Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Le réalisateur Léon Desclozeaux filme le Bangladesh qu'il connaît bien pour y avoir produit plusieurs documentaires. Le spectateur se laisse guider par les images et les sons, par les couleurs et les éléments. (...) Nos yeux occidentaux sont bien candides face à ce récit.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Exotique et toc. La partie documentaire de ce film tourné au Bangladesh (...) est tout bonnement splendide (...). Hélas, la fiction, elle, pêche par simplisme. (...) Une trame de mélo hollywoodien réduite à sa plus simple expression.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Quand un documentariste se risque dans la fiction, ça passe ou ça casse. (...). Pour le docu, on est servi. C'est dantesque, extraordinaire (...). Mais il y a aussi la fiction, simplette (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
par Arnaud Malherbe
Emu par la beauté meurtrie du Bangladesh, auquel il a consacré de nombreux reportages, Léon Desclozeaux a éprouvé le besoin de la passer au filtre de la fiction. (...) Il étouffe le pays réel (...). Sous la fiction ratée, donc, il n'y a même pas le regard documentaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par J-B.D
Chittagong, au Bangladesh, est une immense plage (...). Ce lieu unique au monde dégage une poésie baroque et méritait bien à lui seul un documentaire. Alors, pourquoi le réalisateur s'est-il égaré dans cette histoire d'amour (...)?
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par G.L
Sur fond d'incompréhension culturelle et d'innondations terrifiantes, le film multiplie clichés et coïncidences faciles pour développer sa naïve romance exotique (...)
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Véronique Le Bris
Un film témoignage sur une région dévastée, qui vaut plus pour son aspect documentaire et la beauté de ses plans, que pour la fiction plutôt mal jouée et le scénario indigent qu'il abrite.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
MCinéma.com
Le réalisateur Léon Desclozeaux filme le Bangladesh qu'il connaît bien pour y avoir produit plusieurs documentaires. Le spectateur se laisse guider par les images et les sons, par les couleurs et les éléments. (...) Nos yeux occidentaux sont bien candides face à ce récit.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Humanité
Exotique et toc. La partie documentaire de ce film tourné au Bangladesh (...) est tout bonnement splendide (...). Hélas, la fiction, elle, pêche par simplisme. (...) Une trame de mélo hollywoodien réduite à sa plus simple expression.
Les Inrockuptibles
Quand un documentariste se risque dans la fiction, ça passe ou ça casse. (...). Pour le docu, on est servi. C'est dantesque, extraordinaire (...). Mais il y a aussi la fiction, simplette (...)
L'Humanité
Emu par la beauté meurtrie du Bangladesh, auquel il a consacré de nombreux reportages, Léon Desclozeaux a éprouvé le besoin de la passer au filtre de la fiction. (...) Il étouffe le pays réel (...). Sous la fiction ratée, donc, il n'y a même pas le regard documentaire.
Première
Chittagong, au Bangladesh, est une immense plage (...). Ce lieu unique au monde dégage une poésie baroque et méritait bien à lui seul un documentaire. Alors, pourquoi le réalisateur s'est-il égaré dans cette histoire d'amour (...)?
TéléCinéObs
Sur fond d'incompréhension culturelle et d'innondations terrifiantes, le film multiplie clichés et coïncidences faciles pour développer sa naïve romance exotique (...)
Zurban
Un film témoignage sur une région dévastée, qui vaut plus pour son aspect documentaire et la beauté de ses plans, que pour la fiction plutôt mal jouée et le scénario indigent qu'il abrite.