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    Adieu l'ami
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    Xavier Sanctus
    Xavier Sanctus

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 novembre 2023
    Film d'action polyvalent avec 2 grande stars de l'époque, Delon et Bronson!!! Scénario de Japrisot, mise en scène de herman, avec Brigitte Fossey aussi!!!
    dahbou
    dahbou

    204 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 octobre 2023
    Bronson et Delon assure le spectacle et mouillent la chemise dans ce polar qui demeure une bonne serie B transcendé par la présence de ces stars.
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    228 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2023
    Delon et Bronson réunis pour la première fois (ensuite, ça sera dans "Soleil Rouge" en 73) dans ce film de Jean Herman. Deux hommes dans une chambre forte de banque, qui se sont volontairement laissé enfermer pour deux raisons différentes. L'un veut cambrioler la banque, l'autre remettre dans le coffre des documents qui ont été volés par une amie qui regrette son geste. D'abord antagonistes, les deux hommes vont se lier.
    Un polar ma foi très réussi, mais surtout grâce à son duo d'acteurs, il faut bien le dire. Le scénario part d'un postulat de base assez peu conventionnel et, on peut le dire, peu crédible, mais est quand même assez bien ficelé. La réalisation est fonctionnelle, sans plus. Un honnête divertissement, pas un grand film, absolument pas un ratage, le genre de film que l'on regardera le dimanche soir avec plaisir ...mais ce film semble ne pas avoir été diffusé à la TV depuis fort longtemps, ou je me trompe ? C'est en tout cas avec l'aide du DVD que je l'ai découvert, et même sous ce format, c'est sur le marché de l'occasion que j'ai dû me tourner pour me le procurer..
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    273 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2023
    Assez curieux sous bien des aspects, ce film de braquage aux motivations ambiguës retient d'abord l'attention pour son casting, et quelle opposition en l'occurrence entre Delon et Bronson qui ont droit à une moitié de film rien que pour eux et s'en donnent à cœur joie. La dimension policière qui prédominera dans un deuxième temps s'avère plus ordinaire, tout comme le jeu assez quelconque des seconds rôles (Bernard Fresson mis à part). Le film ne flamboie pas par sa mise en scène qui se contente d'un minimum syndical, juste de quoi auréoler une histoire d'hommes virils et machos, dont les interprètes font clairement tout le sel.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    130 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 février 2023
    Salut l'ami, adieu le trésor. Les agonies les plus courtes sont les meilleures. Un glissement progressif du plaisir. Choisis ton camp. J'aime qu'on m'aime comme je m'aime, Alain Delon aime évidement.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 178 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 octobre 2021
    En 1968, Alain Delon n’est pas encore au sommet de sa gloire mais il est déjà une énorme vedette qui a déjà tourné une partie des grands films qui resteront de lui. « Plein soleil » de René Clément en 1960, « Rocco et ses frères » suivi du « Guépard » de Luchino Visconti respectivement en 1960 et 1963 puis « L’insoumis » d’Alain Cavalier en 1964 et « les aventuriers » de Robert Enrico en 1967 ou encore « Le samouraï » de Jean-Pierre Melville en la même année sont autant de pièces maîtresse d’une carrière prestigieuse. Juste après avoir travaillé pour la première fois avec le taciturne Jean-Pierre Melville, il est contacté par le producteur Georges Silberman pour tenir le rôle-titre d’un film d’aventure écrit par Sébastien Japrisot et réalisé par à Jean Herman, ancien assistant dont ce sera le deuxième long métrage. Pour faire un coup commercial, les deux hommes pensent associer Alain Delon à un acteur américain. Delon qui vient de faire trois films à Hollywood, exige que celui qui sera recruté soit au moins doté d’une notoriété équivalente à la sienne. Un peu dédaigneux, il commence par refuser Charles Bronson qui pour des raisons financières, a été choisi essentiellement par Herman et Silberman. L’affaire se conclut quand même, amenant les deux hommes à se livrer une concurrence d’ego dont Jean Herman dira qu’elle a phagocyté une grande part de son énergie. Charles Bronson en particulier s’avère méprisant pour les méthodes de tournage françaises qu’il juge peu professionnelles. Cette ambiance plus que tendue se ressent jusque sur l’écran, les deux acteurs cabotinant à qui mieux pour la palme de la virilité et des regards figés face caméra. Le scénario déjà taillé à la serpe n’aide pas à calmer les ardeurs. Le spectateur doute donc très vite de la crédibilité de ce hold-up perpétré par deux anciens légionnaires dont l’un est un médecin capitaine (Alain Delon) qui pour se racheter de la mort de son meilleur ami qu’il a tué accidentellement, accepte de venir à l’aide de sa veuve (Olga Georges-Picot) en se laissant enfermer dans la chambre forte de l’entreprise où elle travaille pour placer dans le coffre des documents compromettants. On n’en saura jamais plus sur le fond de l’affaire qui importe peu, l’essentiel de l’opération étant de proposer un duel musclé entre Delon et Bronson le temps d’un week-end de Noël passé dans la fameuse chambre forte pour tenter d’ouvrir un coffre dont ils ne connaissent que quatre chiffres sur les six de la combinaison. Les temps de présence à l’écran des deux vedettes, examinés à la loupe par chacune d’entre elles ainsi que leur répliques font que l’ensemble paraît vite artificiel et totalement désincarné. On s’ennuie assez vite à la vision de ce film qui malgré ses carences évidentes aura tout de même atteint son but. : faire un bon score au box-office. Visiblement très déçu par cette expérience, Jean Herman ne s’éternisera pas derrière la caméra, préférant tout d’abord écrire des scénarios puis des romans sous le nom de jean Vautrin grâce auquel il est passé à la postérité. Paradoxalement, Alain Delon et Charles Bronson partageront encore une fois l’affiche trois ans plus tard dans « Soleil Rouge » de Terence Young. Mais « Il était une fois dans l’Ouest » de Sergio Leone sera passé par là, faisant de Charles Bronson une star mondiale.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 147 abonnés 5 132 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 septembre 2021
    Un film sous forme de duel.
    Déjà ça partait mal. Un réalisateur français avec des acteurs français et un auteur français qui tourne un film en anglais. Vraiment nul.
    Sur la forme, il y a ce silence pesant. Cette épaisseur désagréable. Ce décor froid et sur la forme une histoire plutôt étrange et très peu passionnante pour moi. Je passe.
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 avril 2021
    Je me souviens d’un succès d’estime qui ne m’avait guère marqué. Aujourd’hui je le jugerai plutôt comme une série B mal ficelée, construite uniquement pour deux stars de l’époque (Delon belle gueule et Bronson la gueule) qui pantouflent comme ils peuvent dans une histoire tordue indigne de Sébastien Japrisot. Un coup de fatigue peut-être ? Rien à ajouter sinon qu’il ne mérite que l’oubli après l’ennui qu’il provoque.
    Choublane4
    Choublane4

    3 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 décembre 2020
    spoiler: Dino Barran (Alain Delon), légionnaire-médecin démobilisé, accepte d'aider la femme (Olga Georges-Picot) d'un compagnon d'armes qu'il a tué accidentellement, pour honorer la mémoire de son ami. Il doit se laisser enfermer dans la chambre forte de l'entreprise où elle travaille afin d'en ouvrir le coffre-fort et y replacer des documents compromettants pour elle. Ne connaissant qu'une partie de la combinaison qu'elle lui a donnée, la durée de la trêve de Noël ne sera pas de trop. Mais le coffre contient aussi plusieurs millions, la paie du mois des salariés de l'entreprise. Il se retrouve obligé d'impliquer Franz Propp (Charles Bronson), camarade légionnaire démobilisé en même temps que lui et qui a pour lui une vraie affection, mais à qui les millions du coffre ont donné d'autres idées. Le soir du réveillon de Noël, Dino revient dans l'entreprise, profitant de la confusion du départ du personnel. Toutefois, il se retrouve nez-à-nez avec Franz, persuadé que Dino prépare un gros coup. Parvenant à esquiver les rondes des vigiles toutes les 6 heures, les deux comparses, enfermés dans le local blindé, parviennent à ouvrir le coffre-fort mais constatent qu'il est vide: quelqu'un a déjà emporté les deux cent treize millions. En essayant de partir, le Mardi 26, avant la réouverture des bureaux, ils retrouvent le corps du gardien au sol, criblé de quatre coups de revolver. La police a déjà investi les lieux tandis qu’ils se retrouvent dans un petit bar. Craignant pour eux l'accusation du meurtre, ils décident de se séparer, en prenant séparément l’avion pour Marseille, tout en se promettant de se couvrir mutuellement en cas de capture. Deux jours plus tard, Franz est capturé à l’aéroport par l'inspecteur Meloutis, tandis que Dino parvient à s'échapper. Les journaux et les panneaux d’affichage abondent d’informations sur le crime commis par le Médecin-militaire. Dino, chassé, cherche Isabelle et découvre, aux dires du secrétariat, joint par téléphone, qu'aucune Isabelle Moreau ne fait partie des employés de l'entreprise. Sa seule issue pour se disculper est de retrouver le dossier médical d'Isabelle. Pour y parvenir, il se rend donc au domicile parental de son ex-assistante, la jeune étudiante nommée Austerlitz, qui, amoureuse de lui, promet de chercher le dossier d'Isabelle et de le lui remettre. Partis tous deux à la recherche du dossier, Austerlitz apparaît aux côtés d'Isabelle, tenant en main le revolver de Dino: les deux étaient complices et auteurs du coup. Dino a une discussion au cours de laquelle Isabelle admet sa responsabilité, tandis que Meloutis, caché avec ses agents à proximité, écoute l’intégralité des aveux. La police fait soudain irruption, Isabelle tire sur Dino la dernière balle laissée dans le revolver, mais elle le manque, et tue malencontreusement un inspecteur. Stationnés pour bloquer la fuite des deux femmes, à travers les couloirs des bureaux, voyant Isabelle armée, d’autres agents déchargent leurs mitrailleuses sur elle et Austerlitz, les tuant tous les deux. Désormais disculpés de quelconques complicités, Dino et Franz, amené sur les lieux pour confronter Dino, sont séparés, non sans avoir maintenu leurs engagements de ne pas « balancer » le complice. La scène finale laisse éclater la joie de Dino.
    pierrre s.
    pierrre s.

    426 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juin 2018
    Un choc entre deux grandes stars qui fait pschitt! Adieu l'ami repose sur une histoire bancale et se laissera vite oublier.
    NeoLain
    NeoLain

    4 961 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 janvier 2017
    Delon / Bronson, avant le ratage de Soleil rouge, Adieu l'ami est celui qui faut voir. Ici le duo se narguent mais au fond ils se respectent. Tous deux se retrouveront fait comme des rats à l'intérieur d'une pièce coffre-fort. En sortiront-ils ?
    ferdinand75
    ferdinand75

    548 abonnés 3 868 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 décembre 2015
    Un très gros succés des années 60, qui réunissait deux grandes stars de l'époque ( Charles Bornson était aussi une star bankable, moins connu de la jeune génération ), pour un policier bien mené et efficace. Il faut aussi noter la présence la très belle et intriguante Olga Georegs Picot, qui n'a pas fait la carrière qu'elle aurait du faire. Un bon film d'aventure .
    Françoise P.
    Françoise P.

    4 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 octobre 2014
    Rencontre au sommet avec Delon et Bronson.
    Polar bien ficelé.
    Suspense garanti.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 mars 2014
    J'ai appris la date de la bataille de Waterloo. (C'était la petite chose utile du film, merci.)
    Il y a certains films comme ça qui vous attire par le casting. Après tout c'est rare de voir deux gros noms du cinéma de deux nations différentes attirer toute l'attention dans un même film. On en a eu, certes, des français rencontrer des britaniques, ne serait-ce que dans les James Bond, mais aurait-on pu avoir plus belle affiche que Alain Delon contre Charles Bronson ? C'est comme ci aujourd'hui on nous servait un Christian Bale contre Vincent Cassel qui est, pour moi, avec ma plus grande des objectivités, reste l'acteur français le plus respectable et réputé actuellement même si je suis loin d'être un grand fan de celui qui incarne la bête dans le naufrage "La belle se fait prendre par la bête", à moins que je n'ai pas vu le bon film. Le premier en revanche, reste le plus grand acteur du 21ème siècle, tu l'as sens ma grosse objectivité ? Bref, Charles et Alain dans le même film, c'était aussi inespéré que d'avoir un Pape qui ne soit pas mêlé de près ou de loin à certains trafics d'enfants. Et nous l'avons eu ! Pas le pape, le film.

    Stoppons la politique et les blagues vaseuses, et passons au film. Au FILM devrais-je dire, car quand des titans de l'écran se retrouvent face à face, on peut parler de monument historique. Et quel film ? Quel impact aura eu "Adieu l'ami" sur le cinéma français et même américain, par delà ses scènes de combats irréprochables, son casting en or, ses musiques à couper le souffle (et par conséquent l'envie de vivre), son scénario dur de l'oreille comme Deferre, cette enquête incroyable, son suspens céleste, sa mise en scène délicieuse et tout à fait charmante ? Est-ce que ce film d'une grandeur sans limite a-t-il eu la parfaite reconnaissance qu'il méritait ? Et qu'est-ce qu'il méritait ? Rien. Stoppons ici le sarcasme facile et les quolibets enfantins. Puisque ce qui est vendu comme un face à face, à savoir " l'un veut remplir le coffre, l'autre veut le vider ", ce qui nous laisse présager de longues minutes de tension entre Bronson et Delon, se résume à une franche camaraderie sympathique et vénielle, creuse, totalement vide, terne, inconsistante, futile, dérisoire, anodine, totalement inutile.

    Le film est composé d'une première partie absolument lassante, où l'on nous sert des passages d'une inutilité flagrante, où l'on nous installe nos personnages de façon quasi-aléatoire et bancale, nos personnages sont remplis de vide, on le sent déjà à plein nez, rien ne fera d'eux des personnalités dont nous nous rappellerons après la fin du générique (et quel générique !), et aussitôt le film achevé, on ne se souvient déjà plus du prénom, du caractère, des ambitions des personnages. Ils ne sont personne. E voilà que l'on passe trente-cinq longues minutes à s'intéresser à des gens qui ne nous intéressent pas. Et ça, j'ose vous le demander … est-ce bien raisonnable ? (dixit Desproges). Une fois arrivé le moment même du casse, on obtient un léger moment de tension, notre intérêt s'éveille, mais cela ne nous empêchera pas de tergiverser entre la décision de rire un bon coup des combats à coup de manchette et de bond en avant ou à vraiment nous intéresser à l'intrigue qui se dessine. Mais dès lors qu'à lieu la grande évasion (ellipse volontaire sur le seul passage intéressant du film), nous replongeons dans une monotonie profonde, profonde, profonde, et l'enquête de notre bon vieux policier n'arrivera pas à nous tirer de notre indifférence.

    Je vois déjà ici, finir ma triste vie, face à l'écran ici, je meurs et je languis. Oui, quand je m'emmerde profondément, il m'arrive d'improviser quelques alexandrins. Et quelle ne fût pas ma surprise quand je découvris que le pire m'attendait ? Oui, je suis passé outre les scènes d'action lamentables et nauséeuses, oui, je suis passé au-delà d'un Bronson doublé par Popeck, je suis passé par-dessus le suspens nase qui se résume à un seul moment : " Va-t-il faire déborder le contenu de son verre avec ses pièces ? ", mais je ne peux pas laisser passer le jeu d'actrice pitoyable de cette pouffiasse grimée et amorphe, et par-dessus tout, cette voix qui est pire que le pire des cauchemars. Elle retentit dans ma tête, hypnotisant anesthésique. Jamais je n'ai pu ingurgiter pareil somnifère que cette voix abattue. Et j'ai presque joui lorsque Delon lui envoie une mandale en pleine gueule. La justice se salit parfois les mains.

    Aussi, je ne peux pas penser à attribuer une bonne note à ce film grâce à sa fin, car s'il y a bien quelque chose que l'on retient d'un film, c'est son dénouement (quand il est existant). Là, j'ai rarement vu une fin aussi brutale et inutile. Entendons nous bien, par brutale je veux dire inadaptée, mal amenée, totalement ratée. Et je ne parle pas de la toute fin où Delon nous lâche un YEAAAAAAAAAAH inexpliqué. Avec tout le sérieux du monde, je dirai que le manque de suspens et d'un bon scénario surtout handicape grandement le film. Les actrices également. Et le manque de budget sans doute aussi. Ce film est indigne de ces deux acteurs qui ont leur renommée, Bronson et Delon ont tous les deux sorties de belles merdes indigestes mais ce n'est pas pour autant qu'ils ne nous ont pas bluffés dans plus de films. Si la seconde partie peut être intéressante, elle est quasiment éclipsée par le début et la fin qui nous fera bailler plus de fois que devant l'interminable film de BHL dont NON, je ne citerai pas le nom maudit.

    Bon Film :) YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 janvier 2014
    Très bon film policier qui ne dénote en rien quarante ans plus tard et qui se laisse toujours regarder avec autant de plaisir. Bronson et Delon sont dans leur plus grande forme, heureusement car les actrices ne sont pas vraiment convaincantes. Heureusement, elles n'apparaissent pas trop souvent et surtout pas trop longtemps à chaque scène, juste le nécessaire. A voir et revoir
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