vrai qu'au cinéma c'est important mais pas suffisant...
MCinéma.com
Les comédiens se démènent avec énergie mais n'ont pas grand-chose à défendre dans cette bande-dessinée camionneuse. SUEURS n'atteint pas la tension et le souffle du film de Clouzot ou de l'univers de Sergio Leone. Heureusement, il y a quelques secondes de répit : la drôlerie d'Hubert Saint-Macary et la beauté de Nozha Khouadra.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
La bêtise de Sueurs autant que sa mise en scène hideuse le rendent caduc au bout d'un quart d'heure.
Chronic'art.com
Résultat : une séance de torture qui donnerait envie de revoir tous les films de Romain Goupil en boucle. Pas le moindre des effets nocifs engendrés par une telle atrocité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Un camion dans le désert conduit par un Jean-Hugues Anglade sur-halluciné ayant la tête de Florent Pagny. Dommage qu'on ait oublié en route un élément important : le scénario. (...) Sorti de là, c'est un festival de cadrages et d'angles biscornus, où le réalisateur, spécialiste des publicités d'autos, s'amuse comme un fou. Pas nous.
Le Monde
Le scénario de Sueurs ressemble à un projet expérimental, ou à un pari stupide : enfermer durant cent minutes quatre crétins mal rasés dans un camion chargé d'or et traversant le désert. Et alors ? Alors, rien. Pourtant, que la montagne est décorative, le Sahara propice aux virtuosités de caméra, et le camion cinégénique.
Le Parisien
Au final, "Sueurs" fait surtout beaucoup de bruit pour pas grand-chose.
Libération
Sueurs n'est qu'un long clip ennuyeux, entrecoupé de quelques pathétiques touches d'humour.
Mad Movies
Que les personnages présentés soient déjà de fieffés idiots qui n'en manquent pas une pour horripiler le spectateur (...) passe encore. Mais les enjeux sont limités par une mise en image parfaitement incongrue, dans laquelle les scènes d'action sont filmées en gros plans (pour la plupart) et les scènes dites d'expositions sont cadrées larges.
Obejctif-Cinema.com
Sueurs, pas un film de genre, presque un genre de film. Juste rien.
Première
Loin, très loin du Salaire de la peur et de Mad Max dont il se revendique clairement, le premier film de Louis-Pascal Couvelaire, (...) sombre dans l'esthétique carcérale et toc du clip surléché.
Télérama
Ca commence par un remake du Salaire de la peur sans explosifs, ça se poursuit par un remake du Boulet (déjà) sans comique.