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Jahro
55 abonnés
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3,0
Publiée le 8 octobre 2017
Trois ans après avoir sauvé la reine, l’inspecteur dingo Drebin remet le couvert pour son cher président. C’est Bush senior. Autant vous le dire, on le croise dès l’ouverture. Le duo toqué de George Kennedy (qui n’a jamais gouverné les Etats-Unis) et de l’impayable Leslie Nielsen rempile, donc, mais en un peu plus mou, moins concerné, plus réchauffé. Le scénariste brode autour de l’idylle entre Franck et Jane ; et on lâche un premier bâillement. Certes c’est toujours cette grand-messe du gag, qui jongle entre absurde, clowneries, grotesque et grivoiseries, parcourant tous les échelons du rire, du bon-enfant au plus franchement odieux. Mais elle est plongée ici dans une ambiance jazzy feutrée, pépère, passée, couverte d’une fine couche de poussière qui sent la pantoufle et bientôt la retraite. Eh oui, encore un long issu de l’éphémère série Police squad, et les ZAZ fermaient boutique, en tout cas dans cette formule, chacun partant suivre sa propre voie pour le meilleur et souvent le pire. (Jim Abrahams s’en tirera tout de même mieux que ses confrères, puisque c’est à lui qu’on devra plus tard Hot shots!) Alors, que retenir de cet avant-dernier Y-a-t-il d’ascendance officielle ? A l’évidence, que les bonnes choses ont toujours une fin.
Toujours aussi loufoque, cette suite s’adresse à un public averti.. Ça ne vole pas très haut mais la drôlerie des situations est bien présente. Le personnage de Frank Drebin est au top. Son air hébété à chacune de ses bourdes vaut le détour !
y a t'il un flic pour sauver le president , qui est la suite du très bon y-a-t-il un flic pour sauver la reine , franchement est très bon, très drôle, très amusant , et loins du politiquement correct de aujourd'hui car beaucoup de séance ou de gags ne pourrait plus être fait à notre époque malheureusement car maintenant on ne peux plis'rien faire et sa devenien ennuyeux de faire des comédie car c'est toujours correct c'est presque impossible de faire de bonne comédie sauf kaamelott qui heureusement sauve encore peux le niveaux mais revenons à notre sujet . Le casting est identique au premier volet , avec des bonne scène drôle et bon gage , des bon 1cteurs qui sont tous en tre grande forme . Histoire de ce second opus est vraiment de meilleur qualité et on vois qu'il on pris plus le temps de divertir le public pour faire rire les spectateurs. Il y a des idées originales, et ça reste agréable à regarder pour se changer les idées et rire un peu sans se prendre la tête. En plus ce n'est pas donné à n'importe qui de réussir ce type de film un peu foufou, et beaucoup de film du genre sont hélas catastrophiques. bref a regarder avec plaisir pour ce détendre et une soiree sans prise de tête après une journée de boulot .
Un best de la comédie ! Chaque plan, chaque geste, chaque parole, et acteurs est au diapason. A mourir de rire ! Un classique. Le point fort : Leslie Nielsen évidemment !
Le premier opus ayant été une incontestable réussite, une suite aux aventures du lieutenant Frank Drebin était inévitable et, surtout, très attendue. Au final, "Y a-t-il un flic pour sauver le Président ?" (toujours concocté par le diabolique trio des ZAZ) est, certes, inférieur à son prédécesseur mais n’en reste pas moins une comédie parodique très sympa, boostés par d’excellents moments (les malheurs de Barbara Bush en tête) et des dialogues toujours aussi hilarants ("Oh, toutes mes félicitations, il paraît que ta femme est de nouveau enceinte - Ah, si je coince le salaud qui a fait ça !!", "J’aime mieux être seul. J’ai jamais culbuté autant de filles depuis que j’étais scout !!"…). Et le plaisir de retrouver le casting du premier opus participe, bien évidemment, à la réussite du film, avec l’inimitable Leslie Nielsen qui reprend le rôle de sa vie, George Kennedy en coéquipier à côte de la plaque, Priscilia Presley amour perdu, O.J. Simpson dans un rôle un peu plus étoffé. Parmi les nouveaux, on retiendra Robert Goulet en bad guy (trop calqué sur le méchant du premier opus) et Richard Griffiths en scientifique. Malheureusement, on ne peut que regretter que les scénaristes se soient un peu trop reposés sur leurs lauriers, en reprenant, plus ou moins, la trame de l’opus précédent avec un Drebin admiré puis remis en question pour finalement être à nouveau considéré comme un héros, son homme d’affaires véreux qui s’avère être le patron de Jane ou encore son Nordberg abonné aux emmerdes en tout genre. Un peu plus de renouvellement aurait été le bienvenue (ce qu’est parvenu à faire "Hot Shot 2"). Pour autant, ce second épisode reste bien supérieur au troisième (et dernier) opus de la saga, de triste mémoire…
En dépit de quelques bons gags, cet opus n'est pas exactement le meilleur de la série: Leslie Nielsen assure le spectacle, mais l'inspiration n'est pas toujours au rendez-vous. On s'amusera des clins d’œil aux grands classiques du 7e art et de quelques trouvailles sympathiques, mais à bien des égards cette nouvelle aventure de Frank Drebin n'atteint pas le niveau du premier volet, donnant un peu trop le sentiment d'être en pilotage automatique.
Frank Drebin est de retour. La mise en bouche lors d’un repas officielle à la Maison Blanche où le flic fait partie des invités après avoir moucher son 1000ème dealer donne d’emblée le ton. La suite est du même acabit mais fini par marquer le pas. Le film de David Zucker reste toutefois un recommandable produit pour se muscler les zygomatiques.
Quand les frères Zucker sont lancés, rien ne les arrête : ils rempilent avec une nouvelle aventure loufoque du lieutenant Debris qui essaie de défaire un complot contre le président. Il faut laisser tomber l'espoir d'une réalisation hors norme où ici le film ressemble plus à un produit télé, et se concentrer aux dialogues, aux gags jouant sur l'inattendu, propres au trio ZAZ. Leur burlesque fonctionne à merveille et fait passer un bon moment.
Il serait faux de dire que je ne me suis pas marré devant "Y a-t-il un flic pour sauver le président ?" mais je me suis moins marré que devant "Y a-t-il un flic pour sauver la reine ?" sorti 3 ans plus tôt, en 1988. Leslie Nielsen fait toujours des merveilles avec son air naïf mais sûr de lui. Le personnage de gaffeur chasseur de juppons lui sied parfaitement, c'est-à-dire que l'on n'a pas du mal à l'imaginer comme ça dans la vraie vie. Tant mieux, ça permet de mieux s'immerger dans la comédie.
Une comédie qui fonctionne toujours même si elle fonctionne moins, comme je l'ai dit plus haut : en effet, beaucoup de vannes font mouche et j'ai éclaté de rire fréquemment. Toutefois, cette fois-ci, certaines vannes font un bide parce qu'elles poussent trop loin le curseur de l'humour gras et en dessous de la ceinture. Le précédent opus avait su bien doser cet humour gras pour ne pas faire faire une overdose au spectateur. L'équipe a un peu moins réussi sur ce coup là.
Mais le film est tout de même plaisant et plutôt drôle.
Ce qui fait la qualité du comique, dans la trilogie The Naked Gun, est le recours systématique au langage cinématographique pour susciter l’hilarité, qu’il s’agisse de la mise en scène ou des nombreuses références extérieures qui sont autant de clins d’œil savoureux. Profondeur de champ, bruitages, mouvements de caméra, hors-champ, éléments de second plan qui viennent perturber le premier – pensons aux serveurs qui ne cessent d’aller et venir lors de la réception organisée par le président et son épouse dans le deuxième volet –, musique qui parodie des thèmes connus, jeu sur les échelles, en témoigne le générique avec sa voiture de police miniature…
Si les ZAZ, comprenons les frères Zucker et Jim Abrahams, empruntent beaucoup aux formes de comique utilisées par le théâtre, ils ont une parfaite conscience du cinéma qu’ils aiment et respectent, ainsi qu’une pleine maîtrise de ses outils. Ils témoignent d’ailleurs d’un sens du rythme inégalé, essentiel pour faire rire : en moins de quatre-vingt minutes s’enchaînent des sketchs tirés au cordeau qui jouissent du talent des comédiens et d’une précision dans le montage. L’intrigue semble alors s’improviser au fil des gaffes et des bavures, à l’instar du centième dealer mis hors service par simple accident de voiture… Voilà la recette d’une excellente comédie, le meilleur opus de la trilogie, The Smell of Fear.
Les ZAZ ont toujours été drôles. Même dans leurs derniers opus assez moyens comme les deux derniers Scary Movie, il y avait des scènes où il est impossible de ne pas rire.
Encore une fois, dans cette suite de l'excellent Naked Gun, on rit. On rit même très souvent. Même si Jim Abrahams et Jerry Zucker n'ont pas écrit cette suite et ont laissé le soin à David Zucker et Pat Proft l'écriture de cette suite, le film reste excellent. En effet, on est encore dans du grand art de parodie. Les acteurs sont totalement responsables de cette réussite, grâce à évidemment Leslie Nielsen et son trio avec George Kennedy et O.J. Simpson, totalement excellents. Comme Priscilla Presley et Robert Goulet sont parfait et que Richard Griffiths en fait des tonnes, heureusement d'ailleurs pour le film, car sa colle totalement avec le reste du film. Ira Newborn retourne pour la musique, d'une qualité hautement supérieure à tout ce que l'on peut entendre aujourd'hui, magnifiée par un générique encore une fois génial, avec l'apparition de la très drôle Zsa Zsa Gabor.
Je finirai sur le fait que c'est une suite réussie, comme quoi, ce n'est pas si rare. Il suffit juste de garder l'esprit du premier et ne rien faire tant que le scénario est bon.
Après avoir vu le premier film on sait à quoi s'attendre mais ce deuxième épisode arrive quand même à nous surprendre avec ces nouveaux gags. Leslie Nielsen toujours fidèle au poste. 3/5
Le meilleur de tous probablement ! Celui-ci apporte un petit plus par rapport aux 2 autres que je ne saurais expliquer, il n'y a qu'à regarder le film et vous verrez. Encore une fois, Leslie Nielsen est très bon.