Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Chemin
Film choral et parabolique, La Symphonie du silence étonne par ses sautes d'humeur, sa poésie latente soudain lacérée par la colère.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Zurban
par Emmanuelle Savoy
D'une grande humanité, ce film retrace le travail d'introspection, la quête identitaire et la rédemption d'un homme à la vie agitée. L'excellente interprétation fera oublier quelques longueurs du scénario. Une douce poésie pour la rentrée.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Cine Libre
par Ivan Boher
L'histoire est triste puisqu'elle parle de souffrance, mais elle ne parvient pas à susciter un intérêt grandissant chez le spectateur. Le jeu des acteurs, quant à lui, est d'une extrême froideur. Le regard fixe et la voix grave, ils nous font par moments penser aux parodies de certains films d'essais, rigides et froids.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Le réel point fort de ce film au titre prétentieux réside dans son interprétation. Si les patients sont follement crédibles, le héros promène avec justesse sa dégaine d'ours au regard froid, sensible et/ou violent, gentil et/ou implacable. Au final, ce film arménien, entre drame et polar, se laisse plaisamment découvrir.
Première
par Sophie Grassin
Son film n'est pas indigne, loin de là, mais il manque de puissance, de tumulte et d'acidité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Cécile Mury
La rédemption du gangster passe par une ronde de portraits "pittoresques", dont la fantaisie poétique un peu forcée, un peu attendue, finit par tourner à vide. Seul Mickaël Pogossian, en vieux fauve énigmatique et blessé, offre un peu d'épaisseur à ce conte statique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
L'idée de départ se noie dans les larmes et les nappes de lumière mystique, où flottent des personnages enturbannés de blanc.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un bel écran de fumée pour escamoter la réalité actuelle d'un pays comme l'Arménie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
De sorte que ce projet ambitieux, qui se voudrait une évocation tout à la fois politique et métaphysique de la situation en Arménie, tourne rapidement au huis clos dévotement démonstratif, baignant dans la récurrence d'une lumière blanche qu'on attribue plus volontiers au matériel de l'éclairagiste et à l'incontinence lyrique du réalisateur qu'à une quelconque grâce, immanente ou transcendante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
C'est le sujet casse-gueule par excellence ; sous pretexte de vérité, de recherche d'absolu, d'exacerbation du pittoresque, on tombe en plein dans le réalisme poétique le plus poussiéreux. Comme ici.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
(...) l'ambition est indéniable mais insuffisante pour donner corps à son film.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
Film choral et parabolique, La Symphonie du silence étonne par ses sautes d'humeur, sa poésie latente soudain lacérée par la colère.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Zurban
D'une grande humanité, ce film retrace le travail d'introspection, la quête identitaire et la rédemption d'un homme à la vie agitée. L'excellente interprétation fera oublier quelques longueurs du scénario. Une douce poésie pour la rentrée.
Cine Libre
L'histoire est triste puisqu'elle parle de souffrance, mais elle ne parvient pas à susciter un intérêt grandissant chez le spectateur. Le jeu des acteurs, quant à lui, est d'une extrême froideur. Le regard fixe et la voix grave, ils nous font par moments penser aux parodies de certains films d'essais, rigides et froids.
MCinéma.com
Le réel point fort de ce film au titre prétentieux réside dans son interprétation. Si les patients sont follement crédibles, le héros promène avec justesse sa dégaine d'ours au regard froid, sensible et/ou violent, gentil et/ou implacable. Au final, ce film arménien, entre drame et polar, se laisse plaisamment découvrir.
Première
Son film n'est pas indigne, loin de là, mais il manque de puissance, de tumulte et d'acidité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
La rédemption du gangster passe par une ronde de portraits "pittoresques", dont la fantaisie poétique un peu forcée, un peu attendue, finit par tourner à vide. Seul Mickaël Pogossian, en vieux fauve énigmatique et blessé, offre un peu d'épaisseur à ce conte statique.
Aden
L'idée de départ se noie dans les larmes et les nappes de lumière mystique, où flottent des personnages enturbannés de blanc.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Un bel écran de fumée pour escamoter la réalité actuelle d'un pays comme l'Arménie.
Le Monde
De sorte que ce projet ambitieux, qui se voudrait une évocation tout à la fois politique et métaphysique de la situation en Arménie, tourne rapidement au huis clos dévotement démonstratif, baignant dans la récurrence d'une lumière blanche qu'on attribue plus volontiers au matériel de l'éclairagiste et à l'incontinence lyrique du réalisateur qu'à une quelconque grâce, immanente ou transcendante.
Les Inrockuptibles
C'est le sujet casse-gueule par excellence ; sous pretexte de vérité, de recherche d'absolu, d'exacerbation du pittoresque, on tombe en plein dans le réalisme poétique le plus poussiéreux. Comme ici.
TéléCinéObs
(...) l'ambition est indéniable mais insuffisante pour donner corps à son film.